LES RISQUES DES INJECTIONS (« VACCINS ») EXPÉRIMENTALES COVID-19. – GLORIANE BLAIS
Experts dissidents (intègres et courageux) informations factuelles
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Ce que dit la loi «Article 248. Sous réserve de ce qui est prévu par règlement, nul ne peut faire de la publicité à but commercial destinée à des personnes de moins de treize ans. » Quels sont les supports et les médias visés? Tous les supports et tous les médias sont visés, quand ils sont employés pour diffuser un message publicitaire à but commercial. Par exemple, on peut penser: • à la radio; • à la télévision; • au Web; • aux téléphones mobiles; • aux imprimés, comme les journaux, les magazines, les feuillets publicitaires; • à l’affichage; • aux objets promotionnels. L’interprétation de la loi étant évolutive, les nouveaux supports et médias qui voient le jour, selon les changements apportés aux pratiques publicitaires et aux supports technologiques, sont aussi touchés.
S’il ne fait aucun doute que l’administration d’une première dose de vaccin a globalement permis de préserver les usagers des milieux de vie pour aînés des ravages de la troisième vague de COVID-19, on ne sait toutefois pas exactement dans quelle mesure, faute de données. Une situation qui désole le gériatre Quoc Dinh Nguyen.
C’est une correction qui n’est pas anodine qu’annonce ce jeudi 20 mai Santé publique France. L’un des indicateurs les plus utilisés pour suivre l’épidémie de Covid-19, le taux d’incidence, était surévalué depuis des mois d’environ 12 %. Le taux de positivité des tests lui, était surévalué de 8 %. La raison ? Certains patients effectuant plusieurs tests rapprochés, notamment dans le cadre du suivi renforcé des variants, étaient comptés comme plusieurs cas car un pseudonyme d’anonymisation différent était généré à chaque test. Un correctif a été appliqué, et les données vont être rectifiées sur les trois derniers mois.
NOUS VOUS OFFRONS 4 CHOIX DE LETTRES (VOIR LES DÉTAILS DANS LE JPEG DANS LES PIÈCES JOINTES DE CETTE PUBLICATION) 👇 Ces lettres sont des outils pour signaler votre désaccord et votre non-consentement face à la vaccination massive des jeunes de 12-17 ans!
Le ministère de l’Éducation du Québec a tenté d’influencer le ministère de la Santé pour qu’il laisse croire que la santé publique avait validé les tests de qualité de l’air à l’école, alors que c’était faux. C’est ce que révèlent des courriels internes du ministère de la Santé, obtenus par Radio-Canada.
Des scientifiques mettent en garde la population sur les dangers de la vaccination contre la COVID-19 chez les 10-19 ans, les risques étant, à leur avis, plus élevés que les bénéfices pour cette catégorie d’âge.
Lettre aux parents, médecins, infirmières, enseignants, personnels administratifs et à toutes les personnes des réseaux de la santé et de l’éducation qui participent à la vaccination des jeunes à partir de 12 ans contre la COVID-19.
Devons-nous les vacciner ? Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel. Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez. Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans.