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La COVID a fait peur aux Québécois. Le gouvernement et la Santé publique ont joué à fond de cette peur pour rendre les Québécois bien DOCILES.
La COVID a fait peur aux Québécois. Le gouvernement et la Santé publique ont joué à fond de cette peur pour rendre les Québécois bien DOCILES.
Dans la foulée de l’esprit et du travail mené par Réinfo Covid France, nous, un groupe de québécois réunissant professionnels de la santé, universitaires, scientifiques et citoyens, nous sommes constitués afin de lancer une antenne au Québec. L’objectif premier est de créer un lieu d’information et d’échanges où puissent se reconnaître et se rejoindre médecins et autres soignants issus des professions biomédicales. Fort de cet appui, nous souhaitons aller à la rencontre de nos concitoyens préoccupés par l’actuelle crise sanitaire et soucieux de prendre les meilleures décisions concernant leur santé, afin de leur proposer des outils pour questionner, comprendre, sortir de la peur et agir ensemble.
On ne dispose pas encore de suffisamment de données probantes sur l’utilisation de vaccins anti-COVID-19 chez les enfants pour recommander de vacciner les enfants contre la COVID-19. Comparées à celles des adultes, les maladies des enfants sont généralement plus bénignes. Il faut malgré tout continuer à administrer les vaccins de l’enfance.
Points forts • Nous rapportons un patient avec une dose unique de vaccin contre le SRAS-CoV-2. • Il a développé des titres sériques pertinents mais est décédé 4 semaines plus tard. • Par cartographie moléculaire post-mortem, nous avons trouvé de l'ARN viral dans presque tous les organes examinés. • Cependant, nous n’avons observé aucune caractéristique morphologique caractéristique de COVID-19. • L'immunogénicité pourrait être provoquée, alors que l'immunité stérile n'a pas été établie.
De nombreuses personnes testées positives par PCR ne sont pas malades, ne couvent pas la maladie et ne sont pas contagieuses. La proportion exacte est cependant difficile à estimer, car elle varie en fonction de la sensibilité des tests, évolue dans le temps, et dépend du taux de personnes symptomatiques dans la population testée.
100% des 29 études de traitement précoce rapportent un effet positif (13 statistiquement significatifs isolément). •La méta-analyse des effets aléatoires avec des effets regroupés utilisant le critère de jugement le plus grave signalé montre une amélioration de 66 % pour les 29 études de traitement précoces (RR 0,34 [0,24-0,49]) . Les résultats sont similaires après analyse de sensibilité basée sur l'exclusion : 67 % (RR 0,33 [0,24-0,44]) et après restriction à 20 études évaluées par des pairs : 65 % (RR 0,35 [0,25-0,47]) . La restriction aux 6 ECR montre une amélioration de 46% (RR 0,54 [0,33-0,86]) . Le fait de se limiter aux 13 résultats de mortalité montre une mortalité inférieure de 75 % (RR 0,25 [0,16-0,40]) . •Le traitement tardif est moins efficace, avec seulement 70 % des 174 études faisant état d'un effet positif. Un traitement à un stade très avancé n'est pas efficace et peut être nocif, surtout en cas d'utilisation de doses excessives.
Experts dissidents (intègres et courageux) informations factuelles
Ce que dit la loi «Article 248. Sous réserve de ce qui est prévu par règlement, nul ne peut faire de la publicité à but commercial destinée à des personnes de moins de treize ans. » Quels sont les supports et les médias visés? Tous les supports et tous les médias sont visés, quand ils sont employés pour diffuser un message publicitaire à but commercial. Par exemple, on peut penser: • à la radio; • à la télévision; • au Web; • aux téléphones mobiles; • aux imprimés, comme les journaux, les magazines, les feuillets publicitaires; • à l’affichage; • aux objets promotionnels. L’interprétation de la loi étant évolutive, les nouveaux supports et médias qui voient le jour, selon les changements apportés aux pratiques publicitaires et aux supports technologiques, sont aussi touchés.
S’il ne fait aucun doute que l’administration d’une première dose de vaccin a globalement permis de préserver les usagers des milieux de vie pour aînés des ravages de la troisième vague de COVID-19, on ne sait toutefois pas exactement dans quelle mesure, faute de données. Une situation qui désole le gériatre Quoc Dinh Nguyen.