Melody Benhamou, présidente Idolem-Yoga Chaud
Melody Benhamou, présidente Idolem-Yoga Chaud, 12 succursales, 60 000 élèves. Elle témoigne des dégâts psychologiques sur sa clientèle et du désastre humain
Melody Benhamou, présidente Idolem-Yoga Chaud, 12 succursales, 60 000 élèves. Elle témoigne des dégâts psychologiques sur sa clientèle et du désastre humain
J’ai demandé à la direction d’Investissement Québec (IQ), laquelle est responsable de la gestion du Fonds du développement économique, de me donner la liste des placements qui ont été dévalués, notamment ceux visés par les 191,3 millions de « moins-value » et ceux visés par les 602 millions $ de « provisions pour pertes » ? Réponse d’Investissement Québec : « Malheureusement, il s’agit d’informations confidentielles », m’a-t-on répondu au sujet des 191 millions de dollars de « moins-value ».
Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.
L'Institut national de santé publique du Québec confirme La médecin spécialiste en santé publique et médecine préventive à l’INSPQ Chantal Sauvageau confirme que les consignes du ministère aux écoles ne correspondent pas à l'avis qui avait été remis par l'INSPQ.
Les GAFA sont trop gros. Ils ont trop de pouvoirs et peuvent en abuser. Parfois, ils le font. Et quand ils se font prendre, ils n’ont souvent qu’à payer une amende.
En conférence de presse mercredi après-midi au parlement, M. Legault a dit clairement non à la publication de ces avis de la Direction de la santé publique pour le bénéfice de la population, parce qu’en pratique, ça ne marche pas comme ça, selon lui.
Des décrets illégaux Notre régime démocratique, faut-il absolument le rappeler, est fondé sur la séparation des pouvoirs. Au Québec, contrairement à la situation qui prévaut en France (où l’article 34 de la Constitution le permet expressément), il n’existe pas de pouvoir réglementaire autonome. Ce pouvoir de l’exécutif (l’adoption de décrets) est un pouvoir essentiellement délégué par le pouvoir législatif (Assemblée nationale du Québec).
Cependant, avec le martèlement incessant de cette deuxième vague pandémique qui s’annonce, cette fois-ci, je ne peux m’abstenir de prendre position, et doit faire part de mon inquiétude à l’endroit de la direction qu’entreprend notre gouvernement provincial. Notamment, lorsque le Premier ministre François Legault envisage de pénétrer des les résidences privées afin de démanteler des rassemblements amicaux jugés nocifs. À cet effet, cette volonté politique m’apparait drôlement inquiétante, et ce pour trois raisons.
Le bioéthicien Bryn Williams-Jones n'est pas tendre à l'endroit du gouvernement Legault, qui veut inciter des compagnies pharmaceutiques à s'installer au Québec en leur proposant d'accéder aux données médicales de la population.