Lorsque les manifestants du Convoi de la liberté étaient à Ottawa, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le cabinet et les médias grand public ont dit aux Canadiens que les manifestants étaient financés par des Russes, de l'argent noir, des partisans de Donald Trump et des étrangers. On a dit aux Canadiens que les manifestants ont commis des violences, des viols, des menaces de viol, des tentatives d'incendie et d'autres crimes. Le Convoi de la liberté a été marqué comme une menace pour la sécurité nationale et accusé de terrorisme et d'insurrection.
Tout cela s'est avéré faux. Toutes les preuves supposées pour soutenir l'invocation de la Loi sur les mesures d'urgence et donner à Trudeau des pouvoirs extraordinaires en temps de guerre étaient un mensonge.