GAFA : ils sont tout simplement trop gros – LE PRESSE
Les GAFA sont trop gros. Ils ont trop de pouvoirs et peuvent en abuser. Parfois, ils le font. Et quand ils se font prendre, ils n’ont souvent qu’à payer une amende.
Les GAFA sont trop gros. Ils ont trop de pouvoirs et peuvent en abuser. Parfois, ils le font. Et quand ils se font prendre, ils n’ont souvent qu’à payer une amende.
En conférence de presse mercredi après-midi au parlement, M. Legault a dit clairement non à la publication de ces avis de la Direction de la santé publique pour le bénéfice de la population, parce qu’en pratique, ça ne marche pas comme ça, selon lui.
De façon générale, la crise de la COVID-19, «c’est sûr que ça va être dangereux pour la démocratie, affirme-t-il sans détour, parce que les gouvernements exercent des pouvoirs qui sont très très très rigoureux». «Le dictateur ne naît pas de lui-même. Il naît du fait que le citoyen désire être protégé, et il se sent protégé par des présidents ou des chefs d’État qui vont exercer un pouvoir d’attraction», a-t-il poursuivi en prenant l’exemple de la Hongrie, où le gouvernement s’est arrogé des pouvoirs «presque dictatoriaux».
Le CIUSSS espère créer une saine compétition entre les installations en publiant tous les mois le nom de celles qui se sont le plus mobilisées. Il fait aussi circuler un jeu-questionnaire sur les mythes, croyances et méconnaissances concernant le dépistage de la COVID-19. Les syndicats ont préféré réserver leurs commentaires.
D’ailleurs, le journaliste de Radio-Canada Thomas Gerbet a posé une question fort pertinente hier sur Twitter : « J’ai beau chercher, je ne trouve aucune éclosion dans un bar ou un resto de Montréal depuis au moins un mois. Sur quelles données probantes s’est-on basé pour les fermer? J’attends réponse du ministère de la Santé. »
Malgré une main tendue au ministre de la Famille, Mathieu Lacombe, pour régler la négociation, les mandats ne sont jamais venus du côté du ministère de la Famille.
Le bioéthicien Bryn Williams-Jones n'est pas tendre à l'endroit du gouvernement Legault, qui veut inciter des compagnies pharmaceutiques à s'installer au Québec en leur proposant d'accéder aux données médicales de la population.
Notre Bureau d’enquête a découvert que les Desmarais et plusieurs de leurs proches (de même que de nombreuses entreprises qui leur sont liées) en mènent très large à l’Institut de cardiologie de Montréal (voir l’infographie de deux pages ci-contre pour mieux comprendre).
Au cours des derniers mois, notre Bureau d’enquête s’est intéressé à certains de ces investissements, dont la promesse de plus de 20 millions $ de Québec pour des projets de recherche impliquant la richissime famille Desmarais.