Précédemment nous avons montré comment l’utilisation massive des tests avait permis de faire croire à une pandémie et à des “vagues épidémiques” même lorsqu’il n’y a pas de malades. Nous avons vu que les résultats des tests Covid-19 n’ont aucun rapport avec aucune maladie. C’est simple, selon les propres résultats de ces tests, le SARS-COV-2 n’est pas un pathogène. La deuxième face, et pas la moindre, de cette escroquerie est l’enregistrement par les médecins et les hôpitaux des “malades Covid-19”. Nous l’avons décortiqué dans le livre “Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels” avec Jean-Luc Bozek. Il s’agit de comprendre comment ont été enregistrés tous ces malades. Dès le début de cette crise, j’ai été effaré par la vitesse avec laquelle les statistiques sont remontées pour alimenter tout un tas de tableaux de bord. Ces derniers ont joué un rôle crucial dans l’endoctrinement des décideurs et la panique propagée par les médias. Tout statisticien est confronté à la difficulté extrême qu’on rencontre lorsqu’on essaye de collecter de la donnée. Ici, tout s’est passé comme par enchantement. En fait, tout était prêt depuis longtemps. Une statistique, c’est d’abord un comptage. On doit commencer par compter quelque chose pour en faire une statistique. Cela nécessite deux éléments : une définition et un protocole. On doit d’abord définir l’élément que l’on va compter. La définition doit être claire et sans ambiguïté. Ensuite on doit préparer un protocole de collecte, c’est-à-dire expliquer clairement comment on va compter cet élément. Avec quels moyens, où, quand et comment. C’est la personne qui décide de ces deux aspects qui décide déjà de la statistique finale. Une statistique n’a aucun pouvoir signifiant. Elle n’apporte rien à la connaissance à moins de savoir parfaitement la définition de ce que l’on a compté et les moyens mis en place. C’est dans ces deux aspects que se cache l’escroquerie de comptage Covid-19.