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Le Québec, l’énergie et nos priorités : défendre nos familles et nos enfants – La direction

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Une prémisse à remettre en question

Depuis des années, on nous répète que le CO₂ serait le grand coupable de tous les dérèglements climatiques. Pourtant, plusieurs experts en doutent. Le climat a toujours varié naturellement au fil des siècles : périodes glaciaires, réchauffements, refroidissements. Alors, faut-il vraiment croire qu’un gaz qui compose à peine 0,04 % de l’atmosphère puisse seul dicter l’avenir de la planète ?

Si cette prémisse est incertaine, pourquoi imposer à nos familles des politiques comme les taxes carbone, qui coûtent cher sans apporter de bénéfices réels à nos enfants ?

Le poids réel du Québec et la charge pour nos familles
Même si le CO₂ était le problème central, rappelons que le Canada produit environ 1,5 % des émissions mondiales, et le Québec seulement 0,2 %. Cela signifie qu’aucun sacrifice imposé ici n’aurait d’impact mesurable sur le climat mondial.

En revanche, ces sacrifices ont un impact immédiat et concret sur nos familles :
– L’essence plus chère pour aller travailler et conduire les enfants à l’école.
– Le chauffage plus coûteux pour garder nos foyers au chaud.
– Des prix à l’épicerie qui grimpent, parce que tout transport coûte davantage.

Les décisions « vertes » prises au nom du climat mondial ne sauvent pas la planète, mais elles fragilisent directement nos enfants et nos aînés.

Les taxes carbone : une double peine pour nos familles
La taxe carbone devait, en théorie, changer nos comportements. En réalité :

– Les ménages n’ont pas d’alternatives réalistes : ils doivent se chauffer et se déplacer.
– Les familles rurales, dépendantes de la voiture, sont les plus pénalisées.
– Les revenus de la taxe sont rarement utilisés pour aider concrètement les familles à réduire leurs factures.

Après une pandémie qui a déjà vidé les poches et fragilisé les plus vulnérables, cette taxe est perçue comme une double peine : crise sanitaire, puis crise économique accentuée par l’idéologie climatique.

Mondialisme vs nationalisme : quel avenir pour nos enfants ?
– La vision **mondialiste** met en avant des objectifs globaux, souvent décidés loin de chez nous. Le citoyen est vu comme un « individu du monde », mais ses réalités locales et les besoins de ses enfants passent en second.
– La vision **nationaliste** affirme au contraire que chaque peuple doit d’abord défendre ses familles, protéger ses ressources et assurer un avenir à ses enfants avant de se plier aux agendas mondiaux.

En clair :
– Le mondialisme impose des sacrifices inutiles au nom d’une idéologie globale.
– Le nationalisme cherche des solutions adaptées à notre peuple, avec une énergie abordable et une souveraineté préservée.

Les vraies menaces pour l’avenir de nos enfants
Pendant qu’on impose des taxes carbone, d’autres menaces bien réelles pèsent sur nos familles :
– Les guerres qui détruisent des ressources à une vitesse fulgurante.
– L’endettement qui compromet l’avenir économique de nos enfants.
– La perte de souveraineté énergétique qui nous rend dépendants de décisions extérieures.

Ces enjeux, bien plus tangibles que les théories sur le CO₂, menacent directement nos familles et leurs lendemains.


Conclusion : défendre nos familles d’abord
Le Québec n’aura jamais d’influence décisive sur le climat mondial. Mais il a un devoir sacré : défendre ses familles et ses enfants.

Nous devons choisir entre :
– une logique mondialiste, qui impose des taxes et des sacrifices inutiles ;
– ou une logique nationaliste, qui protège le pouvoir d’achat, garantit une énergie abordable et assure un avenir digne pour nos enfants.

Défendre notre peuple, nos familles, nos enfants : voilà le vrai projet d’avenir.

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