Sans oublier un réel risque d’épuisement et d’exaspération des populations…
Des responsables de l’Agence Européenne du Médicament ont publiquement reconnu que l’administration d’une dose de rappel tous les 4 mois, approximativement, peut provoquer des dégâts irrémédiables sur les systèmes immunitaires avec un risque de surcharge. Ils avertissent également contre un phénomène de « fatigue » et d’exaspération des populations.