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Plus de 400 études démontrent l’échec des mesures « dites sanitaires » contre le Covid – Anthropo Logique

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5 décembres 2021

« Les confinements ont été inefficaces, les fermetures d’écoles ont été inefficaces, les obligations de port du masque ont été inefficaces et les masques eux-mêmes ont été et sont inefficaces et nuisibles. »

Dr Paul Alexander

 

Dans une tribune récente, trois universitaires belges spécialistes de l’évaluation des politiques publiques soulignent la lamentable somme d’absurdités destructrices mises en œuvre par nos « gouvernements ». Selon l’introduction du média Le Vif  :

« À l’instar d’Émile Zola, révolté par l’injustice et l’incurie des débats de son temps, les universitaires Catherine Fallon, Nicolas Thirion et Élisabeth Paul (ULiège et ULB) « passent par voie de presse pour dénoncer les graves manquements politiques et de gouvernance qui caractérisent la riposte à la pandémie de Covid-19 en Belgique ». Et espèrent que « ceci suscitera enfin une évaluation indépendante de la gestion cette crise ».

En Suisse, les gouvernements fédéral et cantonaux  continuent d’exercer une emprise toxique sur la population en faisant accroire que nous aurions le choix entre le pass sanitaire (qui ne sert à rien) ou de nouveaux confinements (qui ne servent à rien). Dans les cantons de Genève et Vaud, les irresponsables qui gouvernent veulent même imposer le port du masque dès 8 ans à l’école… alors que l’on sait que cette mesure ne sert non plus à rien, tout en infligeant de graves traumatismes et des retards de développement psycho-affectifs et cognitifs aux enfants. ce qui constitue une maltraitance grave, sans la moindre justification sanitaire.

Comment appeler des « gouvernants » qui osent prendre des décisions aussi indignes ?!

Comment, surtout, les arrêter ?!

La triste vérité est que tant qu’une majorité de la population continuera à prêter foi aux diktats proférés par ces autorités renforcés en permanence par une presse malhonnête, il sera difficile de nous libérer de cette étreinte délétère.

Que dire aussi de pseudo-experts de plateaux arrosés par l’industrie pharmaceutique et entretenant une psychose collective allant jusqu’à sacrifier les enfants à leur délire mortifère ?! L’infectiologue Didier Pittet, par exemple, regrettant que la Suisse ne tyrannise par sa population tout-à-fait aussi intensément que le gouvernement français, a osé asséner récemment en plein débat que « (sic) « l’efficacité de mesures de confinement est une évidence. »

Les lectrices et lecteurs de ce blog savent qu’il n’en est rien. Au même moment sortait sous la plume d’un spécialiste digne de ce nom l’article que j’ai traduit et re-publie ici, paru sur le site du prestigieux Brownstone Institute. L’auteur, le Dr Alexandrer, y répertorie 400 études récentes démontrant l’inutilité et la destructivité des mesures de contrainte comme le port du masque, les confinements, les fermetures d’école, les restrictions d’accès aux restaurants ou magasin. Toutes mesures inefficaces et cruellement attentatoires à la santé physique, psychique et sociale de la population (sans même parler des libertés fondamentales, dont gouvernants et parlementaires semblent se fiche royalement).

Elles figurent ici regroupées par thèmes, en anglais.

La seule réponse face à l’idéologie délirante qui prévaut étant, inlassablement, de rappeler le réel et de diffuser les observations de la vraie science.

 

Plus de 400 études démontrent l’échec des mesures de contrainte contre le Covid

Par le Dr Paul Elias Alexander, 30 novembre 2021

Le Dr Alexander est titulaire d’un doctorat en médecine, avec une expérience en épidémiologie et dans l’enseignement de l’épidémiologie clinique, de la médecine fondée sur des preuves et de la méthodologie de recherche.

Il a été professeur adjoint à l’Université McMaster en médecine fondée sur des données probantes et en méthodes de recherche ; il a été conseiller en synthèse de données probantes sur la pandémie de COVID auprès de l’OMS-PAHO à Washington, DC (2020) et conseiller principal en matière de politique sur la pandémie de COVID au sein de Health and Human Services (HHS) à Washington, DC (A Secretary), gouvernement américain ; a été nommé en 2008 à l’OMS en tant que spécialiste régional/épidémiologiste au bureau régional pour l’Europe au Danemark ; a travaillé pour le gouvernement du Canada en tant qu’épidémiologiste pendant 12 ans ; a été nommé épidémiologiste canadien sur le terrain (2002-2004) dans le cadre d’un projet international financé par l’ACDI et piloté par Santé Canada sur la co-infection tuberculose/VIH et la lutte contre la tuberculose MR (impliquant l’Inde, le Pakistan, le Népal, le Sri Lanka, le Bangladesh, le Bhoutan, les Maldives et l’Afghanistan, en poste à Katmandou) ; a travaillé de 2017 à 2019 à l’Infectious Diseases Society of America (IDSA), en Virginie (États-Unis), en tant que formateur en synthèse des preuves, méta-analyse, examen systématique et élaboration de lignes directrices ; actuellement chercheur consultant sur le COVID-19 dans le groupe de recherche US-C19.

 

La vaste somme de données probantes (études comparatives, analyses et évaluations de qualité jugées pertinentes) montre que les fermetures liées au COVID-19, les politiques de confinement, le port du masques, les fermetures d’écoles et les obligations de port du masque ont échoué dans leur objectif de freiner la transmission ou de réduire les décès. Ces politiques restrictives ont été des échecs inefficaces et dévastateurs, causant d’immenses dommages, en particulier aux personnes les plus pauvres et les plus vulnérables au sein des sociétés.

Presque tous les gouvernements ont tenté de mettre en place des mesures coercitives pour lutter contre le virus, mais aucun ne peut se targuer d’avoir réussi. Les recherches indiquent que les obligations de port du masque, les confinements et les fermetures d’écoles n’ont eu aucun impact observable sur la propagation du virus.

Selon Bendavid, « dans le cadre de cette analyse, rien ne prouve que des interventions non pharmaceutiques plus restrictives (‘confinements’) aient contribué de manière substantielle à infléchir la courbe des nouveaux cas en Angleterre, en France, en Allemagne, en Iran, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne ou aux États-Unis au début de 2020 ». Nous le savons depuis très longtemps maintenant, mais les gouvernements continuent à redoubler d’efforts, semant la misère dans les populations avec des impacts qui prendront probablement des décennies ou plus à réparer.

Les avantages des verrouillages et des restrictions sociétales ont été totalement exagérés et les préjudices pour nos sociétés et nos enfants ont été graves : les dommages causés aux enfants, les maladies non diagnostiquées qui entraîneront une surmortalité dans les années à venir, la dépression, l’anxiété, les idées suicidaires chez nos jeunes, les surdoses de drogues et les suicides dus aux politiques de fermeture, l’isolement écrasant dû aux confinements, les préjudices psychologiques, les violences domestiques et infantiles, les abus sexuels sur les enfants, les pertes d’emplois et d’entreprises et leur impact dévastateur, et le nombre massif de décès résultant des confinements qui toucheront lourdement les femmes et les minorités.

Aujourd’hui, on entend à nouveau que de nouvelles mesures de confinement seront prises en réponse à la variante Omicron qui, selon mes estimations, sera probablement infectieuse mais pas plus mortelle.

 

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Nous savions que nous ne pourrions jamais éradiquer ce virus mutable (qui a un important réservoir animal) avec des mesures de confinement et qu’il deviendrait probablement endémique comme d’autres coronavirus circulant (ceux du rhume). Nous savions qu’une approche stratifiée en fonction de l’âge et du risque était optimale (protection ciblée telle qu’elle est décrite dans la déclaration de Great Barrington) et non des politiques uniformes de carte blanche données aux politiques, alors que nous avions la preuve que le risque de décès était 1’000 fois moins élevé chez un enfant que chez une personne âgée. Nous connaissions l’efficacité et le succès du traitement ambulatoire précoce pour réduire le risque d’hospitalisation et de décès chez les personnes vulnérables.

Il est apparu très tôt que les Task forces et autres groupes de travail, les conseillers médicaux et les décideurs ne lisaient pas les données probantes, n’étaient pas au fait de la science ou des données, ne comprenaient pas les données probantes, ne  » comprenaient  » pas les données probantes et étaient aveuglés face à la science, souvent poussés par leurs propres préjugés, leur partialité, leur arrogance et leur ego. Ils restent confinés dans la négligence et la paresse académiques pures et simples. Il était clair que la réponse apportée dans nos pays n’était pas une réponse de santé publique. Elle a été politique dès le premier jour et continue aujourd’hui.

Une étude récente (pré-print) saisit l’essence et les effets catastrophiques d’une société fermée et de l’enfoncement de nos enfants en examinant la façon dont les enfants apprennent (de 3 mois à 3 ans) et en constatant, toutes mesures confondues, que « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie« . Les chercheurs ont également indiqué que « les garçons et les enfants de familles socio-économiques défavorisées ont été les plus touchés. Les résultats soulignent que même en l’absence d’infection directe par le SRAS-CoV-2 et la maladie COVID-19, les changements environnementaux associés à la pandémie de COVID-19 affectent de manière significative et négative le développement des nourrissons et des enfants. »

 

Rien de scientifique

C’est peut-être Donald Luskin, du Wall Street Journal, qui résume le mieux ce dont nous sommes les témoins stables depuis le début de ces restrictions, confinements et fermetures d’écoles qui n’ont absolument rien de scientifique : « Six mois après le début de la pandémie de Covid-19, les États-Unis ont maintenant réalisé deux expériences à grande échelle en matière de santé publique – d’abord, en mars et avril, le verrouillage de l’économie pour arrêter la propagation du virus, et ensuite, depuis la mi-avril, la réouverture de l’économie. Les résultats sont là. Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, l’analyse statistique montre que le verrouillage de l’économie n’a pas permis de contenir la propagation de la maladie et que sa réouverture n’a pas déclenché une seconde vague d’infections. »

Le British Columbia Center for Disease Control (BCCDC) a publié un rapport complet en septembre 2020 sur l’impact des fermetures d’écoles sur les enfants et a constaté que :

  1. les enfants représentent une faible proportion des cas diagnostiqués de COVID-19, qu’ils sont moins gravement malades et que la mortalité est rare ;
  2. les enfants ne semblent pas être une source majeure de transmission du SRAS-CoV-2 dans les foyers ou les écoles, une constatation qui est constante à l’échelle mondiale ;
  3. il existe des différences importantes entre les modes de transmission de la grippe et du SRAS-CoV-2. Les fermetures d’écoles peuvent être moins efficaces comme mesure de prévention du COVID-19 ;
  4. les fermetures d’écoles peuvent avoir des conséquences graves et imprévues pour les enfants et les jeunes ;
  5. les fermetures d’écoles contribuent à un plus grand stress familial, en particulier pour les femmes qui s’occupent des enfants, alors que les familles doivent concilier les soins aux enfants et l’apprentissage à domicile avec les exigences de l’emploi ;
  6. la violence familiale peut être en hausse pendant la pandémie de COVID, alors que la fermeture des écoles et des centres de garde d’enfants peut créer une lacune dans le filet de sécurité pour les enfants qui sont à risque d’abus et de négligence. »

Aujourd’hui, des pays comme l’Autriche (novembre 2021) ont réintégré le monde de la folie du confinement, mais ils ont été dépassés par l’Australie. En effet, la nécessité fallacieuse de ces actions mal informées est illustrée par le fait qu’elles sont mises en œuvre en dépit de preuves scientifiques claires montrant que lors de verrouillages sociétaux antérieurs stricts, de fermetures scolaires, d’obligation de port du masque et de restrictions sociétales supplémentaires, le nombre de cas positifs a augmenté !

 

La réponse à la pandémie reste aujourd’hui une réponse purement politique.

Ce qui suit est la totalité actuelle des données probantes (études comparatives disponibles et éléments de preuve de haut niveau, rapports et discussions) sur les confinements, les masques, les fermetures d’écoles et les obligations de port de masque COVID-19. Il n’existe pas de preuves concluantes permettant d’affirmer que l’une ou l’autre de ces mesures restrictives a permis de réduire la transmission virale ou les décès. Les confinements ont été inefficaces, les fermetures d’écoles ont été inefficaces, les obligations de port du masque ont été inefficaces et les masques eux-mêmes ont été et sont inefficaces et nuisibles.

 

Références :

A. Inutilité du confinement et du verrouillage (« Lockdowns ») : 161 études.

B. Inutilité des fermetures d’écoles (School Closures) : 75 études.

C. Inefficacité du masque (Mask Ineffectiveness) : 79 études

D. Obligation du port du masque (Mask Mandates) : 9 études

E. Nocivité du masque (Mask Harm) : 61 études

 

A. Inutilité du confinement et du verrouillage (« lockdowns »)

Tableau 1 : Preuves montrant que les fermetures de COVID-19, l’utilisation de masques faciaux, les fermetures d’écoles et les mandats de masque étaient en grande partie inefficaces et ont causé des dommages écrasants

Titre de l’étude/du rapport, auteur et année de publication et lien URL interactifConstatation prédominante dans les études/rapports de données probantes
VERROUILLAGES 
1) Effets du verrouillage sur la transmission Sars-CoV-2 – Les preuves du nord du Jutland , Kepp, 2021« L’analyse montre que si les niveaux d’infection ont diminué, ils l’ont fait avant que le verrouillage ne soit effectif, et le nombre d’infections a également diminué dans les municipalités voisines sans mandat… la surveillance et la conformité volontaire rendent les verrouillages complets inutiles. »
2) Une analyse au niveau du pays mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité due au COVID-19 et les résultats de santé associés , Chaudhry, 2020« Une analyse a été menée pour évaluer l’impact du calendrier et du type de politique de santé nationale / actions entreprises sur la mortalité due au COVID-19 et les résultats de santé connexes… les faibles niveaux de préparation nationale, l’échelle des tests et les caractéristiques de la population ont été associés à une augmentation du nombre de cas nationaux et mortalité….dans notre analyse, les blocages complets et les tests COVID-19 à grande échelle n’étaient pas associés à des réductions du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale.
3) Les politiques de confinement total dans les pays d’Europe occidentale n’ont pas d’impact évident sur l’épidémie de COVID-19 , Meunier, 2020« En extrapolant les tendances du taux de croissance avant le verrouillage, nous fournissons des estimations du nombre de morts en l’absence de toute politique de verrouillage et montrons que ces stratégies n’ont peut-être sauvé aucune vie en Europe occidentale. Nous montrons également que les pays voisins appliquant des mesures de distanciation sociale moins restrictives (par opposition au confinement à domicile imposé par la police) connaissent une évolution temporelle de l’épidémie très similaire. »
4) Effets des interventions non pharmaceutiques sur COVID-19 : A Tale of Three Models , Chin, 2020« Les inférences sur les effets des NPI ne sont pas robustes et très sensibles à la spécification du modèle. Les avantages allégués du verrouillage semblent grossièrement exagérés. »
5) Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture d’entreprise sur la propagation de COVID-19 , Bendavid, 2020« En évaluant les effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture d’entreprise sur la propagation de COVID-19… nous ne trouvons pas d’avantages significatifs sur la croissance des cas d’IPN plus restrictives. Des réductions similaires de la croissance des cas peuvent être obtenues avec des interventions moins restrictives. » « Après avoir soustrait les effets épidémiques et lrNPI, nous ne trouvons aucun effet bénéfique clair et significatif des mrNPI sur la croissance des cas dans aucun pays. » « Dans le cadre de cette analyse, rien ne prouve que des interventions non pharmaceutiques plus restrictives (« verrouillages ») aient contribué de manière substantielle à courber la courbe des nouveaux cas en Angleterre, en France, en Allemagne, en Iran, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne ou aux États-Unis au début de 2020. »
6) Effet des fermetures d’écoles sur la mortalité due à la maladie à coronavirus 2019 : anciennes et nouvelles prédictions , Rice, 2020« Nous concluons donc que les résultats quelque peu contre-intuitifs selon lesquels les fermetures d’écoles entraînent davantage de décès sont une conséquence de l’ajout de certaines interventions qui suppriment la première vague et de l’incapacité à donner la priorité à la protection des personnes les plus vulnérables. Lorsque les interventions sont levées, il y a encore une population importante qui est sensible et un nombre substantiel de personnes infectées. Cela conduit ensuite à une deuxième vague d’infections qui peut entraîner plus de décès, mais plus tard. Des blocages supplémentaires entraîneraient une série répétée de vagues d’infection à moins que l’immunité collective ne soit obtenue par la vaccination, ce qui n’est pas pris en compte dans le modèle. Un résultat similaire est obtenu dans certains des scénarios impliquant une distanciation sociale générale. Par example,
7) La politique de séjour à domicile est un cas d’erreur d’exception : une étude écologique basée sur Internet , Savaris, 2021« Évaluer l’association entre rester à la maison (%) et la réduction/augmentation du nombre de décès dus au COVID-19 dans plusieurs régions du monde… Avec nos résultats, nous n’avons pas été en mesure d’expliquer si la mortalité du COVID-19 est réduit en restant à la maison dans ~ 98% des comparaisons après les semaines épidémiologiques 9 à 34. maison, par rapport à la ligne de base. Dans les   comparaisons restrictives  et  globales , seulement 3 % et 1,6 % des comparaisons étaient significativement différentes, respectivement.
8) Le verrouillage de Corona en Allemagne était-il nécessaire? Kuhbandner, 2020«Les données officielles de l’agence allemande RKI suggèrent fortement que la propagation du virus corona en Allemagne a reculé de manière autonome, avant que toute intervention ne devienne efficace. Plusieurs raisons pour un tel déclin autonome ont été suggérées. La première est que les différences de sensibilité et de comportement de l’hôte peuvent entraîner une immunité collective à un niveau de prévalence relativement faible. La prise en compte de la variation individuelle de la sensibilité ou de l’exposition au coronavirus donne un maximum de 17 % à 20 % de la population qui doit être infectée pour atteindre l’immunité collective, une estimation qui est appuyée empiriquement par la cohorte du navire de croisière Diamond Princess. Une autre raison est que la saisonnalité peut également jouer un rôle important dans la dissipation.
9) Une première revue de la littérature : les blocages n’ont eu qu’un faible effet sur COVID-19 , Herby, 2021« Les blocages n’ont eu qu’un faible effet sur COVID-19 … les études qui différencient les deux types de changement de comportement constatent qu’en moyenne, les changements de comportement obligatoires ne représentent que 9 % (médiane : 0 %) de l’effet total sur la croissance de la pandémie résultant de changements de comportement. Les 91 % restants (médiane : 100 %) de l’effet étaient dus à des changements de comportement volontaires. »
10) Trajectoire de l’épidémie de COVID-19 en Europe , Colombo, 2020«Nous montrons que l’assouplissement de l’hypothèse d’homogénéité pour permettre une variation individuelle de la sensibilité ou de la connectivité donne un modèle qui s’adapte mieux aux données et une prévision plus précise de la mortalité sur 14 jours. Le fait de tenir compte de l’hétérogénéité réduit l’estimation des décès « contrefactuels » qui se seraient produits s’il n’y avait pas eu d’interventions de 3,2 millions à 262 000, ce qui implique que la plupart du ralentissement et de l’inversion de la mortalité due au COVID-19 s’expliquent par l’accumulation d’une immunité collective . « 
11) Modélisation des stratégies de distanciation sociale pour empêcher la propagation du SRAS-CoV2 en Israël – Une analyse coût-efficacité , Shlomai, 2020« Un verrouillage national a un avantage modéré pour sauver des vies avec des coûts énormes et des effets économiques écrasants possibles. »
12) Verrouillages et fermetures vs COVID – 19: COVID Wins , Bhalla, 2020«Comme nous l’avons souligné tout au long, un test direct de verrouillage des cas est le test le plus approprié. Ce test direct est un test avant après, c’est-à-dire une comparaison de ce qui s’est passé après le verrouillage par rapport à ce qui se serait passé. Seulement pour 15 des 147 économies, le verrouillage « a fonctionné » en réduisant les infections ; pour plus d’une centaine de pays, l’estimation des infections après le verrouillage était plus de trois fois supérieure au contrefactuel. Ce n’est pas une preuve de succès – c’est plutôt la preuve d’un échec monumental de la politique de verrouillage… « nous testons également, de manière assez détaillée, l’hypothèse selon laquelle des verrouillages précoces et des verrouillages plus stricts ont été efficaces pour contenir le virus. Nous trouvons des résultats solides pour la conclusion opposée : les verrouillages ultérieurs ont mieux fonctionné et les verrouillages moins stricts ont obtenu de meilleurs résultats. » « Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, les blocages ont été utilisés comme stratégie pour contrer le virus. Alors que la sagesse conventionnelle, à ce jour, a été que les verrouillages ont réussi (allant de légers à spectaculaires), nous ne trouvons aucun élément de preuve à l’appui de cette affirmation. »
13) Ondes SARS-CoV-2 en Europe : Une solution modèle SEIRS à 2 strates , Djaparidze, 2020« Trouvé que 180 jours d’isolements obligatoires à <60 en bonne santé (c. dommages liés à la maladie.
14) Les blocages imposés par le gouvernement ne réduisent pas les décès de Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse stricte de la Nouvelle-Zélande , Gibson, 2020« Les blocages ne réduisent pas les décès de Covid-19. Ce schéma est visible à chaque date à laquelle des décisions clés de verrouillage ont été prises en Nouvelle-Zélande. L’inefficacité apparente des blocages suggère que la Nouvelle-Zélande a subi des coûts économiques importants pour peu d’avantages en termes de vies sauvées. »
15) Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’ un économiste Bjørnskov , 2020« Les blocages dans la plupart des pays occidentaux ont plongé le monde dans la récession la plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale et la récession qui se développe le plus rapidement jamais vue dans les économies de marché matures. Ils ont également provoqué une érosion des droits fondamentaux et la séparation des pouvoirs dans une grande partie du monde, car les régimes démocratiques et autocratiques ont abusé de leurs pouvoirs d’urgence et ignoré les limites constitutionnelles à l’élaboration des politiques (Bjørnskov et Voigt, 2020). Il est donc important d’évaluer si et dans quelle mesure les blocages ont fonctionné comme prévu officiellement : pour supprimer la propagation du virus SARS-CoV-2 et prévenir les décès qui y sont associés. En comparant la mortalité hebdomadaire dans 24 pays européens, les résultats de cet article suggèrent que des politiques de verrouillage plus sévères n’ont pas été associées à une mortalité plus faible. En d’autres termes,
16) Déduire les trajectoires d’infection mortelle du COVID-19 au Royaume-Uni à partir des données de mortalité quotidiennes : les infections étaient-elles déjà en baisse avant les fermetures au Royaume-Uni ?, Wood, 2020« Une approche bayésienne du problème inverse appliquée aux données britanniques sur les décès de la première vague de Covid-19 et la distribution de la durée de la maladie suggère que les infections mortelles étaient en baisse avant le verrouillage complet du Royaume-Uni (24 mars 2020), et que les infections mortelles en Suède ont commencé à décliner seulement un jour ou deux plus tard. Une analyse des données britanniques utilisant le modèle de Flaxman et al. (2020, Nature 584) donne le même résultat sous assouplissement de ses hypothèses antérieures sur R. »
17) Les 1effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe , Homburg, 2020« Nous montrons que leurs méthodes impliquent un raisonnement circulaire. Les effets supposés sont de purs artefacts, qui contredisent les données. De plus, nous démontrons que le verrouillage du Royaume-Uni était à la fois superflu et inefficace. »
18) Malnutrition infantile et COVID-19 : il est temps d’agir, Fore, 2020« La pandémie de COVID-19 sape la nutrition dans le monde, en particulier dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI). Les pires conséquences sont supportées par les jeunes enfants. Certaines des stratégies pour répondre à COVID-19, notamment l’éloignement physique, les fermetures d’écoles, les restrictions commerciales et les fermetures de pays, ont un impact sur les systèmes alimentaires en perturbant la production, le transport et la vente d’aliments nutritifs, frais et abordables, forçant des millions de familles à se fier à des alternatives pauvres en nutriments.
19) Mortalité liée au Covid-19 : une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées , De Larochelambert , 2020« Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus élevés et des taux de MNT, avaient le prix le plus élevé à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes.
20) Impact des interventions non pharmaceutiques contre COVID-19 en Europe : Une étude quasi-expérimentale , Hunter, 2020« La fermeture des établissements d’enseignement, l’interdiction des rassemblements de masse et la fermeture de certaines entreprises non essentielles étaient associées à une incidence réduite, tandis que les commandes de séjour à domicile et la fermeture de toutes les entreprises non commerciales n’étaient associées à aucun impact supplémentaire indépendant. »
21) Israël : thefatemperor, 2020« Étant donné que les preuves révèlent que la maladie de Corona diminue même sans verrouillage complet, il est recommandé d’inverser la politique actuelle et de supprimer le verrouillage. »
22) Pensée intelligente, verrouillage et COVID-19 : implications pour les politiques publiques , Altman, 2020« La réponse à COVID-19 a été massivement de verrouiller une grande partie des économies du monde afin de minimiser les taux de mortalité ainsi que les effets négatifs immédiats de COVID-19. Je soutiens qu’une telle politique est trop souvent décontextualisée car elle ignore les externalités politiques, suppose que les calculs du taux de mortalité sont suffisamment précis et, ainsi, suppose qu’il est approprié de se concentrer sur les effets directs de Covid-19 pour maximiser le bien-être humain. En raison de cette approche, la politique actuelle peut être mal orientée et avoir des effets très négatifs sur le bien-être humain. De plus, de telles politiques peuvent entraîner par inadvertance à ne pas minimiser du tout les taux de mortalité (incorporant les externalités), en particulier à long terme… une telle politique mal orientée et sous-optimale est le produit de décideurs utilisant des modèles mentaux inappropriés qui manquent à un certain nombre de facteurs clés. zones;
23) Le Mystère de Taïwan Janaskie , 2020« Une autre valeur aberrante fascinante – souvent citée comme un cas dans lequel un gouvernement a géré la pandémie de la bonne manière – était Taïwan. En effet, Taïwan présente une anomalie dans l’atténuation et la gestion globale de la pandémie de Covid-19. En termes de rigueur, Taïwan se classe parmi les plus bas au monde, avec moins de contrôles que la Suède et bien moins que les États-Unis… Le gouvernement a effectué des tests à la frontière et introduit quelques contrôles mineurs, mais loin de ceux de la plupart des pays. En général, Taïwan a rejeté le verrouillage en faveur du maintien du fonctionnement social et économique. » «Malgré la proximité plus étroite de Taïwan avec la source de la pandémie et sa forte densité de population, il a connu un taux de cas nettement inférieur de 20,7 par million par rapport aux 278,0 par million de la Nouvelle-Zélande. Mise en œuvre rapide et systématique des mesures de contrôle, en particulier, une gestion efficace des frontières (exclusion, dépistage, quarantaine/isolement), la recherche des contacts, la quarantaine/l’isolement systématique des cas potentiels et confirmés, le contrôle des grappes, la promotion active du masquage de masse et une communication significative en matière de santé publique, ont probablement joué un rôle déterminant dans limiter la propagation de la pandémie. En outre, l’efficacité de la réponse de santé publique de Taïwan a signifié qu’à ce jour aucun verrouillage n’a été mis en œuvre, plaçant Taïwan dans une position économique plus forte à la fois pendant et après COVID-19 par rapport à la Nouvelle-Zélande, qui a connu sept semaines de verrouillage national (à Alert Niveaux 4 et 3). et une communication significative en matière de santé publique, ont probablement contribué à limiter la propagation de la pandémie. En outre, l’efficacité de la réponse de santé publique de Taïwan a signifié qu’à ce jour aucun verrouillage n’a été mis en œuvre, plaçant Taïwan dans une position économique plus forte à la fois pendant et après COVID-19 par rapport à la Nouvelle-Zélande, qui a connu sept semaines de verrouillage national (à Alert Niveaux 4 et 3). et une communication significative en matière de santé publique, ont probablement contribué à limiter la propagation de la pandémie. En outre, l’efficacité de la réponse de santé publique de Taïwan a signifié qu’à ce jour aucun verrouillage n’a été mis en œuvre, plaçant Taïwan dans une position économique plus forte à la fois pendant et après COVID-19 par rapport à la Nouvelle-Zélande, qui a connu sept semaines de verrouillage national (à Alert Niveaux 4 et 3).
24) Ce qu’ils ont dit à propos des blocages avant 2020 , Gartz, 2021« Alors que le consensus des experts concernant l’inefficacité de la quarantaine de masse des années précédentes a récemment été contesté,  des preuves importantes actuelles démontrent  continuellement que la quarantaine de masse est à la fois inefficace pour prévenir la propagation des maladies et nocive pour les individus. »
25) Coût des blocages : rapport préliminaire , AIER, 2020« Dans le débat sur la politique des coronavirus, on s’est beaucoup trop peu concentré sur les coûts des blocages. Il est très courant que les partisans de ces interventions écrivent des articles et de grandes études sans même mentionner les inconvénients… un bref aperçu du coût des rigueurs aux États-Unis et dans le monde, y compris les ordonnances de séjour à domicile, les fermetures d’entreprises et les écoles, les restrictions sur les rassemblements, la fermeture des arts et des sports, les restrictions sur les services médicaux et les interventions dans la liberté de mouvement.
26) Une étude divulguée de l’intérieur du gouvernement allemand prévient que le verrouillage pourrait tuer plus de personnes que le coronavirus , Watson, ministre allemand de 2020
: le verrouillage tuera plus que Covid-19
« Le confinement et les mesures prises par les gouvernements fédéral et central allemands pour contenir le coronavirus ont apparemment coûté plus de vies, par exemple de patients atteints de cancer, que de ceux qui en ont réellement été tués. »
« Un demi-million de plus mourront de la tuberculose. »
27) Évaluation des effets des politiques de refuge sur place pendant la pandémie de COVID-19 , Berry, 2021«Des études antérieures ont affirmé que les commandes d’abris sur place ont sauvé des milliers de vies, mais nous réévaluons ces analyses et montrons qu’elles ne sont pas fiables. Nous constatons que les commandes d’abris sur place n’ont eu aucun avantage détectable pour la santé, seulement des effets modestes sur le comportement et des effets faibles mais négatifs sur l’économie. »
28) Étude : Le verrouillage « détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine » qu’il n’en sauve , Watson, 2020« Une étude a révélé que l’ordre de verrouillage « rester à la maison » aux États-Unis « détruira au moins sept fois plus d’années de vie humaine » qu’il n’en sauve et que ce nombre est « probablement » plus de 90 fois plus élevé… La recherche montre qu’au moins 16,8 % des adultes aux États-Unis ont subi « des dommages mentaux majeurs à cause des réponses à Covid-19… En extrapolant ces chiffres, les chiffres montrent que « l’anxiété des réponses à Covid-19 a touché 42 873 663 adultes et volera eux d’une moyenne de 1,3 an de vie, détruisant ainsi 55,7 millions d’années de vie.
29) Quatre faits stylisés sur COVID-19 , Atkeson , 2020« Ne pas tenir compte de ces quatre faits stylisés peut entraîner une surestimation de l’importance des NPI mandatés par la politique pour façonner la progression de cette pandémie mortelle… La littérature existante a conclu que la politique des NPI et la distanciation sociale ont été essentielles pour réduire la propagation de COVID-19 et le nombre de décès dus à cette pandémie mortelle. Les faits stylisés établis dans cet article remettent en cause cette conclusion.
30) L’IMPACT À LONG TERME DU CHOC DU CHMAGE COVID-19 SUR L’ESPÉRANCE DE VIE ET ​​LES TAUX DE MORTALITÉ , Bianchi, 2021« Les décideurs devraient donc envisager de combiner les blocages avec des interventions politiques visant à réduire la détresse économique, à garantir l’accès aux soins de santé et à faciliter une réouverture économique efficace dans le cadre des politiques de santé pour limiter la propagation du SRAS-CoV-19… évaluer les effets à long terme de la Récession économique COVID-19 sur la mortalité et l’espérance de vie. Nous estimons que l’ampleur du choc du chômage lié au COVID-19 est entre 2 et 5 fois plus importante que le choc du chômage typique, selon la race et le sexe, entraînant une augmentation significative des taux de mortalité et une baisse de l’espérance de vie. Nous prévoyons également que le choc affectera de manière disproportionnée les Afro-Américains et les femmes, sur un horizon court, tandis que les effets pour les hommes blancs se déploieront sur des horizons plus longs. Ces chiffres se traduisent par plus de 0.
31) Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : les preuves , AIER, 2020« La question est de savoir si les blocages ont fonctionné pour contrôler le virus d’une manière scientifiquement vérifiable. Sur la base des études suivantes, la réponse est non et pour diverses raisons : données erronées, aucune corrélation, aucune démonstration causale, exceptions anormales, etc. Il n’y a aucune relation entre les blocages (ou tout autre nom que les gens veulent les appeler pour masquer leur vraie nature) et le contrôle des virus. »
32) Trop peu d’une bonne chose  Un paradoxe du contrôle modéré des infections , Cohen, 2020« Le lien entre la limitation de l’exposition aux agents pathogènes et l’amélioration de la santé publique n’est pas toujours aussi simple. La réduction du risque que chaque membre d’une communauté soit exposé à un agent pathogène a pour effet concomitant d’augmenter l’âge moyen auquel les infections surviennent. Pour les agents pathogènes qui infligent une plus grande morbidité à un âge avancé, les interventions qui réduisent mais n’éliminent pas l’exposition peuvent paradoxalement augmenter le nombre de cas de maladie grave en déplaçant le fardeau de l’infection vers les personnes plus âgées.
33) Coûts/avantages du verrouillage de Covid : une évaluation critique de la littérature , Allen, 2020« De manière générale, l’inefficacité du confinement découle de changements volontaires de comportement. Les juridictions de verrouillage n’ont pas été en mesure d’empêcher la non-conformité, et les juridictions de non-verrouillage ont bénéficié de changements volontaires de comportement qui imitaient les verrouillages. L’efficacité limitée des blocages explique pourquoi, après un an, le nombre de décès cumulés inconditionnels par million et le schéma de décès quotidiens par million ne sont pas corrélés négativement avec la rigueur du verrouillage dans les pays. En utilisant une méthode coût/bénéfice proposée par le professeur Bryan Caplan et en utilisant deux hypothèses extrêmes d’efficacité du confinement, le rapport coût/bénéfice des confinements au Canada, en termes d’années de vie sauvées, se situe entre 3,6 et 282. C’est-à-dire qu’il est possible que le verrouillage devienne l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix de l’histoire du Canada. »
34) Covid-19 : Comment la Biélorussie a-t-elle l’un des taux de mortalité les plus bas d’Europe ? Karath, 2020« Le gouvernement assiégé du Bélarus reste imperturbable face au covid-19. Le président Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, a catégoriquement nié la gravité de la pandémie, refusant d’imposer un confinement, de fermer des écoles ou d’annuler des événements de masse comme la ligue de football biélorusse ou le défilé du Jour de la Victoire. Pourtant, le taux de mortalité du pays est parmi les plus bas d’Europe, un peu plus de 700 sur une population de 9,5 millions d’habitants avec plus de 73 000 cas confirmés.
35) PANDA , Nell, 2020«Pour chaque pays présenté comme exemple, généralement dans une comparaison par paires et avec une explication de cause unique qui en découle, il existe une multitude de pays qui ne répondent pas aux attentes. Nous avons entrepris de modéliser la maladie avec chaque attente d’échec. Dans le choix des variables, il était évident dès le départ qu’il y aurait des résultats contradictoires dans le monde réel. Mais certaines variables semblaient être des marqueurs fiables, car elles étaient apparues dans la plupart des supports et des papiers pré-imprimés. Ceux-ci comprenaient l’âge, la prévalence de la comorbidité et les taux de mortalité de la population apparemment faibles dans les pays plus pauvres que dans les pays plus riches. Même les pires pays en développement – ​​un groupe de pays d’Amérique latine équatoriale – ont connu une mortalité globale de la population plus faible que le monde développé. Notre objectif n’était donc pas de développer la réponse finale, mais plutôt de rechercher des variables de cause commune qui permettraient d’apporter une explication et de stimuler la discussion. Il y a des valeurs aberrantes très évidentes dans cette théorie, dont le Japon n’est pas le moindre. Nous testons et trouvons les notions populaires selon lesquelles les blocages avec leur distanciation sociale et divers autres NPI confèrent une protection. »
36) États avec le moins de restrictions sur les coronavirus , McCann, 2021Les graphiques ne révèlent aucune relation entre le niveau de rigueur en ce qui concerne les taux de mortalité, mais trouvent une relation claire entre la rigueur et le chômage .
37) Politiques de verrouillage COVID-19 : un examen interdisciplinaire , Robinson, 2021« Des études au niveau économique de l’analyse indiquent la possibilité que les décès associés à des dommages économiques ou au sous-financement d’autres problèmes de santé peuvent l’emporter sur les décès que les blocages sauvent, et que le coût financier extrêmement élevé des blocages peut avoir des implications négatives pour la santé globale de la population dans termes de ressources réduites pour le traitement d’autres conditions. La recherche sur l’éthique en relation avec les blocages souligne l’inévitabilité des jugements de valeur pour équilibrer les différents types de préjudices et d’avantages que les blocages causent. »
38) Comédie et tragédie dans les deux Amériques , Tucker, 2021«Covid a déclenché une version de la tyrannie aux États-Unis. Par un itinéraire subreptice et détourné, de nombreux fonctionnaires ont réussi d’une manière ou d’une autre à acquérir un pouvoir énorme pour eux-mêmes et à démontrer que toutes nos limites tant vantées en matière de gouvernement sont facilement transgressées dans les bonnes conditions. Maintenant, ils veulent utiliser ce pouvoir pour promulguer des changements permanents dans ce pays. À l’heure actuelle, les gens, les capitaux et les institutions les fuient vers des endroits plus sûrs et plus libres, ce qui ne fait que conduire les personnes au pouvoir à la folie. Ils complotent actuellement pour fermer les États libres par tous les moyens possibles. »
39) Les blocages aggravent la crise sanitaire , Younes, 2021«Nous soupçonnons qu’un jour, la mise en quarantaine de sociétés entières qui a été effectuée en réponse à la pandémie de coronavirus, conduisant de vastes pans de la population à devenir globalement plus malsaine et, ironiquement, plus susceptible aux conséquences graves du virus, sera considérée comme le 21 st  version siècle de saignées. Comme l’ a observé l’épidémiologiste Martin Kulldorff  , la santé publique ne concerne pas seulement une maladie, mais tous les résultats pour la santé. Apparemment, en 2020, les autorités ont oublié cette vérité évidente.
40) Les dommages causés par les confinements aux jeunes , Yang, 2021« Raisons biologiques et culturelles pour lesquelles les jeunes, se référant principalement aux moins de 30 ans, sont particulièrement vulnérables à l’isolement ainsi qu’aux perturbations du mode de vie provoquées par les confinements… » Les adultes de moins de 30 ans ont connu la plus forte augmentation de pensées suicidaires au cours de la même période , avec des taux d’idées suicidaires passant de  12,5 % à 14 %  chez les 18-29 ans. Pour de nombreux jeunes adultes interrogés, ces problèmes de santé mentale ont persisté jusqu’à l’été, malgré un assouplissement des restrictions. »
41) Perturbations du mode de vie et de la santé mentale pendant COVID-19 , Giuntella, 2021« COVID-19 a affecté la vie quotidienne de manière sans précédent. En nous appuyant sur un ensemble de données longitudinales d’étudiants avant et pendant la pandémie, nous documentons des changements spectaculaires dans l’activité physique, le sommeil, l’utilisation du temps et la santé mentale. Nous montrons que les données biométriques et d’utilisation du temps sont essentielles pour comprendre les impacts sur la santé mentale de COVID-19, car la pandémie a resserré le lien entre les comportements de style de vie et la dépression. »
42) CDC : un quart des jeunes adultes disent avoir envisagé de se suicider cet été pendant la pandémie , Miltimore , 2020« Un jeune adulte sur quatre âgé de 18 à 24 ans déclare avoir envisagé de se suicider au cours du mois dernier à cause de la pandémie, selon les nouvelles données du CDC qui brossent un tableau sombre de la santé mentale du pays pendant la crise. Les données signalent également une augmentation de l’anxiété et de la toxicomanie, avec plus de 40% des personnes interrogées déclarant avoir souffert d’un problème de santé mentale ou comportementale lié à l’urgence de Covid-19. L’étude du CDC a analysé 5 412 répondants à l’enquête entre le 24 et le 30 juin.
43) Augmentation mondiale des problèmes de santé mentale chez les enfants en période de pandémie , LEICESTER, 2021« Pour les médecins qui les soignent, l’impact de la pandémie sur la santé mentale des enfants est de plus en plus alarmant. L’hôpital pédiatrique de Paris qui s’occupe de Pablo a vu le nombre d’enfants et de jeunes adolescents nécessitant un traitement après des tentatives de suicide depuis septembre. et sinon autodestructeur. Au Japon, les suicides d’enfants et d’adolescents ont  atteint des niveaux record  en 2020, selon le ministère de l’Éducation.
44) Blocages : Le Grand Débat , AIER, 2020« Les blocages mondiaux, à cette échelle avec ce niveau de rigueur, ont été sans précédent. Et pourtant, nous avons des exemples d’une poignée de pays et d’États américains qui ne l’ont pas fait, et leur bilan en matière de minimisation du coût de la pandémie est meilleur que celui des pays et États bloqués. Les preuves que les fermetures ont fait du bien en termes de santé publique font toujours défaut. »
45) Les politiques de confinement du COVID-19 au fil du temps pourraient coûter plus de vies au niveau de la métapopulation , Wells, 2020« Montrez que les efforts de confinement limités dans le temps, qui ont le potentiel d’aplatir les courbes épidémiques, peuvent entraîner une propagation plus large de la maladie et une plus grande taille des épidémies dans les métapopulations. »
46) L’urgence Covid-19 n’a pas justifié les confinements, Boudreaux , 2021« Pourtant, il n’y avait pas de calcul aussi minutieux pour les blocages imposés dans la précipitation pour lutter contre Covid-19. Les blocages étaient simplement  supposés  non seulement efficaces pour ralentir considérablement la propagation du SRAS-CoV-2, mais également pour n’imposer que des coûts acceptables. Malheureusement, étant donné la nouveauté des blocages et l’énorme ampleur de leurs inconvénients probables, cette attitude étrangement optimiste à l’égard des blocages était – et reste – totalement injustifiée. »
47) Décès et confinements, Tierney, 2021« Maintenant que les chiffres de 2020 ont été correctement calculés, il n’y a toujours aucune preuve convaincante que des verrouillages stricts ont réduit le nombre de morts de Covid-19. Mais un effet est clair : plus de décès dus à d’autres causes, en particulier parmi les jeunes et les personnes d’âge moyen, les minorités et les moins riches. Le meilleur indicateur de l’impact de la pandémie est ce que les statisticiens appellent la « surmortalité », qui compare le nombre total de décès avec le total des années précédentes. Cette mesure a augmenté chez les Américains plus âgés à cause de Covid-19, mais elle a augmenté à un taux encore plus élevé chez les personnes âgées de 15 à 54 ans, et la plupart de ces décès excessifs n’ont pas été attribués au virus. »
48) La pandémie de COVID pourrait entraîner 75 000 décès supplémentaires dus à l’abus d’alcool et de drogues et au suicide , Well Being Trust, 2021« Le mémoire note que si le pays  n’investit pas dans des solutions qui peut aider à guérir l’isolement, la douleur et la souffrance de la nation, l’impact collectif de COVID-19 sera encore plus dévastateur. Trois facteurs, déjà à l’œuvre, exacerbent les décès dus au désespoir : un échec économique sans précédent associé à un chômage massif, un isolement social obligatoire pendant des mois et un éventuel isolement résiduel pendant des années, et l’incertitude causée par l’émergence soudaine d’un nouveau microbe jusqu’alors inconnu… le mortel. L’impact des blocages augmentera dans les années à venir, en raison des conséquences économiques et éducatives durables. Les États-Unis connaîtront plus d’un million de décès supplémentaires aux États-Unis au cours des deux prochaines décennies en raison du «choc du chômage» massif de l’année dernière… les fermetures sont la pire erreur de santé publique au cours des 100 dernières années », a  déclaré le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la Stanford Medical School. « Nous compterons les dommages catastrophiques pour la santé et les souffrances psychologiques infligés à presque toutes les personnes pauvres de la planète, pendant une génération. »
49) Le professeur explique les défauts de nombreux modèles utilisés pour les politiques de verrouillage COVID-19 , Chen, 2021«Le professeur d’économie Doug Allen voulait savoir pourquoi tant de premiers modèles utilisés pour créer des politiques de verrouillage COVID-19 se sont avérés très incorrects. Ce qu’il a découvert, c’est qu’une grande majorité était basée sur de fausses hypothèses et « avait tendance à surestimer les avantages et à sous-estimer les coûts ». Il a trouvé troublant que des politiques telles que le verrouillage total soient basées sur ces modèles. « Ils ont été construits sur un ensemble d’hypothèses. Ces hypothèses se sont avérées très importantes, et les modèles y sont très sensibles, et elles se sont avérées fausses », a déclaré Allen, professeur d’économie à Burnaby Mountain à l’Université Simon Fraser, dans une interview. L’efficacité limitée des confinements explique pourquoi, après un an, les décès cumulés inconditionnels par million, et le schéma des décès quotidiens par million, n’est pas corrélée négativement avec la rigueur du verrouillage dans tous les pays », écrit Allen. En d’autres termes, selon son évaluation, les fermetures lourdes ne réduisent pas de manière significative le nombre de décès dans les zones où elles sont mises en œuvre, par rapport aux zones où les fermetures n’ont pas été mises en œuvre ou aussi strictes. »
50) Le mouvement anti-verrouillage est important et en pleine croissance , Tucker, 2021« La leçon : les politiques de verrouillage n’ont pas réussi à protéger les personnes vulnérables et n’ont pratiquement rien fait pour supprimer ou contrôler le virus. AIER a rassemblé au total  35 études  ne révélant aucun lien entre les blocages et les résultats de la maladie. En outre, la Heritage Foundation a publié un  résumé exceptionnel  de l’expérience de Covid, révélant que les blocages étaient en grande partie un théâtre politique qui détournait l’attention de ce qui aurait dû être une bonne pratique de santé publique. »
51) La vilaine vérité sur les blocages de Covid-19 , Hudson, 2021« En suivant les données et les communications officielles des organisations mondiales, PANDA dévoile ce qui s’est passé qui nous a conduits à des blocages délétères, qui continuent d’avoir d’énormes impacts négatifs à travers le monde. »
52) L’impact catastrophique des blocages sociétaux forcés de Covid , Alexander, 2020« Il convient également de noter que ces actions restrictives irrationnelles et déraisonnables ne se limitent pas à une seule juridiction comme les États-Unis, mais se sont produites de manière choquante dans le monde entier. Il est stupéfiant de savoir pourquoi les gouvernements, dont le rôle principal est de protéger leurs citoyens, prennent ces mesures punitives malgré les preuves irréfutables que ces politiques sont mal orientées et très nuisibles ; causant un préjudice palpable au bien-être humain à tant de niveaux. Cela équivaut à de la folie ce que les gouvernements ont fait à leurs populations et en grande partie sur la base d’aucune base scientifique. Rien! En cela, nous avons perdu nos libertés civiles et nos droits essentiels, tous basés sur une fausse « science » ou pire, l’opinion, et cette érosion des libertés fondamentales et de la démocratie est défendue par les chefs de gouvernement qui ignorent les limites constitutionnelles (États-Unis) et de la Charte (Canada) à leur droit d’élaborer et d’adopter des politiques. Ces restrictions inconstitutionnelles et sans précédent ont eu un impact considérable sur notre santé et notre bien-être et ciblent également les préceptes mêmes de la démocratie ; d’autant plus que cette pandémie virale n’a pas un impact global sur la société différent de celui des pandémies précédentes. Il n’y a tout simplement aucune justification défendable pour traiter cette pandémie différemment. » d’autant plus que cette pandémie virale n’a pas un impact global sur la société différent de celui des pandémies précédentes. Il n’y a tout simplement aucune justification défendable pour traiter cette pandémie différemment. » d’autant plus que cette pandémie virale n’a pas un impact global sur la société différent de celui des pandémies précédentes. Il n’y a tout simplement aucune justification défendable pour traiter cette pandémie différemment. »
53) Implications cardiovasculaires et immunologiques de la distanciation sociale dans le contexte de COVID-19 , D’Acquisto , 2020«Il est clair que les mesures de distanciation sociale telles que le verrouillage pendant la pandémie de COVID-19 auront des effets ultérieurs sur le corps, y compris les systèmes immunitaire et cardiovasculaire, dont l’étendue dépendra de la durée de ces mesures. Le message à retenir de ces investigations est que l’interaction sociale fait partie intégrante d’un large éventail de conditions qui influencent l’homéostasie cardiovasculaire et immunologique.
54) Une analyse statistique du COVID-19 et des mesures de protection du gouvernement aux États-Unis . Dayaratna , 2021«Notre analyse démontre que le délai entre le premier cas d’un État et les changements volontaires de mobilité de résidence, qui se sont produits avant l’imposition d’ordonnances de refuge sur place dans 43 États, a en effet réduit le temps nécessaire pour atteindre la croissance maximale des cas par habitant. D’un autre côté, notre analyse indique également que ces changements de comportement n’étaient pas significativement efficaces pour réprimer la mortalité… nos simulations trouvent un effet négatif du temps entre le premier cas d’un État et l’imposition d’ordonnances de refuge sur place sur le temps nécessaire pour atteindre les seuils de mortalité par habitant spécifiés. Notre analyse révèle également un effet négatif légèrement plus faible sur le délai entre le premier cas d’un État et l’imposition d’interdictions de rassemblements de plus de 500 personnes…. les ordonnances d’hébergement sur place peuvent également avoir des conséquences négatives imprévues sur la santé, y compris la capacité d’amener les patients à éviter les visites aux cabinets de médecins et aux salles d’urgence. En outre, ces politiques peuvent amener des personnes, y compris celles souffrant de maladies chroniques, à sauter des rendez-vous médicaux de routine, à ne pas rechercher les procédures de routine pour diagnostiquer un cancer avancé, à ne pas poursuivre les coloscopies de dépistage du cancer, à reporter les cathétérismes cardiaques non urgents, à ne pas pouvoir rechercher des soins de routine si ils souffrent de douleurs chroniques et souffrent d’effets sur la santé mentale, entre autres… les décès par surdose de drogue, la consommation d’alcool et les idées suicidaires ont également augmenté en 2020 par rapport aux années précédentes.
55) Blocages à Taïwan : mythes contre réalité , Gartz, 2021« Les articles  citant  un « resserrement » des règles ne reconnaissent que brièvement que Taïwan n’a jamais été verrouillé. Au lieu de cela, ils attribuent l’augmentation des cas à un  assouplissement des restrictions de voyage  et au fait que les gens deviennent « plus détendus ou insouciants au fil du temps ». Un examen plus approfondi révèle que ce changement sévère des restrictions consiste à plafonner les rassemblements à  500 pour l’extérieur et 100 pour l’intérieur  à 10 et 5 respectivement  – plus conforme aux limites de rassemblement imposées par les pays occidentaux. La réalité est que les 124 éléments d’action hyperboliques déforment le Approche taïwanaise. Par rapport à d’autres pays, Taïwan est un phare de liberté : les enfants sont toujours scolarisés, les professionnels ont continué à travailler et les hommes d’affaires ont pu garder leurs entreprises ouvertes.
56) Les blocages doivent être intellectuellement discrédités une fois pour toutes , Yang, 2021« Les blocages n’apportent aucun avantage significatif et ils causent des dommages collatéraux inutiles. Des actions volontaires et des aménagements légers pour protéger les personnes vulnérables selon une analyse complète, et non des études triées sur le volet avec des délais trop courts, offrent une atténuation des virus similaire, voire meilleure, par rapport aux politiques de verrouillage. De plus, contrairement à ce que beaucoup tentent de dire, ce sont les confinements qui sont le facteur causal des dommages économiques et sociaux sans précédent qui ont été infligés à la société. »
57) La stratégie COVID-19 du Canada est un assaut contre la classe ouvrière , Kulldorff, 2020« La stratégie canadienne de verrouillage COVID-19 est la pire agression contre la classe ouvrière depuis de nombreuses décennies. Les étudiants et les jeunes professionnels à faible risque sont protégés ; tels que les avocats, les employés du gouvernement, les journalistes et les scientifiques qui peuvent travailler à domicile ; tandis que les personnes âgées de la classe ouvrière à haut risque doivent travailler, risquant leur vie en générant l’immunité de la population qui contribuera à terme à protéger tout le monde. C’est à l’envers, entraînant de nombreux décès inutiles dus à la fois au COVID-19 et à d’autres maladies. »
58) Notre Covid-19 Plan d’ minimiserait la mortalité et Lockdown induite par dommages collatéraux , Kulldorff, 2020« Alors que la mortalité est inévitable pendant une pandémie, la stratégie de verrouillage du COVID-19 a entraîné  plus de 220 000 décès , la classe ouvrière urbaine portant le fardeau le plus lourd. De nombreux travailleurs âgés ont été contraints d’accepter un risque de mortalité élevé ou une pauvreté accrue, ou les deux. Alors que les verrouillages actuels sont moins stricts qu’en mars, la stratégie de verrouillage et de recherche des contacts est la pire agression contre la classe ouvrière depuis la ségrégation et la guerre du Vietnam. Les politiques de verrouillage ont fermé des écoles, des entreprises et des églises, tout en n’appliquant pas de protocoles stricts pour protéger les -risques résidents en maison de retraite. Les fermetures d’universités et les déplacements économiques causés par les fermetures ont conduit des  millions de jeunes adultes à vivre avec des parents plus âgés , augmentant les interactions étroites régulières entre les générations. »
59) Les coûts sont trop élevés ; le scientifique qui veut que le confinement soit levé plus vite ; Gupta, 2021« Il devient clair que de nombreuses personnes ont été exposées au virus et que le taux de mortalité chez les personnes de moins de 65 ans n’est pas quelque chose pour lequel vous verrouilleriez l’économie », dit-elle. « Nous ne pouvons pas seulement penser à ceux qui sont vulnérables à la maladie. Nous devons également penser à ceux qui sont vulnérables au confinement. Les coûts du verrouillage sont trop élevés à ce stade. »
60) Examen de l’impact des restrictions de la première vague de COVID-19 sur les soins contre le cancer , Collateral Global, Heneghan ; 2021« Les mesures restrictives lors de la première vague de la pandémie de COVID19 en 2019-2020 ont entraîné une perturbation mondiale à grande échelle des soins contre le cancer. Les futures restrictions devraient tenir compte des perturbations des parcours de soins contre le cancer et planifier pour prévenir les dommages inutiles. »
61) Une étude allemande révèle que le verrouillage «n’a eu aucun effet» sur l’arrêt de la propagation du coronavirus , Watson, 2021« Les chercheurs de Stanford n’ont trouvé « aucun effet bénéfique clair et significatif de [mesures plus restrictives] sur la croissance des cas dans aucun pays ».
62) Le verrouillage coûtera l’équivalent de 560 000 vies en raison de l’impact sur la santé de la « récession profonde et prolongée qu’il provoquera », prévient un expert , Adams/Thomas/Daily Mail, 2020« Les fermetures finiront par faire l’équivalent de plus de 500 000 vies en raison de l’impact sur la santé de la » récession profonde et prolongée qu’elle provoquera « .
63) L’ anxiété causée par les réactions à Covid-19 détruira au moins sept fois plus d’années de vie que ne peuvent être sauvées par les blocages , Glen, 2021« De même, un  article de 2020  sur les quarantaines publié dans  The Lancet  déclare : « La séparation d’avec ses proches, la perte de liberté, l’incertitude quant à l’état de la maladie et l’ennui peuvent, à l’occasion, créer des effets dramatiques. Des suicides ont été signalés, une colère considérable a été générée et des poursuites judiciaires ont été intentées à la suite de l’imposition de la quarantaine lors des épidémies précédentes. Les avantages potentiels de la quarantaine de masse obligatoire doivent être soigneusement pesés par rapport aux coûts psychologiques possibles. » Pourtant, lorsqu’ils traitent de  Covid-19  et d’autres problèmes, les politiciens ignorent parfois ce principe essentiel d’une prise de décision judicieuse. Pour un excellent exemple, le gouverneur du NJ, Phil Murphy, a récemment  insisté qu’il doit maintenir un verrouillage ou « il y aura du sang sur nos mains ». Ce que cette déclaration ne reconnaît pas, c’est que les blocages tuent également des personnes via les mécanismes détaillés ci-dessus… le virus – éteindra au moins  sept fois  plus d’années de vie que ce qui peut être sauvé par les blocages. Encore une fois, tous ces chiffres minimisent les décès dus à l’anxiété et maximisent les vies sauvées par les blocages. Dans les scénarios plus modérés documentés ci-dessus, l’anxiété détruira plus de  90 fois  la vie sauvée par les blocages. »
64) L’impact psychologique de la quarantaine et comment le réduire : examen rapide des preuves , Brooks, 2020« Effets psychologiques négatifs signalés, notamment des symptômes de stress post-traumatique, de la confusion et de la colère. Les facteurs de stress comprenaient une durée de quarantaine plus longue, des craintes d’infection, de la frustration, de l’ennui, des fournitures inadéquates, des informations inadéquates, des pertes financières et la stigmatisation. Certains chercheurs ont suggéré des effets durables. Dans les situations où la mise en quarantaine est jugée nécessaire, les autorités doivent mettre les personnes en quarantaine pour une durée n’excédant pas celle requise, fournir une justification claire de la mise en quarantaine et des informations sur les protocoles, et s’assurer que des fournitures suffisantes sont fournies. Faire appel à l’altruisme en rappelant au public les avantages de la quarantaine pour la société au sens large peut être favorable. »
65) Le verrouillage «n’a eu aucun effet» sur la pandémie de coronavirus en Allemagne , Huggler, 2021« Une nouvelle étude menée par des scientifiques allemands prétend avoir trouvé des preuves que les blocages peuvent avoir eu peu d’effet sur le contrôle de la pandémie de coronavirus. Les statisticiens de l’Université de Munich n’ont trouvé « aucun lien direct » entre le verrouillage allemand et la baisse des taux d’infection dans le pays.»
66) Chercheurs suédois : les restrictions anti-corona ont tué autant de personnes que le virus lui – même , Peterson, 2021« Les restrictions contre le coronavirus ont tué autant de personnes que le virus lui-même. Les restrictions ont d’abord et avant tout frappé les régions les plus pauvres du monde et les jeunes, pensent les chercheurs, pointant du doigt les enfants morts de malnutrition et de diverses maladies. Ils ont également signalé des adultes décédés de maladies qui auraient pu être traitées. « Ces décès que nous voyons dans les pays pauvres sont liés aux femmes qui meurent en couches, aux nouveau-nés qui meurent prématurément, aux enfants qui meurent de pneumonie, de diarrhée et de paludisme parce qu’ils sont mal nourris ou non vaccinés », a déclaré Peterson.
67) Les blocages quittent Londres brisé , fardeau, 2021«En temps normal, Londres fonctionne sur un réseau tentaculaire de trains et de bus qui amènent des millions de navetteurs à travailler et à dépenser. Demander à ces personnes de travailler à domicile a arraché le cœur de l’économie, laissant la capitale britannique plus comme une  ville fantôme  que comme une métropole florissante. La ville sort maintenant d’une année de fermetures  avec des cicatrices plus profondes que la plupart du reste du Royaume-Uni  De nombreux restaurants, théâtres et magasins restent fermés et les travailleurs migrants qui les employaient ont fui vers leur pays d’origine par dizaines de milliers. Même lorsque la  plupart des règles expirent en juin, les nouvelles restrictions aux frontières depuis que le Royaume-Uni a quitté l’Union européenne rendront le retour plus difficile pour beaucoup. En conséquence, le modèle économique de la ville axé sur la densité de population est en plein bouleversement, et de nombreux atouts de Londres se sont transformés en faiblesses.
68) Les blocages sont un pas de trop dans la lutte contre Covid-19 , Nocera, 2020«La vérité est que l’utilisation de verrouillages pour arrêter la propagation du coronavirus n’a jamais été une bonne idée. S’ils ont une quelconque utilité, c’est à court terme : pour aider à garantir que les hôpitaux ne soient pas débordés au début de la pandémie. Mais les fermetures à long terme d’écoles et d’entreprises, et l’insistance pour que les gens restent à l’intérieur – que presque tous les États ont imposés à un moment ou à un autre – étaient des exemples de politique publique terriblement malavisée. Il est probable que lorsque l’histoire de cette pandémie sera racontée, les blocages seront considérés comme l’une des pires erreurs que le monde ait commises. »
69) Arrêtez les mensonges : les verrouillages n’ont pas protégé et ne protègent pas les personnes vulnérables , Alexander, 2021« Le confinement n’a pas protégé les  personnes vulnérables , mais leur a plutôt fait du mal et a déplacé le fardeau de la morbidité et de la mortalité vers les défavorisés. »
70) Pourquoi les arrêts et les masques conviennent à l’élite , Swaim, 2021«Le différend sur les masques – comme ceux sur les fermetures d’écoles, les fermetures d’entreprises, les directives de distanciation sociale et tout le reste – aurait toujours dû être une discussion sur les risques acceptables par rapport aux risques inacceptables. Mais la prépondérance des dirigeants culturels et politiques américains n’a montré aucune capacité à penser le risque d’une manière utile. »
71) L’impact de la pandémie de COVID-19 et des réponses politiques sur la surmortalité , Agrawal, 2021« Découvrez que suite à la mise en œuvre des politiques SIP, la surmortalité augmente. L’augmentation de la surmortalité est statistiquement significative dans les semaines qui suivent immédiatement la mise en œuvre du SIP pour la comparaison internationale uniquement et se produit malgré le fait qu’il y ait eu une baisse du nombre de surmortalités avant la mise en œuvre de la politique… n’a pas réussi à trouver que les pays ou Les États américains qui ont mis en œuvre des politiques SIP plus tôt et dans lesquels les politiques SIP avaient plus de temps à fonctionner, avaient un excès de décès inférieur à celui des pays/États américains qui étaient plus lents à mettre en œuvre des politiques SIP. Nous n’avons pas non plus observé de différences dans les tendances de décès excessifs avant et après la mise en œuvre des politiques SIP basées sur les taux de mortalité pré-SIP COVID-19. »
72) COVID-19 Lockdowns plus de 10 fois plus mortel que la pandémie elle – même , Revolver, 2020«Nous nous sommes appuyés sur des études économiques existantes sur les effets du chômage sur la santé pour calculer une estimation du nombre d’années de vie qui auront été perdues en raison des blocages aux États-Unis, et nous avons mis cela en balance avec une estimation du nombre d’années de vie. auront été sauvés par les confinements. Les résultats sont tout simplement stupéfiants et suggèrent que les blocages finiront par coûter aux Américains plus de 10 fois plus d’années de vie qu’ils n’économiseront du virus lui-même. »
73) L’impact des interruptions de la vaccination des enfants , Collateral Global, 2021« Les mesures en cas de pandémie de COVID-19 ont considérablement perturbé les services de vaccination des enfants et leur utilisation. Dans les futures pandémies, et pour le reste de l’actuelle, les décideurs politiques doivent garantir l’accès aux services de vaccination et fournir des programmes de rattrapage pour maintenir des niveaux élevés de vaccination, en particulier chez les personnes les plus vulnérables aux maladies infantiles afin d’éviter de nouvelles inégalités. »
74) Les commandes d’ abris sur place n’ont pas sauvé de vies pendant la pandémie, conclut un document de recherche , Howell, 2021, les
blocages de COVID-19 ont causé plus de décès au lieu de les réduire, selon une étude
« Des chercheurs de  la RAND Corporation  et de l’  Université de Californie du Sud ont  étudié la surmortalité de toutes causes, virus ou autre, dans 43 pays et les 50 États américains qui ont imposé des politiques de refuge sur place, ou « SIP ». Bref, les commandes n’ont pas fonctionné. « Nous ne parvenons pas à découvrir que les politiques SIP ont sauvé des vies. Au contraire, nous trouvons une association positive entre les polices SIP et les décès excessifs. Nous constatons qu’après la mise en œuvre des politiques SIP, la surmortalité augmente », ont déclaré les chercheurs dans un document de travail   pour le National Bureau of Economic Research (NBER).
75) Les experts ont déclaré que la fin des blocages serait pire pour l’économie que les blocages eux-mêmes. Ils avaient tort , Institut Mises, 2021« Rien n’indique que les États avec des périodes de verrouillage plus longues et une distanciation sociale forcée se soient mieux comportés économiquement que les États qui ont abandonné les restrictions de covid beaucoup plus tôt. Au contraire, de nombreux États qui ont mis fin aux blocages tôt – ou ne les avaient pas du tout – affichent désormais  moins de  chômage et  plus de  croissance économique que les États qui ont imposé des blocages et des règles de distanciation sociale beaucoup plus longtemps. L’absence totale de corrélation entre le succès économique et les fermetures de Covid illustre encore une fois que les prédictions confiantes des experts – qui ont insisté sur le fait que les États sans longues fermetures subiraient des bains de sang et des destructions économiques – étaient très fausses. »
76) Les méfaits des blocages, les dangers de la censure et une voie à suivre , AIER, 2020« Quand vous lisez les échecs du renseignement, le plus spectaculaire étant probablement le fiasco des armes de destruction massive, la leçon qu’ils étaient censés en tirer, et peut-être qu’ils ont appris, est que vous devez encourager la dissonance cognitive. Vous devez encourager la pensée critique. Vous devez avoir des gens qui voient les choses différemment de votre point de vue traditionnel, car cela vous aidera à éviter de commettre des erreurs catastrophiques. Cela vous aidera à rester honnête. Et nous avons fait exactement le contraire au lieu d’encourager la pensée critique, des idées différentes, nous l’avons étouffée. C’est ce qui rend les actions de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario à votre égard si choquantes, car c’est tout le contraire de ce que nous devons faire.
77) COMPRENDRE LES DIFFÉRENCES INTERRÉGIONALES DES TAUX DE MORTALITÉ COVID-19 , PANDA, 2021« Nous ne pouvons pas prétendre que l’adoption progressive de ces mesures a un impact sur l’atténuation des risques. Il s’agit d’une considération importante pour les décideurs politiques qui doivent soigneusement équilibrer les avantages d’une stratégie de verrouillage progressif avec les dommages économiques causés par une telle intervention. »
78) Leçons potentielles des réponses sanitaires de Taïwan et de la Nouvelle-Zélande à la pandémie de COVID-19 , étés, 2020« Une vaste infrastructure de santé publique établie à Taïwan avant COVID-19 a permis une réponse coordonnée rapide, en particulier dans les domaines du dépistage précoce, des méthodes efficaces d’isolement/de quarantaine, des technologies numériques pour identifier les cas potentiels et de l’utilisation massive de masques. Cette réponse rapide et vigoureuse a permis à Taïwan d’éviter le verrouillage national utilisé par la Nouvelle-Zélande. De nombreux éléments de contrôle de la pandémie de Taiwan pourraient potentiellement être adoptés par d’autres juridictions. »
79) 5 fois plus d’enfants se sont suicidés que sont morts de COVID-19 pendant le verrouillage : étude britannique, Phillips, 2021« Cinq fois plus d’enfants et de jeunes se sont suicidés que de morts de  COVID-19 au  cours de la première année de la pandémie au Royaume-Uni, selon une étude, qui a également conclu que les confinements sont plus préjudiciables à la santé des enfants que le virus lui-même. »
80) Une étude indique que les blocages ont augmenté le nombre de décès par désespoir , Yang, 2021« Des morts de désespoir dues en grande partie à l’isolement social. Qu’ils pensent ou non que les fermetures fonctionnent, les décideurs doivent être conscients du fait que la fermeture de la société entraîne également des décès excessifs. Que ce soit à cause des politiques gouvernementales elles-mêmes ou de la conformité volontaire de la société imposant le despotisme doux de l’hystérie populaire, l’isolement social fait des ravages dans la vie de nombreuses personnes.
81) DÉCÈS DU DÉSESPOIR ET DE L’INCIDENCE DE LA SURMORTALITÉ EN 2020 , Mulligan, 2020« Vraisemblablement, l’isolement social fait partie du mécanisme qui transforme une pandémie en une vague de décès par désespoir. Cependant, les résultats de cet article ne disent pas combien, le cas échéant, provient des ordonnances de séjour à domicile du gouvernement par rapport aux diverses mesures prises par les ménages et les entreprises privées pour encourager la distanciation sociale. »
82) Effets du confinement sur la santé mentale de la population générale pendant la pandémie de COVID-19 en Italie : Résultats du réseau collaboratif COMET , Fiorillo, 2020« Bien que l’isolement physique et le confinement représentent des mesures de santé publique essentielles pour contenir la propagation de la pandémie de COVID-19, ils constituent une menace sérieuse pour la santé mentale et le bien-être de la population en général. En tant que partie intégrante de la réponse au COVID-19, les besoins en santé mentale doivent être pris en compte. »
Santé mentale et pandémie de Covid-19 , Pfefferbaum, 2020« La pandémie de Covid-19 a des implications alarmantes pour la santé individuelle et collective et le fonctionnement émotionnel et social. En plus de fournir des soins médicaux, les prestataires de soins de santé déjà sollicités ont un rôle important dans la surveillance des besoins psychosociaux et la fourniture d’un soutien psychosocial à leurs patients, aux prestataires de soins de santé et au public – des activités qui devraient être intégrées aux soins de santé généraux en cas de pandémie.
83) Pourquoi les blocages gouvernementaux nuisent principalement aux pauvres , Peterson, 2021« Pour les pays développés, les blocages ont indubitablement imposé des coûts économiques et sanitaires importants. De nombreux travailleurs du secteur des services, comme l’industrie alimentaire, par exemple, se sont retrouvés au chômage et ont dû compter sur les contrôles de relance du gouvernement pour les faire traverser les étapes les plus difficiles de la pandémie. Certaines entreprises ont dû fermer complètement leurs portes, laissant de nombreux employeurs sans emploi. Cela ne veut rien dire des  graves conséquences sur la santé mentale des ordonnances de verrouillage du gouvernement … Ces actions irresponsables du gouvernement sont particulièrement aiguës et plus néfastes dans les pays en développement et parmi les pauvres, car la plupart des travailleurs ne peuvent pas se permettre de sacrifier des semaines ou peut-être des mois de revenus, seulement être confiné à ce qui est en fait une assignation à résidence.
84) Coût des blocages : rapport préliminaire , AIER, 2020« Dans le débat sur la politique des coronavirus, on s’est beaucoup trop peu concentré sur les coûts des blocages. Il est très courant que les partisans de ces interventions écrivent des articles et de grandes études sans même mentionner les inconvénients.
85) En Afrique, la distanciation sociale est un privilège que peu peuvent se permettre , Noko, 2020« La distanciation sociale pourrait probablement fonctionner en Chine et en Europe – mais dans de nombreux pays africains, c’est un privilège que seule une minorité peut se permettre. »
86) Gaz lacrymogènes, coups et eau de Javel : les contrôles de verrouillage Covid-19 les plus extrêmes dans le monde , Ratcliff, 2020« La violence et l’humiliation utilisées pour contrôler les couvre-feux contre les coronavirus dans le monde entier, affectant souvent les plus pauvres et les plus vulnérables. »
87) « Abattez-les » : le président philippin Rodrigo Duterte ordonne à la police et à l’armée de tuer les citoyens qui défient le verrouillage du coronavirus , Capatides, 2020« Plus tard dans la nuit, le président philippin Rodrigo Duterte a pris les ondes avec un avertissement effrayant pour ses citoyens : défiez à nouveau les ordres de verrouillage et la police vous tirera dessus. »
88) La capitale colombienne se verrouille alors que les cas augmentent , Vyas, 2021
Les manifestations en Colombie deviennent mortelles au milieu des difficultés de Covid-19
« Bogotá, qui a enregistré un quart des cas du pays, avait déjà appliqué des restrictions à la mobilité et à la vente d’alcool afin de contenir les rassemblements et la propagation du virus avant d’étendre les mesures. » une refonte de la collection et  des blocages stricts en cas de pandémie  qui ont été accusés d’avoir provoqué un chômage de masse et plongé quelque quatre millions de personnes dans la pauvreté. »
89) L’ Argentine reçoit des coups d’AstraZeneca au milieu des manifestations contre le verrouillage , AL JAZEERA, 2021« De nouvelles restrictions COVID-19 ont été imposées à Buenos Aires et dans ses environs dans le but d’endiguer la récente augmentation des infections… Les Argentins sont cependant descendus dans la rue samedi pour protester contre les nouvelles restrictions liées aux coronavirus dans et autour de la capitale, Buenos Aires, qui est entré en vigueur vendredi… Horacio Rodriguez Larreta, chef du gouvernement de la ville, a déclaré la semaine dernière que Buenos Aires « totalement en désaccord [s] avec la décision du gouvernement national de fermer les écoles ».
90) Vies contre moyens de subsistance revisités : les pays les plus pauvres avec des populations plus jeunes devraient-ils avoir des verrouillages tout aussi stricts ? Von Carnap, 2020« Les économistes du monde riche ont largement soutenu des mesures de confinement strictes, rejetant tout compromis entre les vies et les moyens de subsistance… D’un point de vue macro, tout effet économique négatif d’un verrouillage réduit un budget avec déjà moins de ressources dans un pays pauvre. »
91) Répondre à la pandémie de COVID-19 dans les pays en développement : leçons de certains pays du Sud , Chowdhury, 2020« Si les tests, la recherche des contacts et d’autres mesures de confinement précoce avaient été effectués de manière adéquate et en temps opportun pour endiguer la transmission virale, des verrouillages à l’échelle nationale n’auraient pas été nécessaires et seules des zones limitées auraient dû être verrouillées à des fins de quarantaine. L’efficacité des mesures de confinement, y compris les blocages, est généralement jugée principalement par leur capacité à réduire rapidement les nouvelles infections, à « aplatir la courbe » et à éviter les vagues d’infections ultérieures. Cependant, les blocages peuvent avoir de nombreux effets, selon le contexte, et entraînent généralement des coûts économiques énormes, inégalement répartis dans les économies et les sociétés. »
92) Lutter contre COVID-19 avec un fédéralisme dysfonctionnel : leçons de l’Inde , Choutagunta , 2021« Découvrez que le verrouillage centralisé de l’Inde a été au mieux un succès partiel dans une poignée d’États, tout en imposant des coûts économiques énormes même dans des zones où peu ont été touchées par la pandémie. »
93) Les origines de l’idée de verrouillage en 2006 , Tucker, 2020« Maintenant, commence le grand effort, exposé quotidiennement dans des milliers d’articles et de journaux télévisés, pour normaliser d’une manière ou d’une autre le verrouillage et toute sa destruction des deux derniers mois. Nous n’avons pas verrouillé la quasi-totalité du pays en  1968/69,  1957 ou  1949-1952 , ni même en  1918 . Mais en quelques jours terrifiants en mars 2020, cela nous est arrivé à tous, provoquant une avalanche de destruction sociale, culturelle et économique qui résonnera à travers les âges. »
94) Les jeunes sont particulièrement vulnérables aux blocages , Yang, 2021« Les dommages causés à la société ont certainement été considérables, avec un   record de recul économique annualisé de 3,5% en 2020 et une baisse de 32,9% au deuxième trimestre de 2020, ce qui en fait l’un des déclins économiques les plus marqués de l’histoire moderne. Cependant, le niveau de souffrance et de traumatisme causé par ces politiques ne peut pas être correctement exprimé par les seules données économiques. Les politiques de verrouillage peuvent avoir causé des dommages financiers substantiels, mais les dommages sociaux sont tout aussi préoccupants, sinon plus. Dans l’ensemble, il y a eu une augmentation des rapports de  problèmes de santé mentale, comme la dépression et l’anxiété, qui sont liées à l’isolement social, à des perturbations importantes de la vie et à la peur existentielle de l’état du monde. Contrairement aux dollars perdus, les problèmes de santé mentale laissent des dommages réels et durables qui pourraient entraîner des complications plus tard dans la vie, voire l’automutilation ou le suicide. Pour les jeunes,  une augmentation drastique des suicides  a fait plus de morts que Covid-19. C’est parce qu’ils sont beaucoup moins vulnérables à Covid que les segments plus âgés de la population, mais beaucoup plus négativement impactés par les blocages. »
95) Plus de « suicides de Covid » que de décès de Covid chez les enfants , Gartz, 2021« Avant Covid, un jeune américain se  suicide  toutes les six heures . Le suicide est une menace majeure pour la santé publique et l’une des principales causes de décès chez les moins de 25 ans – une bien plus grande que Covid. Et c’est quelque chose que nous n’avons fait qu’empirer car nous, dirigés par des politiciens et « la science », avons privé nos plus jeunes membres de la société – qui constituent un tiers de la population américaine – de développement éducatif, émotionnel et social sans leur permission ou consentement pendant plus d’un an… la plus forte augmentation des décès de jeunes s’est produite dans la tranche d’âge des 15-24 ans — le groupe d’âge le plus susceptible de se suicider, et qui constitue 91 % des suicides de jeunes… ces « décès de désespoir » ont tendance à être plus élevés chez les jeunes. les jeunes, en particulier pour ceux qui sont sur le point d’obtenir leur diplôme ou d’entrer sur le marché du travail. Avec la contraction économique due aux blocages et aux fermetures forcées  d’universités, les jeunes sont confrontés à la fois à moins d’opportunités économiques et à un soutien social limité – qui joue un rôle important dans le signalement et la prévention de l’automutilation – via les réseaux sociaux. »
96) Comparaison des résultats de COVID-19 parmi les populations protégées et non protégées , Jani, 2021« Liez les dossiers de médecin de famille, de prescription, de laboratoire, d’hôpital et de décès et comparé les résultats COVID-19 parmi les individus protégés et non protégés dans l’ouest de l’Écosse. Sur les 1,3 million d’habitants, 27 747 (2,03 %) ont reçu le conseil de se protéger et 353 085 (26,85 %) ont été classés a priori comme à risque modéré… malgré la stratégie de protection, les individus à haut risque couraient un risque accru de décès.
97) Suède : malgré les variantes, pas de verrouillage, pas de décès quotidiens de Covid , Fumento, 2021« « Le verrouillage, c’est gagner du temps », a-t-  il déclaré l’année dernière . « Cela ne résout rien. » Essentiellement, le pays a « préchargé » ses décès et a diminué ces décès plus tard… Bien que la Suède se sente inévitablement sous-alimentée par des économies qui se sont verrouillées, « Covid-19 a eu un impact plutôt limité sur son économie par rapport à la plupart des autres pays européens, »  selon le cabinet de  conseil Nordetrade.com . « Des restrictions préventives plus douces contre Covid-19 plus tôt dans l’année et une forte reprise au troisième trimestre ont contenu la contraction du PIB », a-t-il déclaré. Ainsi, le pays que les médias aimaient haïr récolte le meilleur de tous les mondes : peu de cas actuels et morts, une croissance économique plus forte que les pays bloqués, et sa population n’a jamais connu le joug de la tyrannie. »
98) Leçons de confinement, Ross, 2021« Ne prenez jamais de mesures radicales sans avoir la preuve irréfutable que cela fonctionnera. Les autorités ont pris toutes sortes de mesures drastiques et n’étaient pas du tout intéressées à offrir des preuves et elles ne le sont toujours pas. Des bureaucrates non élus, qui ne savent rien de nous, ont dicté notre mode de vie jusque dans les moindres détails. Les autorités ont contraint des centaines de millions de personnes à porter des masques. Ils ont supposé que cela réduirait la transmission. Il est maintenant prouvé que les masques sont pires qu’inutiles. Soyez extrêmement réticents à commettre des violations massives de la Constitution. La Constitution est le plus grand atout de notre pays et notre étoile du nord. L’ignorer ou le piétiner n’est jamais une bonne idée. La Constitution est ce qui fait de nous ce que nous sommes. Nous devons le traiter comme le trésor qu’il est. Tenez toujours compte à la fois des coûts et des avantages et faites des projections au mieux des deux. Les coûts de pratiquement tous les aspects du verrouillage étaient supérieurs aux avantages, généralement bien supérieurs… Le report et l’annulation des rendez-vous médicaux ont entraîné des milliers de décès prématurés. »
99) Prof. Sunetra Gupta – Le nouveau verrouillage est une terrible erreur , Gupta, 2020«Je ne serais pas d’accord. Je pense qu’il existe une alternative, et cette alternative consiste à réduire les décès que cette pandémie pourrait causer en détournant nos énergies vers la protection des personnes vulnérables. Maintenant, pourquoi dirais-je cela ? La principale raison de dire cela est que les coûts des stratégies alternatives telles que le verrouillage sont si importants que nous nous retrouvons avec une réflexion sur la façon d’aller de l’avant, d’aller de l’avant, dans ce genre de situation actuelle sans nuire, pas seulement à ceux qui sont vulnérables au COVID, mais à la population en général d’une manière qui réponde aux normes que nous nous sommes fixées à partir du moment où nous sommes, peut-être pas nés, mais à partir du moment où nous avons pris conscience de ces responsabilités envers la société. »
100) Les méfaits du verrouillage l’emporteront largement sur les avantages , Hinton, 2021« Près de 1,2 million de personnes attendent au moins six mois pour des services vitaux. »
101) Les blocages ne fonctionnent pas , Stone/AEI, 2020« Les blocages ne fonctionnent pas. Cette simple phrase est suffisante pour déclencher une tempête de controverse ces jours-ci, que vous la prononciez en public (à quelqu’un à au moins six pieds de distance, bien sûr) ou en ligne. Dès que les mots quittent vos lèvres, ils commencent à être interprétés de manière extraordinaire. Pourquoi voulez-vous tuer des personnes âgées ? Pourquoi pensez-vous que l’économie est plus importante que de sauver des vies ? Pourquoi détestes-tu la science ? Êtes-vous un compère pour Trump? Pourquoi diffusez-vous des informations erronées sur la gravité du COVID ? Mais voici le problème : il n’y a aucune preuve que les verrouillages fonctionnent. Si des confinements stricts sauvaient réellement des vies, je serais tout pour eux, même s’ils avaient des coûts économiques importants. Mais, en termes simples, les arguments scientifiques et médicaux en faveur d’un verrouillage strict sont minces comme du papier… Si vous allez essentiellement annuler les libertés civiles de l’ensemble de la population pendant quelques semaines,
102) La science s’est tuée à cause de COVID-19, Raleigh/Federalist/Atlas, 2021« Les fermetures ont détruit des gens, a déclaré Atlas, en « fermant les soins médicaux, en empêchant les gens de rechercher des soins médicaux d’urgence, en augmentant l’abus de drogues, en augmentant les décès par suicide, en augmentant les dommages psychologiques, en particulier parmi la jeune génération. Des centaines et des milliers de cas de maltraitance d’enfants n’ont pas été signalés. Les cas d’automutilation chez les adolescents ont triplé… Les données de mortalité montrent qu’un tiers ou la moitié des décès pendant la pandémie n’étaient pas dus au COVID-19 », a déclaré Atlas. « Il s’agissait de décès supplémentaires en raison des blocages… nous devrions offrir des protections ciblées pour les personnes à haut risque mais pas de blocages pour les personnes à faible risque. »
103) Assemblage de pièces de puzzle de Covid en une image complète de pandémie , Brookes, 2021«Dans l’ensemble, il y a un impact positif minime de la politique de quarantaine, des exigences d’isolement, des régimes de test et de traçabilité, de la distanciation sociale, du masquage ou d’autres interventions non pharmaceutiques. Au départ, il s’agissait des seuls outils dans la boîte à outils des politiciens et des scientifiques interventionnistes. Au mieux, ils ont légèrement retardé l’inévitable, mais ils ont aussi causé des dommages collatéraux considérables.
104) Les blocages de Covid signalent la montée des politiques publiques par Ransom , O’Neill /MisesInstitute, 2021« La politique publique par rançon se produit lorsqu’un gouvernement impose une exigence de comportement aux individus et l’applique en punissant le grand public  dans son ensemble  jusqu’à ce qu’un niveau de conformité stipulé soit atteint. La méthode repose sur des membres du public et des commentateurs publics – comme Marcotte – qui imputeront la responsabilité de ces conséquences négatives aux citoyens récalcitrants qui n’adopteront pas les comportements préférés de la classe dirigeante. Dans la weltanschauung qui sous-tend ce type de gouvernance, les réactions du gouvernement aux comportements publics sont « données métaphysiquement » et sont traitées comme un simple épiphénomène des actions de membres individuels du public qui osent se comporter d’une manière qui n’est pas appréciée par les autorités publiques… ce qui a émergé comme mode de pensée inquiétant dans cette atmosphère est le  réflexe imputation du blâme  aux membres récalcitrants du public pour toute conséquence négative ultérieure imposée au public par les politiques gouvernementales. Si le gouvernement choisit d’imposer une conséquence négative au public, même conditionnellement au comportement du public, cette conséquence est une  politique choisie par le gouvernement  et doit être considérée comme un choix politique.
105) La Suède a enregistré un taux de mortalité inférieur à celui de la plupart des pays européens en 2020, malgré l’absence de verrouillage, Miltimore, 2021«Je pense que les gens réfléchiront probablement très attentivement à ces fermetures totales, à leur qualité réelle… ils ont peut-être eu un effet à court terme, mais quand vous le regardez tout au long de la pandémie, vous devenez de plus en plus dubitatif… données publié par  Reuters  qui montre que la Suède, qui a évité les blocages stricts adoptés par la plupart des pays du monde, a connu une augmentation plus faible de son taux de mortalité que la plupart des pays européens en 2020. »
106) Peser les coûts de COVID par rapport aux coûts de verrouillage , Leef/National Review, 2021« Pourtant, il n’y avait pas de calcul aussi minutieux pour les blocages imposés dans la précipitation pour lutter contre Covid-19. Les blocages étaient simplement  supposés  non seulement efficaces pour ralentir considérablement la propagation du SRAS-CoV-2, mais également pour n’imposer que des coûts acceptables. Malheureusement, étant donné la nouveauté des blocages et l’énorme ampleur de leurs inconvénients probables, cette attitude étrangement optimiste à l’égard des blocages était – et reste – totalement injustifiée. Et l’injustice de cette réaction est encore mise en évidence par le fait que, dans une société libre, la charge de la preuve incombe à ceux qui voudraient restreindre la liberté et non à ceux qui résistent à de telles restrictions… les décideurs politiques devraient être tout aussi intéressés par les coûts du problème que des coûts de toute solution proposée.
107) Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’ un économiste Bjørnskov , 2020« Explorez l’association entre la sévérité des politiques de verrouillage au premier semestre 2020 et les taux de mortalité. En utilisant deux indices des mesures politiques Covid 19 du Blavatnik Center et en comparant les taux de mortalité hebdomadaires de 24 pays européens au cours des premiers semestres de 2017-2020, et en abordant l’endogénéité des politiques de deux manières différentes, je ne trouve aucune association claire entre les politiques de verrouillage et le développement de la mortalité. « 
108) Augmentation des mortinaissances prématurées et réduction des naissances prématurées iatrogènes pour la compromission fœtale : une étude de cohorte multicentrique des effets de verrouillage du COVID-19 à Melbourne, Australie , Hui, 2021« Les restrictions de verrouillage dans un milieu à revenu élevé, en l’absence de taux élevés de maladie COVID-19, étaient associées à une augmentation significative des mortinaissances prématurées et à une réduction significative de la TP iatrogène pour une suspicion de compromission fœtale. »
109) Impact de la pandémie COVID19 sur la mortalité cardiovasculaire et l’activité de cathétérisme pendant le confinement dans le centre de l’Allemagne : une étude observationnelle , Nef, 2021«Pendant le verrouillage lié au COVID-19, une augmentation significative de la mortalité cardiovasculaire a été observée dans le centre de l’Allemagne, tandis que les activités de cathétérisme ont été réduites.»
110) Note de l’éditeur – Numéro de revue sur le cancer , Collateral Global, 2021« Avant les confinements, nous avions fait tellement de progrès dans la guerre contre le cancer. Entre 1999 et 2019, la mortalité  par cancer a  chuté de 27 % aux États-Unis, pour atteindre 600 000  décès  en 2019. Dans le monde, le taux de mortalité par cancer standardisé selon l’âge a  diminué  de 15 % depuis 1990. Le cancer, comme le COVID-19, est en proportion une maladie de la personne âgée, avec 27 % des cas  touchant les  personnes de 70 ans et plus et plus de 70 % des cas touchant les personnes de 50 ans et plus. Malgré les progrès contre la maladie, 18,1 millions de nouveaux cas ont été diagnostiqués dans le monde en 2018, et 9,6 millions de personnes sont  décédées du cancer… Près de huit patients cancéreux sur dix ont signalé des retards dans les soins, avec près de six sur dix sautant des visites chez le médecin, un sur quatre sautant l’imagerie et un sur six une chirurgie manquante… le bilan du cancer, exacerbé par le confinement et la panique, se poursuivra dans un avenir indéfini.
111) Impact du COVID-19 et du confinement partiel sur l’accès aux soins, l’autogestion et le bien-être psychologique chez les personnes atteintes de diabète : une étude transversale, Yeoh, 2021« COVID-19 et le verrouillage ont eu des impacts mitigés sur les comportements d’autosoins et de gestion. Des soins cliniques et une attention accrus devraient être fournis aux personnes atteintes de diabète présentant de multiples comorbidités et ayant déjà eu des troubles de santé mentale pendant la pandémie et le confinement… contacts sociaux, possibilités d’éducation, loisirs et soutien social. Un examen de l’impact psychologique de la quarantaine a démontré une prévalence élevée de symptômes psychologiques et de troubles émotionnels. »
112) Santé mentale pendant la pandémie de COVID-19 aux États-Unis : enquête en ligne , Jewell, 2020« Les résultats suggèrent que de nombreux résidents américains souffrent de symptômes de stress, de dépression et d’anxiété élevés, en particulier ceux qui sont sous-assurés, non assurés ou sans emploi. »
113) Santé mentale au Royaume-Uni pendant la pandémie de COVID-19 : analyses transversales d’une étude de cohorte communautaire , Jia, 2020« Une morbidité psychologique accrue était évidente dans cet échantillon britannique et s’est avérée plus fréquente chez les jeunes, les femmes et les personnes qui se sont identifiées comme faisant partie des groupes à risque reconnus pour le COVID-19. Les interventions de santé publique et de santé mentale capables d’améliorer les perceptions du risque de COVID-19, de s’inquiéter de la solitude de COVID-19 et de stimuler l’humeur positive peuvent être efficaces. »
114) L’impact psychologique de la quarantaine sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) , Luo, 2020« Sur la base de ces études, une grande quantité de symptômes ou de problèmes psychologiques se sont développés pendant la période de quarantaine, notamment l’anxiété (228/649, 35,1%), la dépression (110/649, 16,9%), la solitude (37/649, 5,7%) et le désespoir (6/649, 0,9 %). Une étude ( Dong et al., 2020 ) a rapporté que les personnes mises en quarantaine avaient des tendances ou des idées suicidaires que celles non mises en quarantaine. »
115) La pandémie de COVID-19 entraîne un recul majeur de la vaccination des enfants, selon de nouvelles données de l’OMS et de l’UNICEF , OMS, 2021« 23 millions d’enfants n’ont pas reçu de vaccins infantiles de base via les services de santé de routine en 2020, le nombre le plus élevé depuis 2009 et 3,7 millions de plus qu’en 2019 »
116) La faim liée au virus est liée à 10 000 décès d’enfants chaque mois , Hinnant, 2020« Partout dans le monde, le coronavirus et ses restrictions poussent des communautés déjà affamées par-  dessus bord, couper les maigres fermes des marchés et isoler les villages de l’aide alimentaire et médicale. La faim liée au virus entraîne la mort de 10 000 enfants supplémentaires par mois au cours de la première année de la pandémie, selon un appel urgent à l’action des Nations Unies partagé avec l’Associated Press avant sa publication dans le journal médical Lancet… Le les parents des enfants sont sans travail », a déclaré Annelise Mirabal, qui travaille avec une fondation qui aide les enfants malnutris à Maracaibo, la ville du Venezuela jusqu’à présent la plus durement touchée par la pandémie. « Comment vont-ils nourrir leurs enfants ? … en mai, se souvient Nieto, après deux mois de quarantaine au Venezuela, des jumeaux de 18 mois sont arrivés à son hôpital avec des corps gonflés par la malnutrition.
117) GC REPORT 3 : L’impact des restrictions pandémiques sur la santé mentale des enfants, Collateral Global, 2021« Les preuves montrent que l’impact global des restrictions COVID-19 sur la santé mentale et le bien-être des enfants et des adolescents est susceptible d’être grave… Huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou des symptômes psychologiques ou une augmentation des effets négatifs. sentiments dus à la pandémie de COVID-19. Les fermetures d’écoles ont contribué à l’augmentation de l’anxiété, de la solitude et du stress ; les sentiments négatifs dus au COVID-19 ont augmenté avec la durée des fermetures d’écoles. La détérioration de la santé mentale s’est avérée pire chez les femmes et les adolescents plus âgés. »
118) Conséquences imprévues des blocages : COVID-19 et la pandémie de l’ombre , Ravindran, 2021«En utilisant la variation de l’intensité des verrouillages imposés par le gouvernement en Inde, nous montrons que les plaintes pour violence domestique augmentent de 0,47 SD dans les districts avec les règles de verrouillage les plus strictes. Nous constatons une augmentation similaire des plaintes pour cybercriminalité. »
119) Augmentations prévues du suicide au Canada en raison de la COVID-19 , McIntyre, 2020« Une augmentation d’un point de pourcentage du chômage a été associée à une augmentation de 1,0 % des suicides entre 2000 et 2018. Dans le premier scénario, la hausse des taux de chômage a entraîné un total prévu de 418 suicides en excès en 2020-2021 (taux de suicide pour 100 000 : 11,6 en 2020). Dans le deuxième scénario, les taux de suicide projetés pour 100 000 habitants sont passés à 14,0 en 2020 et 13,6 en 2021, ce qui a entraîné un excès de 2 114 suicides en 2020-2021. Ces résultats indiquent que la prévention du suicide dans le contexte du chômage lié au COVID-19 est une priorité essentielle. »
120) COVID-19, chômage et suicide , Kawohl, 2020« Dans le scénario haut, le taux de chômage mondial passerait de 4,936% à 5,644%, ce qui serait associé à une augmentation des suicides d’environ 9570 par an. Dans le scénario bas, le chômage augmenterait à 5,088%, associé à une augmentation d’environ 2135 suicides… attendez-vous à un fardeau supplémentaire pour notre système de santé mentale, et la communauté médicale devrait se préparer à ce défi dès maintenant. Les prestataires de soins de santé mentale devraient également sensibiliser la politique et la société au fait que la hausse du chômage est associée à une augmentation du nombre de suicides. La réduction des effectifs de l’économie et la focalisation du système médical sur la pandémie de COVID-19 peuvent entraîner des problèmes imprévus à long terme pour un groupe vulnérable en marge de la société. »
121) L’impact de la pandémie de COVID-19 sur les décès par cancer dus aux retards de diagnostic en Angleterre, Royaume-Uni : étude de modélisation nationale basée sur la population , Maringe, 2020« Des augmentations substantielles du nombre de décès par cancer évitables en Angleterre sont à prévoir en raison des retards de diagnostic dus à la pandémie de COVID-19 au Royaume-Uni. »
122) Impact économique des décès par cancer évitables causés par un retard de diagnostic pendant la pandémie de COVID-19 : étude nationale de modélisation basée sur la population en Angleterre, Royaume – Uni , Gheorghe, 2021« Les décès prématurés par cancer résultant de retards de diagnostic au cours de la première vague de la pandémie de COVID-19 au Royaume-Uni entraîneront des pertes économiques importantes. Sur une base par habitant, cet impact est en effet supérieur à celui des décès directement attribuables au COVID-19. Ces résultats soulignent l’importance d’une évaluation solide des compromis des effets plus larges sur la santé, le bien-être et l’économie du NPI pour soutenir à la fois l’allocation des ressources et la hiérarchisation des services de santé urgents directement touchés par une pandémie, tels que les soins contre le cancer. »
123) Cancer pendant la pandémie de COVID-19 : avons-nous crié assez fort et est-ce que quelqu’un a écouté ? Un héritage durable pour les nations , Prix, 2021« Dans seulement quatre types de cancer (sein, côlon, poumon et œsophage), les études menées au cours de la première vague de la pandémie de COVID-19 (publiée en juillet 2020 [ 3 ]) ont prédit 60 000 années de vie perdues. Les années de vie ajustées sur la qualité et les pertes de productivité dues à ces décès excessifs par cancer ont été estimées dans ce nouvel article à 32 700 et 104 millions de livres sterling sur 5 ans, respectivement. C’est près de 1,5 fois plus élevé par habitant que celui des décès directement liés au COVID-19 au cours de cette période. Les auteurs confirment qu’il s’agit d’une estimation prudente pour ces groupes de cancer car elle ne prend pas en compte les pertes de productivité supplémentaires dues aux retards ou à la réduction de la qualité du traitement et de la migration de stade.
124) Activité de don et de transplantation au Royaume-Uni pendant le verrouillage du COVID-19 , Manara, 2020« Par rapport à 2019, le nombre de donneurs décédés a diminué de 66 % et le nombre de greffes de donneurs décédés a diminué de 68 %, des baisses plus importantes que ce que nous avions estimé. »
125) Revue systématique rapide : L’impact de l’isolement social et de la solitude sur la santé mentale des enfants et des adolescents dans le contexte de COVID-19 , Loades, 2020« Les enfants et les adolescents sont probablement plus susceptibles de connaître des taux élevés de dépression et très probablement d’anxiété pendant et après la fin de l’isolement forcé. Cela pourrait augmenter à mesure que l’isolement forcé se poursuit. »
126) Les coûts et avantages des blocages de Covid-19 en Nouvelle-Zélande , Lally, 2021« En utilisant les données disponibles jusqu’au 28 juin 2021, les décès supplémentaires estimés d’une stratégie d’atténuation sont de 1 750 à 4 600, ce qui implique un coût par année de vie ajustée sur la qualité économisé en verrouillant en mars 2020 au moins 13 fois le seuil généralement utilisé de 62 000 $. pour les interventions de santé en Nouvelle-Zélande ; les confinements ne semblent alors pas avoir été justifiés par référence au référentiel standard. En utilisant uniquement les données disponibles pour le gouvernement néo-zélandais en mars 2020, le ratio est similaire et donc la même conclusion tient que la stratégie de verrouillage à l’échelle nationale n’était pas justifiée. »
127) Tendances des idées suicidaires au cours des trois premiers mois de confinement COVID-19 , Killgore, 2020« Le pourcentage de personnes interrogées approuvant les idées suicidaires était plus élevé chaque mois qui passait pour les personnes soumises à des restrictions de verrouillage ou de refuge sur place en raison du nouveau coronavirus, mais est restée relativement stable et inchangée pour celles qui n’ont signalé aucune de ces restrictions. »
128) Mortalité cardiovasculaire pendant la pandémie de COVID-19 dans une grande ville brésilienne : une analyse complète , Brant, 2021« La plus grande fréquence de décès par MCV à domicile, parallèlement à des taux d’hospitalisation plus faibles, suggère que les soins des MCV ont été perturbés pendant les pandémies de COVID-19, qui ont davantage affecté les personnes plus âgées et plus vulnérables socialement, exacerbant les inégalités de santé en Bosnie-Herzégovine. »
129) Décès excessifs chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires pendant la pandémie de COVID-19 , Banerjee, 2021« Les données sur la mortalité suggèrent que les effets indirects sur les MCV seront différés plutôt que contemporains (RR de pointe de 1,14). L’activité des services cardiovasculaires a diminué de 60 à 100 % par rapport aux niveaux d’avant la pandémie dans huit hôpitaux en Chine, en Italie et en Angleterre. »
130) Décès cardiovasculaires pendant la pandémie de COVID-19 aux États-Unis , Wadhera, 2021« Les hospitalisations pour maladies cardiovasculaires aiguës ont diminué, ce qui fait craindre que les patients évitent les hôpitaux par peur de contracter le syndrome respiratoire aigu sévère-coronavirus-2 (SRAS-CoV-2)… il y a eu une augmentation des décès causés par une maladie cardiaque ischémique et maladies hypertensives dans certaines régions des États-Unis pendant la phase initiale de la pandémie de COVID-19. »
131) Le confinement des jeunes entraîne davantage de décès dus au Covid-19 , Berdine, 2020« Le 1er avril 2020, le Dr Anthony Fauci a  indiqué que les blocages devraient se poursuivre jusqu’à ce qu’il n’y ait aucun nouveau cas. Cette politique indiquait une stratégie dont l’objectif était l’éradication du virus par le confinement. L’hypothèse selon laquelle le virus pouvait être éradiqué était fausse. Alors que les particules virales individuelles peuvent certainement être tuées, le virus Covid-19 ne peut pas être éradiqué. Si le virus pouvait être éradiqué, alors l’Australie aurait déjà réussi son verrouillage brutal. Toutes les données scientifiques, par opposition aux vœux pieux issus des modèles Garbage In Garbage Out, indiquent que le virus est là pour toujours – un peu comme la grippe. Étant donné que le virus finira par se propager à l’ensemble de la population jeune et économiquement active, les blocages des jeunes ne peuvent probablement pas réduire la mortalité par rapport à l’action volontaire. »
132) Un deuxième verrouillage briserait les Sud-Africains , Griffiths, 2020«Il est probable que bientôt il y aura une augmentation des appels à un deuxième verrouillage dur à mesure que la situation empire, que ce soit dans tout le pays ou dans des provinces particulières. Si une telle décision est mise en œuvre, de nombreux Sud-Africains auront probablement dépassé leur point de rupture, car certains pourraient bien perdre ce qu’ils ont désespérément tenté de sauver pendant le verrouillage initial. »
133) CDC, Tendances longitudinales de l’indice de masse corporelle avant et pendant la pandémie de COVID-19 chez les personnes âgées de 2 à 19 ans – États-Unis, 2018-2020 , Lange, 2021« Pendant la pandémie de COVID-19, les enfants et les adolescents ont passé plus de temps que d’habitude loin des établissements scolaires structurés, et les familles qui étaient déjà touchées de manière disproportionnée par les facteurs de risque d’obésité pourraient avoir subi des perturbations supplémentaires en termes de revenus, de nourriture et d’autres déterminants sociaux de la santé. † Par conséquent, les enfants et les adolescents peuvent avoir connu des circonstances qui ont accéléré la prise de poids, notamment un stress accru, des heures de repas irrégulières, un accès moindre à des aliments nutritifs, une augmentation du temps passé devant un écran et moins de possibilités d’activité physique (p. 3) « 
134) La vérité sur les blocages , Rational Ground, 2021« 1,4 million de décès de tuberculose supplémentaires en raison de perturbations lockdown , 500.000 décès supplémentaires liés au VIH , décès dus au paludisme pourraient doubler pour atteindre 770.000 au total par an , diminution de 65 pour cent dans toutes les projections de cancer , le dépistage du cancer du sein a chuté de 89 pour cent , des projections colorectaux ont chuté de 85 pour cent , à au moins 1/3 des décès en excès aux États-Unis ne sont déjà pas liés au COVID-19 , Augmentation des arrêts cardiaques mais diminution des appels EMS pour eux , Augmentation significative de la cardiomyopathie liée au stress pendant les confinements ,132 millions de personnes supplémentaires en Afrique subsaharienne devraient être sous-alimentées en raison des perturbations du verrouillage , une étude estime que jusqu’à 2,3 millions de décès d’enfants supplémentaires au cours de la prochaine année dus au confinement , des millions de filles ont été privées d’accès à la nourriture, aux soins de santé de base et protection et des milliers exposés aux abus et à l’exploitation .
135) L’art rétrograde de ralentir la propagation ? Efficacité de la congrégation pendant COVID-19 , Mulligan, 2021«Les micro-preuves contredisent l’idéal de santé publique dans lequel les ménages seraient des lieux d’isolement et de transmission zéro. Au lieu de cela, les preuves suggèrent que « les ménages présentent les taux de transmission les plus élevés » et que « les ménages sont des environnements à haut risque pour la transmission de [COVID-19] ».
136) La politique de séjour à domicile est un cas d’erreur d’exception : une étude écologique basée sur Internet , Savaris, 2021«Après le prétraitement des données, 87 régions du monde ont été incluses, ce qui a donné 3741 comparaisons par paires pour l’analyse de régression linéaire. Seules 63 comparaisons (1,6 %) étaient significatives. Avec nos résultats, nous n’avons pas été en mesure d’expliquer si la mortalité liée au COVID-19 est réduite en restant à la maison dans ~ 98% des comparaisons après les semaines épidémiologiques 9 à 34. »
137) L’expérience ratée des blocages de Covid , Luskin, 2020« Six mois après le début de la pandémie de Covid-19, les États-Unis ont maintenant mené deux expériences à grande échelle en matière de santé publique – d’abord, en mars et avril, le verrouillage de l’économie pour arrêter la propagation du virus, et deuxièmement, depuis la mi -Avril, la réouverture de l’économie. Les résultats sont là. Aussi contre-intuitif que cela puisse être, l’analyse statistique montre que le verrouillage de l’économie n’a pas contenu la propagation de la maladie et que sa réouverture n’a pas déclenché une deuxième vague d’infections.
138) Entretien avec Gigi Foster, Warrior Against Lockdowns , Brownstone, 2021« Eh bien, je veux dire, nous avons pensé que c’était nécessaire parce que nous étions juste entourés de personnes qui ont adhéré à l’idéologie du verrouillage. Et ils auront en tête une sorte de raison très facile pour laquelle les blocages devraient fonctionner. Et donc, nous avons abordé cela très directement dans cette section, comme vous le savez. Nous disons : « Regardez, à première vue, l’idée est que vous empêchez les gens d’interagir les uns avec les autres et donc de transmettre le virus. C’est ce que les gens croient. C’est ce qu’ils pensent quand ils pensent au confinement, ils pensent : « C’est ce que je fais. » Mais ils ne réalisent pas combien d’autres problèmes collatéraux se produisent et aussi combien peu cet objectif particulier est réellement servi, en raison du fait que nous vivons maintenant dans ces sociétés interdépendantes. Et nous piégeons aussi des gens souvent dans de grands bâtiments, partageant l’air ensemble, et nous ne pouvons pas sortir autant et nous augmentons donc potentiellement la propagation du virus, au moins au sein des communautés, nos communautés. Donc, c’est essentiellement un exemple d’essayer de dialoguer avec les gens que nous pensons être malavisés sur cette question d’une manière calme, sans se crier dessus, sans prendre une position radicale d’un côté ou de l’autre et en disant simplement : « Je suis va jouer au gosse avec toi  » parce que ce n’est pas productif. « 
139) La politisation du financement de la science aux États-Unis, Carl, 2021Concernant la Suède : « Soit dit en passant, le rapport indique clairement : « La meilleure façon de comparer l’impact de la mortalité de la pandémie de coronavirus (COVID-19) à l’échelle internationale est d’examiner la mortalité toutes causes confondues par rapport à la moyenne sur cinq ans. Alors, que montrent les nouveaux chiffres ? La Suède a connu  une  surmortalité négative . Autrement dit, le niveau de mortalité entre janvier 2020 et juin 2021 était  inférieur  à la moyenne quinquennale. Si ce n’est pas une justification de l’approche d’Anders Tegnell, je ne sais pas ce que c’est.
140) Verrouillage de la pandémie, politiques de santé et droits de l’homme : intégrer des points de vue opposés sur les mesures d’atténuation de la santé publique liées au COVID-19 , Burlacu, 2020« En partant de la justification du verrouillage, dans cet article, nous avons exploré et exposé les autres conséquences des mesures pandémiques COVID-19 telles que l’utilisation ou l’abus des droits de l’homme et des restrictions de liberté, les problèmes économiques, les groupes marginalisés et l’éclipse de toutes les autres maladies . Notre tentative scientifique est de coaguler une position stable et d’intégrer les points de vue opposés actuels en avançant l’idée qu’au lieu d’appliquer la politique de verrouillage uniforme, on pourrait plutôt recommander un modèle amélioré ciblant des verrouillages plus stricts et plus prolongés pour les groupes vulnérables à risque/âge tout en permettant moins des mesures strictes pour les groupes à faible risque, minimisant à la fois les pertes économiques et les décès. Un débat rigoureux (et également régi par la liberté) peut être en mesure de synchroniser les perspectives opposées entre ceux qui prônent un confinement extrême (par exemple, la plupart des épidémiologistes et des experts de la santé) et ceux qui critiquent toutes les mesures restrictives (par exemple, les économistes et les experts des droits de l’homme). Confronter les multiples facettes des mesures d’atténuation de la santé publique est le seul moyen d’éviter de contribuer à l’histoire avec un nouvel échec, comme on l’a vu dans d’autres épidémies passées. »
141) Santé mentale, consommation de substances et idées suicidaires pendant la pandémie de COVID-19 — États-Unis, 24-30 juin 2020 , Czeisler, 202025,5 % des personnes de 18 à 24 ans ont sérieusement envisagé le suicide au cours des 30 jours précédents (tableau 1). CDC : un quart des jeunes adultes disent avoir envisagé de se suicider cet été pendant la pandémie – Foundation for Economic Education (fee.org)
142) La vérité sur les restrictions COVID prévaudra-t-elle vraiment ? , Atlas, 2021« Indépendamment de leur   valeur limitée pour contenir le virus – une efficacité qui a souvent été « grossièrement exagérée » dans les articles publiés – les politiques de verrouillage ont été extrêmement nocives. Les  préjudices causés  aux enfants par la fermeture de la scolarisation en personne sont dramatiques, notamment un mauvais apprentissage, des abandons scolaires, un isolement social et des idées suicidaires, dont la plupart sont bien  pires  pour les groupes à faible revenu. Une étude récente   confirme que jusqu’à 78 % des cancers n’ont jamais été détectés en raison d’un dépistage manqué pendant trois mois. Si l’on extrapole à l’ensemble du pays, où environ  150 000 de nouveaux cancers sont diagnostiqués chaque mois, les trois quarts à plus d’un million de nouveaux cas sur neuf mois n’auront pas été détectés. Cette catastrophe sanitaire s’ajoute aux chirurgies critiques manquées, aux présentations retardées de maladies pédiatriques, aux patients atteints de crise cardiaque et d’AVC qui ont trop peur d’appeler les services d’urgence, et d’autres encore bien documentés… Au-delà des soins hospitaliers, le CDC a signalé une multiplication par quatre de la dépression, une multiplication par trois des symptômes d’anxiété et un doublement des idées suicidaires, en particulier chez les  jeunes adultes  après les premiers mois de confinement, faisant écho aux  rapports de l’  AMA sur les surdoses de drogue et les suicides. La violence domestique  et  la maltraitance des enfants  ont  monté  en flèche en raison de l’isolement et en particulier de la perte d’emplois , en particulier dans les confinements les  plus stricts  .
143) Avec de faibles taux de vaccination, les décès de Covid en Afrique restent bien inférieurs à l’Europe et aux États-Unis , Mises Wire, 2021« Depuis le tout début de la panique covid, le récit est le suivant : mettez en place des confinements sévères ou votre population connaîtra un bain de sang. Les morgues seront submergées, le nombre total de morts sera stupéfiant. D’autre part, on nous a assuré les juridictions qui  ne  verrouillent verrait qu’une fraction du nombre de morts … Le récit de lockdown, bien sûr, a déjà été complètement renversé. Les juridictions qui n’ont pas verrouillé ou n’ont adopté que des verrouillages faibles et courts  se sont retrouvées avec des  nombres de morts de covid qui étaient soit similaires, soit même meilleurs, que les nombres de morts dans les pays qui ont adopté des verrouillages draconiens. Les défenseurs du verrouillage ont déclaré que les pays verrouillés seraient extrêmement mieux lotis. Ces gens avaient clairement tort.
144) Repenser les confinements , Joffe, 2020« Les blocages ont également entraîné un large éventail de ramifications imprévues. Les dommages économiques, les retards dans les chirurgies, les diagnostics et les traitements « non urgents », et les décès excessifs résultant des « effets collatéraux » des mesures de verrouillage devraient tous être pris en compte lorsque les décideurs politiques évaluent les mesures futures.Dr. Joffe soutient que les Canadiens ont essentiellement été confrontés à une «fausse dichotomie» – entre un choix entre des fermetures préjudiciables sur le plan économique ou une inaction mortelle. Cependant, son analyse révèle que les coûts des mesures de verrouillage se comparent mal à leurs avantages supposés lorsqu’ils sont mesurés par les années de vie ajustées sur la qualité, ou QALY. « Diverses analyses coûts-avantages de différents pays, y compris certains de ces coûts, ont systématiquement estimé que le coût en vies des blocages était au moins cinq à 10 fois plus élevé que l’avantage,
145) Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique , OMS, 2020« La quarantaine à domicile des personnes exposées pour réduire la transmission n’est pas recommandée car il n’y a pas de justification évidente pour cette mesure, et il y aurait des difficultés considérables à la mettre en œuvre. »
146) Décès projetés de désespoir dus à COVID-19 , Well Being Trust, 2020«Plus d’Américains pourraient perdre la vie à cause du désespoir, des décès dus à la drogue, à l’alcool et au suicide, si nous ne faisons pas quelque chose immédiatement. Les décès par désespoir ont augmenté au cours de la dernière décennie, et dans le contexte de COVID-19, les décès par désespoir doivent être considérés comme l’épidémie au sein de la pandémie. »
147) Dr Matthew Owens : Défaire les méfaits indicibles du COVID-19 sur les jeunes : un appel à l’action , 2020« Un sens des proportions est désormais nécessaire pour aider à atténuer l’impact négatif des mesures de« confinement » et encourager le développement sain et le bien-être de tous les jeunes. »
148) Restez à la maison, protégez le service national de santé, sauvez des vies » : une analyse coûts-avantages du verrouillage au Royaume-Uni , Miles, 2020« Les coûts du maintien de restrictions sévères sont si importants par rapport aux avantages probables en termes de vies sauvées qu’un assouplissement rapide des restrictions est désormais justifié. »
149) Déclaration de Great Barrington , Gupta, Kulldorff, Bhattacharya, 2020« Le COVID-19 lui-même et les réactions de la politique de verrouillage ont eu d’énormes conséquences néfastes pour les patients aux États-Unis et dans le monde. Alors que les méfaits des infections à COVID-19 sont bien représentés dans les reportages chaque jour, les méfaits des blocages eux-mêmes sont moins bien annoncés, mais non moins importants. Les patients blessés par les visites médicales manquées et les hospitalisations en raison des blocages méritent autant d’attention et de réponse politique que les patients touchés par l’infection au COVID-19. »
150) La Suède a connu un pic de mortalité en 2020 inférieur à celui d’une grande partie de l’Europe – données , Ahlander, 2021« La Suède, qui a évité les fermetures strictes qui ont étouffé une grande partie de l’économie mondiale, est sortie à partir de 2020 avec une augmentation plus faible de son taux de mortalité global que la plupart des pays européens, a montré une analyse des sources de données officielles. »
151) Mortalité liée au Covid-19 : une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées , De Larochelambert , 2020« Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus élevés et des taux de MNT, avaient le prix le plus élevé à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes.
152) Lettre ouverte des médecins et professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges , AIER, 2020« Si l’on compare les vagues d’infection dans les pays avec des politiques de confinement strictes à des pays qui n’ont pas imposé de confinement (Suède, Islande…), on voit des courbes similaires. Il n’y a donc aucun lien entre le confinement imposé et l’évolution de l’infection. Le verrouillage n’a pas conduit à une baisse du taux de mortalité. »
153) Des mois d’apprentissage à distance aggraveront-ils les problèmes d’attention des élèves ? Harwin, 2020«Robert travaille à nouveau à domicile, avec  plus de 50 millions d’étudiants , car les écoles de 48 États ont fermé les cours en personne pour freiner la propagation du nouveau coronavirus. Comment la longue absence des routines scolaires traditionnelles affectera-t-elle Robert et les millions d’autres élèves à travers le pays qui luttent avec la maîtrise de soi, la concentration ou la flexibilité mentale ? »
154) Coûts/avantages du verrouillage de Covid : une évaluation critique de la littérature , Allen, 2021« Un examen de plus de 80 études Covid-19 révèle que beaucoup se sont appuyées sur des hypothèses qui étaient fausses et qui avaient tendance à surestimer les avantages et à sous-estimer les coûts du verrouillage. En conséquence, la plupart des premières études coûts/bénéfices sont arrivées à des conclusions qui ont été réfutées plus tard par des données, et qui ont rendu leurs résultats de coûts/bénéfices incorrects. Les recherches effectuées au cours des six derniers mois ont montré que les blocages ont eu, au mieux, un effet marginal sur le nombre de décès de Covid-19. D’une manière générale, l’inefficacité du confinement résulte de changements volontaires de comportement. Les juridictions de verrouillage n’ont pas été en mesure d’empêcher la non-conformité, et les juridictions de non-verrouillage ont bénéficié de changements volontaires de comportement qui imitaient les verrouillages. L’efficacité limitée des confinements explique pourquoi, au bout d’un an, les décès cumulés inconditionnels par million et le schéma des décès quotidiens par million ne sont pas corrélés négativement avec la rigueur du verrouillage dans les pays. En utilisant une méthode coût/bénéfice proposée par le professeur Bryan Caplan et en utilisant deux hypothèses extrêmes d’efficacité du confinement, le rapport coût/bénéfice des confinements au Canada, en termes d’années de vie sauvées, se situe entre 3,6 et 282. C’est-à-dire qu’il est possible que le verrouillage devienne l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix de l’histoire du Canada. » est compris entre 3,6 et 282. C’est-à-dire qu’il est possible que le verrouillage devienne l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix de l’histoire du Canada. »
155) Les mandats COVID-19 ne fonctionneront pas pour la variante Delta , Alexander, 2021« Pourtant, les élites sont loin des ramifications de leurs politiques et décrets absurdes, illogiques et spécieux. Des dictées qui ne s’appliquent pas à eux ou à leurs familles ou amis. La classe aisée des « ordinateurs portables » pouvait quitter les lieux, travailler à distance, promener leurs chiens et leurs animaux de compagnie, rattraper leur retard dans la lecture de leurs livres et effectuer des tâches qu’elles n’auraient pas pu accomplir s’ils avaient été sur le lieu de travail quotidiennement. Ils pouvaient embaucher des enseignants supplémentaires pour leurs enfants, etc. Le travail à distance était une aubaine. Les actions de nos gouvernements cependant, dévastées et à long terme ont blessé les pauvres dans les sociétés et terriblement et perversement, et beaucoup n’ont pas pu tenir le coup et se sont suicidés. L’analyse d’Ethan Yang de l’ AIER a montré que les décès par désespoir montaient en  flèche. Des enfants pauvres, en particulier dans les pays occidentaux les plus riches comme les États-Unis et le Canada, se sont automutilés et ont  mis fin à leurs jours, non pas à cause du virus pandémique, mais à cause des confinements et des fermetures d’écoles. De nombreux enfants se sont suicidés par désespoir, dépression et désespoir en raison des blocages et des fermetures d’écoles. »
156) Lettre ouverte des médecins et professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges , The American Institute of Stress, 2020« Si l’on compare les vagues d’infection dans les pays avec des politiques de confinement strictes à des pays qui n’ont pas imposé de confinement (Suède, Islande…), on voit des courbes similaires. Il n’y a donc aucun lien entre le confinement imposé et l’évolution de l’infection. Le confinement n’a pas conduit à une baisse du taux de mortalité. Si l’on regarde la date d’application des confinements imposés, on constate que les confinements ont été mis en place après que le pic était déjà passé et que le nombre de cas diminuait. La baisse n’était donc pas le résultat des mesures prises.
157) Le scepticisme du verrouillage n’a jamais été un point de vue « marginal » , Carl, 2021« Que les blocages soient ou non justifiables pour des raisons de santé publique, ils représentent certainement la plus grande  atteinte  aux libertés civiles de l’histoire moderne. Au Royaume-Uni, les blocages ont contribué à la  plus  forte contraction économique depuis plus de 300 ans, ainsi qu’à d’innombrables  faillites et à une augmentation spectaculaire   des emprunts publics. »
158) Les actuaires avertissent Ramaphosa d’une « catastrophe humanitaire pour éclipser Covid-19 » si le verrouillage restrictif n’est pas levé , Bell, 2020« Le mantra gouvernemental fréquemment exprimé selon lequel les vies sont prioritaires et que le problème est « les vies contre l’économie » est décrit dans le rapport Panda comme une fausse dichotomie. Le rapport note : « Les virus tuent. Mais l’économie soutient des vies et la pauvreté tue aussi. Cela « sauve des vies dans la mesure où des décès évitables sont évités, mais ne fait que décaler le calendrier du reste de quelques semaines ».
159) L’ÉTAT DE LA NATION : UN RAPPORT D’ENQUÊTE SUR LA COVID-19 DANS 50 ÉTATS #23 : LA DÉPRESSION CHEZ LES JEUNES ADULTES , Perlis, 2020« Conformément à nos résultats de mai, notre enquête indique que la prochaine administration dirigera un pays où un nombre sans précédent de jeunes personnes souffrent de dépression, d’anxiété et, pour certains, de pensées suicidaires. Ces symptômes ne sont pas concentrés dans un sous-groupe ou une région en particulier dans notre enquête ; ils sont élevés dans tous les groupes que nous avons examinés. Les résultats de notre enquête suggèrent également fortement que ceux qui subissent des pertes économiques et matérielles directes résultant de COVID-19 semblent être particulièrement à risque, de sorte que les stratégies axées sur ces personnes peuvent être essentielles. »
160) COVID-19 ajoutera jusqu’à 150 millions de personnes extrêmement pauvres d’ici 2021 , Banque mondiale, 2020« L’extrême pauvreté mondiale devrait augmenter en 2020 pour la première fois en plus de 20 ans, car la perturbation de la pandémie de COVID-19 aggrave les forces du conflit et du changement climatique, qui ralentissaient déjà les progrès de la réduction de la pauvreté, a déclaré aujourd’hui la Banque mondiale. On estime que la pandémie de COVID-19 poussera 88 à 115 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté cette année, le total atteignant 150 millions d’ici 2021, selon la gravité de la contraction économique. L’extrême pauvreté, définie comme vivant avec moins de 1,90 dollar par jour, affectera probablement entre 9,1% et 9,4% de la population mondiale en 2020, selon le rapport biennal sur la  pauvreté et la prospérité partagée.. Cela représenterait une régression jusqu’au taux de 9,2 % en 2017. Si la pandémie n’avait pas bouleversé le monde, le taux de pauvreté devrait chuter à 7,9 % en 2020. »
161) L’impact de COVID-19 sur l’hospitalisation et la gestion de l’insuffisance cardiaque : rapport d’une unité d’insuffisance cardiaque à Londres pendant le pic de la pandémie, Bromage, 2020« Les hospitalisations liées à l’AHF ont considérablement diminué dans notre centre pendant la pandémie de COVID-19, mais les patients hospitalisés présentaient des symptômes plus graves à l’admission. D’autres études sont nécessaires pour déterminer si l’incidence de l’AHF a diminué ou si les patients ne se sont pas présentés à l’hôpital alors que le verrouillage national et les restrictions de distanciation sociale étaient en place. Du point de vue de la santé publique, il est impératif de déterminer si cela sera associé à de pires résultats à long terme. »

 

B. Inutilité des fermetures d’écoles (School Closures) : 75 études.

FERMETURE DES ÉCOLES
1) Souffrir en silence : comment les fermetures d’écoles liées au COVID-19 inhibent le signalement des mauvais traitements infligés aux enfants , Baron, 2020« Alors que l’on pourrait s’attendre à ce que le stress financier, mental et physique dû au COVID-19 entraîne des cas supplémentaires de maltraitance d’enfants, nous constatons que le nombre réel d’allégations signalées était environ 15 000 de moins (27 %) que prévu pour ces deux mois. Nous exploitons un ensemble de données détaillées sur le personnel et les dépenses des districts scolaires pour montrer que la baisse observée des allégations était en grande partie due aux fermetures d’écoles. »
2) Association des fermetures systématiques d’écoles avec le signalement et la justification des mauvais traitements infligés aux enfants aux États-Unis ; 2010-2017 , Puls, 2021« Les résultats suggèrent que la détection de la maltraitance des enfants peut être diminuée pendant les périodes de fermeture routinière des écoles. »
3) Signalement de maltraitance d’enfants pendant la pandémie de SRAS-CoV-2 à New York de mars à mai 2020 , Rapoport, 2021« La chute vertigineuse des signalements de maltraitance d’enfants et des interventions de protection de l’enfance a coïncidé avec des politiques de distanciation sociale conçues pour atténuer la transmission du COVID-19. »
4) Calcul de l’impact de la pandémie de COVID-19 sur la maltraitance et la négligence des enfants aux États-Unis , Nguyen, 2021« La pandémie de COVID-19 a entraîné une baisse abrupte des enquêtes CAN, où près de 200 000 enfants auraient été manqués pour les services de prévention et CAN sur une période de 10 mois. »
5) Effet des fermetures d’écoles sur la mortalité due à la maladie à coronavirus 2019 : anciennes et nouvelles prédictions , Rice, 2020«Nous concluons donc que les résultats quelque peu contre-intuitifs selon lesquels les fermetures d’écoles entraînent davantage de décès sont une conséquence de l’ajout de certaines interventions qui suppriment la première vague et de l’incapacité à donner la priorité à la protection des personnes les plus vulnérables. Lorsque les interventions sont levées, il reste encore une grande population sensible et un nombre substantiel de personnes infectées. Cela conduit ensuite à une deuxième vague d’infections qui peut entraîner plus de décès, mais plus tard. Des blocages supplémentaires entraîneraient une série répétée de vagues d’infection à moins que l’immunité collective ne soit obtenue par la vaccination, ce qui n’est pas pris en compte dans le modèle. Un résultat similaire est obtenu dans certains des scénarios impliquant une distanciation sociale générale. Par example,
6) Fermetures d’écoles pendant la pandémie de COVID-19 : une situation mondiale catastrophique , Buonsenso , 2020« Cette mesure extrême a provoqué une perturbation du système éducatif impliquant des centaines de millions d’enfants dans le monde. Le retour des enfants à l’école a été variable et reste une question non résolue et controversée. Il est important de noter que le processus n’a pas été directement corrélé à la gravité de l’impact de la pandémie et a alimenté l’aggravation des disparités, affectant de manière disproportionnée les populations les plus vulnérables. Les preuves disponibles montrent que la SC a ajouté peu d’avantages au contrôle du COVID-19, tandis que les dommages liés à la SC ont gravement affecté les enfants et les adolescents. Ce problème non résolu expose les enfants et les jeunes à un risque élevé de préjudice social, économique et sanitaire pour les années à venir, entraînant de graves conséquences au cours de leur vie.
7) L’impact de la fermeture des écoles COVID-19 sur la santé des enfants et des adolescents : une revue systématique rapide , Chaabane , 2021« La fermeture d’écoles liée à COVID-19 a été associée à une baisse significative du nombre d’admissions à l’hôpital et de visites aux urgences pédiatriques. Cependant, un certain nombre d’enfants et d’adolescents ont perdu l’accès aux services de santé en milieu scolaire, aux services spéciaux pour les enfants handicapés et aux programmes de nutrition. Un risque accru d’aggravation des disparités éducatives en raison du manque de soutien et de ressources pour l’apprentissage à distance a également été signalé parmi les familles les plus pauvres et les enfants handicapés. La fermeture de l’école a également contribué à l’augmentation de l’anxiété et de la solitude chez les jeunes ainsi que le stress, la tristesse, la frustration, l’indiscipline et l’hyperactivité chez les enfants. Plus la durée de la fermeture de l’école et de la réduction de l’activité physique quotidienne est longue, plus l’augmentation prévue de l’indice de masse corporelle et de la prévalence de l’obésité chez les enfants est élevée.
8) Fermetures d’écoles et anxiété sociale pendant la pandémie de COVID-19 , Morrissette , 2020« A rendu compte des effets que l’isolement social et la solitude peuvent avoir sur les enfants et les adolescents pendant la pandémie mondiale de la nouvelle maladie à coronavirus (COVID-19), leurs résultats suggèrent des associations entre l’anxiété sociale et la solitude/l’isolement social. »
9) Perte d’emploi des parents et santé du nourrisson , Lindo, 2011« Les pertes d’emploi des maris ont des effets négatifs importants sur la santé des nourrissons. Ils réduisent le poids à la naissance d’environ quatre et demi pour cent.
10) La fermeture des écoles n’est pas fondée sur des preuves et nuit aux enfants , Lewis, 2021« Pour certains enfants, l’éducation est leur seul moyen de sortir de la pauvreté ; pour d’autres, l’école offre un havre de paix loin d’une vie familiale dangereuse ou chaotique. La perte d’apprentissage, la réduction des interactions sociales, l’isolement, la réduction de l’activité physique, l’augmentation des problèmes de santé mentale et le potentiel d’abus, d’exploitation et de négligence accrus ont tous été associés aux fermetures d’écoles. Des revenus futurs 6  et une espérance de vie réduits sont associés à un niveau d’éducation moindre. Les enfants ayant des besoins éducatifs spéciaux ou qui sont déjà défavorisés courent un risque accru de préjudice. »
11) Impacts des fermetures d’écoles sur la santé physique et mentale des enfants et des jeunes : une revue systématique , Viner, 2021« Les fermetures d’écoles dans le cadre de mesures plus larges de distanciation sociale sont associées à des dommages considérables pour la santé et le bien-être des CYP. Les données disponibles sont à court terme et les dommages à plus long terme sont susceptibles d’être amplifiés par de nouvelles fermetures d’écoles. Des données sont nécessaires de toute urgence sur les impacts à plus long terme en utilisant des conceptions de recherche solides, en particulier parmi les groupes vulnérables. Ces résultats sont importants pour les décideurs qui cherchent à équilibrer les risques de transmission par les enfants d’âge scolaire avec les méfaits de la fermeture des écoles. »
12) Fermeture de l’école : un examen minutieux des preuves , Alexander, 2020BSelon les preuves existantes examinées, la conclusion prédominante est que les enfants (en particulier les jeunes enfants) courent un très faible risque de contracter l’infection par le SRAS-CoV-2, et s’ils sont infectés, courent un très faible risque de la propager entre eux ou à d’autres enfants dans le cadre scolaire, de le diffuser à leurs enseignants, ou de le diffuser à d’autres adultes ou à leurs parents, ou de l’apporter dans le cadre familial ; les enfants sont généralement infectés à partir du milieu familial/des groupes et les adultes sont généralement le cas index ; les enfants courent un très faible risque de maladie grave ou de décès dus à la maladie COVID-19, sauf dans de très rares circonstances ; les enfants ne conduisent pas le SARS-CoV-2/COVID-19 comme ils le font pour la grippe saisonnière ; il existe un gradient d’âge quant à la sensibilité et à la capacité de transmission selon lequel les enfants plus âgés ne devraient pas être traités de la même manière que les enfants plus jeunes en termes de capacité à transmettre, par exemple un enfant de 6 ans par rapport à un jeune de 17 ans (en tant que tel, les mesures de santé publique seraient différentes dans une école primaire par rapport à une école secondaire/secondaire); « à très faible risque » peut également être considéré comme « très rare » (risque non nul, mais négligeable, très rare) ; nous soutenons que le masquage et la distanciation sociale pour les jeunes enfants sont une politique malsaine et non nécessaire et si la distanciation sociale doit être utilisée, que 3 pieds conviennent à plus de 6 pieds et résoudront les limitations d’espace dans les écoles ; nous soutenons que nous avons bien dépassé le point où nous devons remplacer l’hystérie et la peur par la connaissance et les faits. Les écoles doivent être immédiatement rouvertes pour un enseignement en personne car il n’y a aucune raison de faire autrement. » les mesures de santé publique seraient différentes dans une école primaire par rapport à une école secondaire/secondaire); « à très faible risque » peut également être considéré comme « très rare » (risque non nul, mais négligeable, très rare); nous soutenons que le masquage et la distanciation sociale pour les jeunes enfants sont une politique malsaine et non nécessaire et si la distanciation sociale doit être utilisée, que 3 pieds conviennent à plus de 6 pieds et résoudront les limitations d’espace dans les écoles ; nous soutenons que nous avons bien dépassé le point où nous devons remplacer l’hystérie et la peur par la connaissance et les faits. Les écoles doivent être immédiatement rouvertes pour un enseignement en personne car il n’y a aucune raison de faire autrement. » les mesures de santé publique seraient différentes dans une école primaire par rapport à une école secondaire/secondaire); « à très faible risque » peut également être considéré comme « très rare » (risque non nul, mais négligeable, très rare) ; nous soutenons que le masquage et la distanciation sociale pour les jeunes enfants sont une politique malsaine et non nécessaire et si la distanciation sociale doit être utilisée, que 3 pieds conviennent à plus de 6 pieds et résoudront les limitations d’espace dans les écoles ; nous soutenons que nous avons bien dépassé le point où nous devons remplacer l’hystérie et la peur par la connaissance et les faits. Les écoles doivent être immédiatement rouvertes pour un enseignement en personne car il n’y a aucune raison de faire autrement. » nous soutenons que le masquage et la distanciation sociale pour les jeunes enfants sont une politique malsaine et non nécessaire et si la distanciation sociale doit être utilisée, que 3 pieds conviennent à plus de 6 pieds et résoudront les limitations d’espace dans les écoles ; nous soutenons que nous avons bien dépassé le point où nous devons remplacer l’hystérie et la peur par la connaissance et les faits. Les écoles doivent être immédiatement rouvertes pour un enseignement en personne car il n’y a aucune raison de faire autrement. » nous soutenons que le masquage et la distanciation sociale pour les jeunes enfants sont une politique malsaine et non nécessaire et si la distanciation sociale doit être utilisée, que 3 pieds conviennent à plus de 6 pieds et résoudront les limitations d’espace dans les écoles ; nous soutenons que nous avons bien dépassé le point où nous devons remplacer l’hystérie et la peur par la connaissance et les faits. Les écoles doivent être immédiatement rouvertes pour un enseignement en personne car il n’y a aucune raison de faire autrement. »
13) Enfants, école et COVID-19 , RIVM, 2021« Si nous regardons toutes les admissions hospitalières signalées par la Fondation NICE entre le 1er janvier et le 16 novembre 2021, 0,7% avaient moins de 4 ans. 0,1 % étaient âgés de 4 à 11 ans et 0,2 % étaient âgés de 12 à 17 ans. La grande majorité (99,0%) de toutes les personnes admises à l’hôpital avec COVID-19 étaient âgées de 18 ans ou plus. »
14) PEU DE TRANSPORTEURS, PEU D’ÉMETTEURS » : UNE ÉTUDE CONFIRME LE RLE MINIMAL DES ENFANTS DANS L’ÉPIDÉMIE COVID-19 , Vincendon, 2020« Les enfants sont peu porteurs, peu transmetteurs, et lorsqu’ils sont contaminés, ce sont presque toujours des adultes de la famille qui les ont contaminés.
15) Transmission du SARS-CoV-2 chez les enfants âgés de 0 à 19 ans dans les crèches et les écoles après leur réouverture en mai 2020, Bade-Wurtemberg, Allemagne , Ehrhardt , 2020« Enquête sur les données du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) infecté par les 0-19 ans, qui ont fréquenté des écoles/garderies, pour évaluer leur rôle dans la transmission du SRAS-CoV-2 après la réouverture de ces établissements en mai 2020 dans le Bade-Wurtemberg, en Allemagne. La transmission d’enfant à enfant dans les écoles/garderies semblait très rare.
16) Déclarations du Comité principal australien de protection de la santé (AHPPC) sur le coronavirus (COVID-19) le 24 avril 2020 , gouvernement australien, 2020« AHPPC continue de noter qu’il existe des preuves très limitées de transmission entre les enfants en milieu scolaire ; le dépistage de la population à l’étranger a montré une très faible incidence de cas positifs chez les enfants d’âge scolaire. En Australie, 2,4% des cas confirmés concernaient des enfants âgés de 5 à 18 ans (au 22 avril 2020 à 6 heures du matin). L’AHPPC estime que les adultes en milieu scolaire devraient pratiquer des mesures de densité de la pièce (comme dans les salles du personnel) étant donné le risque accru de transmission entre adultes.
17) UN RÉSUMÉ DES PREUVES DE LA LITTÉRATURE PÉDIATRIQUE COVID-19 , Boast, 2021« La maladie grave est très rare (environ 1 %). Dans les données de la Chine, des États-Unis et de l’Europe, il existe un gradient de risque en « U », les nourrissons et les adolescents plus âgés semblant les plus susceptibles d’être hospitalisés et de souffrir d’une maladie plus grave. Les décès chez les enfants restent extrêmement rares à cause de COVID-19, avec seulement 4 décès au Royaume-Uni en mai 2020 chez les enfants de moins de 15 ans, tous chez des enfants présentant de graves comorbidités. »
18) Dynamique de transmission du SARS-CoV-2 au sein des familles avec enfants en Grèce : Une étude de 23 clusters ,  Maltezou , 2020« Alors que les enfants sont infectés par le SRAS-CoV-2, ils ne semblent pas transmettre l’infection aux autres. »
19) Aucune preuve de transmission secondaire du COVID-19 chez les enfants scolarisés en Irlande, 2020 , Heavey, 2020« On pense que les enfants sont des vecteurs de transmission de nombreuses maladies respiratoires, dont la grippe. Il a été supposé que cela serait également vrai pour COVID-19. Cependant, à ce jour, aucune preuve d’une transmission pédiatrique généralisée n’est apparue. Les fermetures d’écoles créent des problèmes de garde d’enfants pour les parents. Cela a un impact sur la main-d’œuvre, y compris la main-d’œuvre de la santé. Il existe également des inquiétudes concernant l’impact des fermetures d’écoles sur la santé mentale et physique des enfants… l’examen de tous les cas pédiatriques irlandais de COVID-19 fréquentant l’école pendant les périodes d’infection pré-symptomatique et symptomatique (n = 3) n’a identifié aucun cas de transmission ultérieure à d’autres enfants ou adultes au sein de l’école et à divers autres milieux. Ceux-ci comprenaient des cours de musique (instruments à vent) et des exercices de chorale, qui sont toutes deux des activités à haut risque de transmission. De plus, aucune transmission ultérieure des trois cas adultes identifiés aux enfants n’a été identifiée. »
20) COVID-19, fermetures d’écoles et pauvreté des enfants : une crise sociale en devenir , Van Lancker, 2020« L’  Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture  estime que 138 pays ont fermé des écoles dans tout le pays, et plusieurs autres pays ont mis en place des fermetures régionales ou locales. Ces fermetures d’écoles affectent l’éducation de 80% des enfants dans le monde. Bien qu’un débat scientifique soit en cours concernant l’efficacité des fermetures d’écoles sur la transmission du virus, le fait que les écoles soient fermées pendant une longue période pourrait avoir des conséquences sociales et sanitaires néfastes pour les enfants vivant dans la pauvreté, et est susceptible d’exacerber les inégalités existantes. « 
21) Impact des fermetures d’écoles pour COVID-19 sur le personnel de santé américain et la mortalité nette : une étude de modélisation , Bayham, 2020« Les fermetures d’écoles s’accompagnent de nombreux compromis et peuvent créer des obligations involontaires de garde d’enfants. Nos résultats suggèrent que la prévention potentielle de la contagion due à la fermeture des écoles doit être soigneusement pondérée avec la perte potentielle de travailleurs de la santé du point de vue de la réduction de la mortalité cumulée due au COVID-19, en l’absence de mesures d’atténuation. »
22) La vérité sur les enfants, l’école et COVID-19 , Thompson/The Atlantic, 2021« Le jugement du CDC intervient à un moment particulièrement chargé dans le débat sur les enfants, les écoles et COVID-19. Les parents sont  épuisés . Les suicides d’étudiants  se multiplient . Les syndicats d’enseignants sont confrontés à  l’  opprobre national  pour leur réticence à revenir à l’enseignement en personne. Et les écoles font  déjà du bruit  pour rester fermées jusqu’en 2022… Des recherches dans le monde entier ont, depuis le début de la pandémie, indiqué que les personnes de moins de 18 ans, et en particulier les plus jeunes, sont  moins sensibles à l’infection ,  moins susceptibles de présenter des symptômes graves , et  beaucoup moins susceptibles d’être hospitalisés ou de mourir … en mai 2020, une  petite étude irlandaise des jeunes étudiants et travailleurs de l’éducation atteints de COVID-19 ont interrogé plus de 1 000 contacts et n’ont trouvé «aucun cas de transmission ultérieure» à des enfants ou des adultes. En juin 2020,  une étude  de Singapour sur trois clusters COVID-19 a révélé que « les enfants ne sont pas les principaux moteurs » des épidémies et que « le risque de transmission du SRAS-CoV-2 parmi les enfants dans les écoles, en particulier les écoles maternelles, est susceptible d’être faible . « 
23) Les épidémies de coronavirus redoutées dans les écoles ne sont pas encore arrivées, selon les premières données , Meckler/The Washington Post, 2020«Ces premières preuves, selon les experts, suggèrent que l’ouverture d’écoles n’est peut-être pas aussi risquée que beaucoup l’ont craint et pourrait guider les administrateurs alors qu’ils tracent le reste de ce qui est déjà une année scolaire sans précédent. Tout le monde craignait qu’il y ait des flambées explosives de transmission dans les écoles. Dans les collèges, il y en a eu. Nous devons dire qu’à ce jour, nous n’en avons pas vu chez les plus jeunes, et c’est une observation vraiment importante. »
24) Trois études mettent en évidence le faible risque de COVID de l’école en personne , CIDRAP, 2021« Un trio de nouvelles études démontrent un faible risque d’infection au COVID-19 et de propagation dans les écoles, y compris une transmission limitée du COVID-19 à l’école en Caroline du Nord, quelques cas de syndrome inflammatoire multisystémique associé au coronavirus chez les enfants (MIS-C) en écoles suédoises et propagation minimale du virus par les élèves du primaire en Norvège. »
25) Incidence et transmission secondaire des infections au SRAS-CoV-2 dans les écoles , Zimmerman, 2021« Au cours des 9 premières semaines d’enseignement en personne dans les écoles de Caroline du Nord, nous avons trouvé une transmission secondaire extrêmement limitée du SRAS-CoV-2 au sein de l’école, telle que déterminée par la recherche des contacts. »
26) Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède , Ludvigsson, 2020« Sur les 1 951 905 enfants âgés de 1 à 16 ans en Suède au 31 décembre 2019, 65 sont décédés au cours de la période pré-pandémique de novembre 2019 à février 2020, contre 69 au cours de la période pandémique de mars à juin 2020. Aucun des les décès ont été causés par COVID-19. Quinze enfants diagnostiqués comme atteints de COVID-19, dont sept atteints de MIS-C, ont été admis dans une unité de soins intensifs (USI) de mars à juin 2020 (0,77 pour 100 000 enfants dans ce groupe d’âge). Quatre enfants ont eu besoin d’une ventilation mécanique. Quatre enfants étaient âgés de 1 à 6 ans (0,54 pour 100 000) et 11 avaient de 7 à 16 ans (0,90 pour 100 000). Quatre des enfants avaient une maladie sous-jacente : 2 avec un cancer, 1 avec une maladie rénale chronique et 1 avec une maladie hématologique). Sur les 103 596 enseignants du préscolaire et 20 enseignants du pays, moins de 10 ont été admis dans une unité de soins intensifs au 30 juin.
27) Transmission minimale du SRAS-CoV-2 à partir de cas pédiatriques de COVID-19 dans les écoles primaires, Norvège, août à novembre 2020 , Brandal, 2021« Cette étude prospective montre que la transmission du SRAS-CoV-2 par les enfants de moins de 14 ans était minime dans les écoles primaires d’Oslo et de Viken, les deux comtés norvégiens avec la plus forte incidence de COVID-19 et dans lesquels 35 % de la population norvégienne réside. Dans une période de transmission communautaire faible à moyenne (une incidence sur 14 jours de COVID-19 de < 150 cas pour 100 000 habitants), lorsqu’il a été demandé aux enfants symptomatiques de ne pas aller à l’école, il y avait < 1% de SARS-CoV-2– résultats de test positifs chez les enfants contacts et < 2% de résultats positifs chez les adultes contacts dans 13 recherches de contrats dans les écoles primaires norvégiennes. De plus, l’auto-collecte de salive pour la détection du SRAS-CoV-2 était efficace et sensible (85 % (11/13) ; intervalle de confiance à 95 % : 55-98)… l’utilisation de masques faciaux n’est pas recommandée dans les écoles en Norvège.
28) Il est peu probable que les enfants soient les principaux moteurs de la pandémie de COVID-19 – Une revue systématique , Ludvigsson , 2020« 700 articles et lettres scientifiques identifiés et 47 textes intégraux ont été étudiés en détail. Les enfants représentaient une petite fraction des cas de COVID-19 et avaient principalement des contacts sociaux avec des pairs ou des parents, plutôt qu’avec des personnes plus âgées à risque de maladie grave… Il est peu probable que les enfants soient les principaux moteurs de la pandémie. Il est peu probable que l’ouverture des écoles et des jardins d’enfants ait un impact sur les taux de mortalité dus au COVID-19 chez les personnes âgées. »
29) Note scientifique : Transmission du SRAS-CoV-2 dans les écoles maternelles et les programmes de soins et d’éducation préscolaires – Mise à jour , CDC, 2021« Les résultats de plusieurs études suggèrent que la transmission du SRAS-CoV-2 parmi les étudiants est relativement rare, en particulier lorsque des stratégies de prévention sont en place… plusieurs études ont également conclu que les étudiants ne sont pas les principales sources d’exposition au SRAS-CoV-2 chez les adultes dans cadre scolaire. »
30) Les enfants de moins de 10 ans sont moins susceptibles de provoquer des épidémies de COVID-19, selon une revue de recherche , Dobbins/McMaster, 2020« L’essentiel jusqu’à présent est qu’il est peu probable que les enfants de moins de 10 ans soient à l’origine d’épidémies de COVID-19 dans les garderies et les écoles et que, à ce jour, les adultes étaient beaucoup plus susceptibles d’être les transmetteurs de l’infection que les enfants. »
31) Rôle des enfants dans la transmission de la pandémie de COVID-19 : un examen rapide de la portée , Rajmil, 2020« Les enfants ne sont pas plus des transmetteurs que les adultes. Il est nécessaire d’améliorer la validité de la surveillance épidémiologique pour résoudre les incertitudes actuelles et pour prendre en compte les déterminants sociaux et les inégalités de santé des enfants pendant et après la pandémie actuelle. »
32) COVID-19 dans les écoles – l’expérience en NSW , NCIRS, 2020« La transmission du SRAS-CoV-2 chez les enfants dans les écoles semble considérablement moindre que celle observée pour d’autres virus respiratoires, tels que la grippe. Contrairement à la grippe, les données des tests de virus et d’anticorps à ce jour suggèrent que les enfants ne sont pas les principaux moteurs de la propagation du COVID-19 dans les écoles ou dans la communauté. Cela est cohérent avec les données d’études internationales montrant de faibles taux de maladie chez les enfants et suggérant une propagation limitée chez les enfants et des enfants aux adultes. »
33) Propagation du SRAS-CoV-2 dans la population islandaise , Gudbjartsson, 2020« Dans une étude basée sur la population en Islande, les enfants de moins de 10 ans et les femmes avaient une incidence plus faible d’infection par le SRAS-CoV-2 que les adolescents ou les adultes et les hommes. »
34) Taux de létalité et caractéristiques des patients décédés en relation avec COVID-19 en Italie , Onder, 2020Les enfants et les femmes infectés étaient moins susceptibles d’avoir une maladie grave.
35) Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique, Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique, 2020« Les familles de la Colombie-Britannique ont signalé des troubles d’apprentissage, une augmentation du stress des enfants et une diminution des liens pendant la fermeture des écoles COVID-19, tandis que les données mondiales montrent une augmentation de la solitude et une baisse de la santé mentale, y compris l’anxiété et la dépression… Les rapports provinciaux sur la protection de l’enfance ont également considérablement diminué malgré l’augmentation signalée de la violence domestique au niveau mondial. Cela suggère une diminution de la détection de la négligence et de la maltraitance des enfants sans signalement des écoles… L’impact des fermetures d’écoles est susceptible d’être ressenti de manière disproportionnée par les familles soumises aux inégalités sociales et celles ayant des enfants ayant des problèmes de santé ou des besoins d’apprentissage spéciaux. L’accès interrompu aux ressources, aux connexions et au soutien en milieu scolaire aggrave l’impact sociétal plus large de la pandémie. En particulier, il est probable que les effets sur les familles monoparentales soient plus importants,
36) Transmission du SARS-CoV-2 dans les milieux éducatifs australiens : une étude de cohorte prospective , Macartney, 2020« Les taux de transmission du SRAS-CoV-2 étaient faibles dans les milieux éducatifs de la Nouvelle-Galles du Sud au cours de la première vague épidémique de COVID-19, ce qui correspond à une maladie peu fréquente et bénigne chez 1,8 million d’enfants. »
37) Cas et transmission de COVID-19 dans 17 écoles K-12 – Wood County, Wisconsin, 31 août-29 novembre 2020 , CDC/Falk, 2021 38) COVID-19 chez les enfants et le rôle des milieux scolaires dans la transmission – deuxième mise à jour , ECDC, 2021« Dans un contexte de transmission communautaire généralisée du SRAS-CoV-2, peu de cas de transmission à l’école ont été identifiés parmi les élèves et les membres du personnel, avec une propagation limitée parmi les enfants au sein de leurs cohortes et aucune transmission documentée vers ou depuis les membres du personnel. âgés de 1 à 18 ans ont des taux d’hospitalisation, de maladie grave nécessitant des soins hospitaliers intensifs et de décès beaucoup plus faibles que tous les autres groupes d’âge, selon les données de surveillance… la décision de fermer les écoles pour contrôler la pandémie de COVID-19 devrait être utilisée comme un dernier recours. Les impacts physiques, mentaux et éducatifs négatifs des fermetures proactives d’écoles sur les enfants, ainsi que l’impact économique sur la société en général, l’emporteraient probablement sur les avantages.
39) COVID-19 chez les enfants et les jeunes , Rogue, 2020«La fermeture quasi mondiale des écoles en réponse à la pandémie reflétait l’attente raisonnable des précédentes épidémies de virus respiratoires selon lesquelles les enfants seraient un élément clé de la chaîne de transmission. Cependant, de nouvelles preuves suggèrent que ce n’est probablement pas le cas. Une minorité d’enfants souffrent d’un syndrome inflammatoire post-infectieux dont la pathologie et les conséquences à long terme sont mal connues. Cependant, par rapport à leur risque de contracter une maladie, les enfants et les adolescents ont été touchés de manière disproportionnée par les mesures de verrouillage, et les défenseurs de la santé de l’enfant doivent s’assurer que les droits des enfants à la santé et aux services sociaux, au soutien en santé mentale et à l’éducation sont protégés tout au long des vagues pandémiques ultérieures. … Il existe de nombreux autres domaines de préjudice indirect potentiel pour les enfants, y compris une augmentation des blessures à domicile (accidentelles et non accidentelles) lorsque les enfants ont été moins visibles pour les systèmes de protection sociale en raison des blocages. En Italie, les hospitalisations pour accidents à domicile ont considérablement augmenté pendant le verrouillage du COVID-19 et ont potentiellement constitué une menace plus élevée pour la santé des enfants que COVID-19. Les pédiatres britanniques rapportent que le retard des présentations à l’hôpital ou la perturbation des services ont contribué à la mort d’un nombre égal d’enfants qui seraient décédés d’une infection par le SRAS-CoV-2. De nombreux pays constatent que la santé mentale des jeunes a été affectée par les fermetures et les fermetures d’écoles. Par exemple, des preuves préliminaires suggèrent que les décès par suicide de jeunes de moins de 18 ans ont augmenté pendant le verrouillage en Angleterre. » les hospitalisations pour accidents à domicile ont considérablement augmenté pendant le verrouillage de COVID-19 et ont potentiellement constitué une menace plus élevée pour la santé des enfants que COVID-19. Les pédiatres britanniques rapportent que le retard des présentations à l’hôpital ou la perturbation des services ont contribué à la mort d’un nombre égal d’enfants qui seraient décédés d’une infection par le SRAS-CoV-2. De nombreux pays constatent que la santé mentale des jeunes a été affectée par les fermetures et les fermetures d’écoles. Par exemple, des preuves préliminaires suggèrent que les décès par suicide de jeunes de moins de 18 ans ont augmenté pendant le verrouillage en Angleterre. » les hospitalisations pour accidents à domicile ont considérablement augmenté pendant le verrouillage de COVID-19 et ont potentiellement constitué une menace plus élevée pour la santé des enfants que COVID-19. Les pédiatres britanniques rapportent que le retard des présentations à l’hôpital ou la perturbation des services ont contribué à la mort d’un nombre égal d’enfants qui seraient décédés d’une infection par le SRAS-CoV-2. De nombreux pays constatent que la santé mentale des jeunes a été affectée par les fermetures et les fermetures d’écoles. Par exemple, des preuves préliminaires suggèrent que les décès par suicide de jeunes de moins de 18 ans ont augmenté pendant le verrouillage en Angleterre. » Les pédiatres britanniques rapportent que le retard des présentations à l’hôpital ou la perturbation des services ont contribué à la mort d’un nombre égal d’enfants qui seraient décédés d’une infection par le SRAS-CoV-2. De nombreux pays constatent que la santé mentale des jeunes a été affectée par les fermetures et les fermetures d’écoles. Par exemple, des preuves préliminaires suggèrent que les décès par suicide de jeunes de moins de 18 ans ont augmenté pendant le verrouillage en Angleterre. » Les pédiatres britanniques rapportent que le retard des présentations à l’hôpital ou la perturbation des services ont contribué à la mort d’un nombre égal d’enfants qui seraient décédés d’une infection par le SRAS-CoV-2. De nombreux pays constatent que la santé mentale des jeunes a été affectée par les fermetures et les fermetures d’écoles. Par exemple, des preuves préliminaires suggèrent que les décès par suicide de jeunes de moins de 18 ans ont augmenté pendant le verrouillage en Angleterre. »
40) Caractéristiques cliniques des enfants et des jeunes hospitalisés avec covid-19 au Royaume-Uni : étude de cohorte observationnelle prospective multicentrique , Swann, 2020« Les enfants et les jeunes ont un covid-19 aigu moins grave que les adultes. »
41) Les dangers de garder les écoles fermées , Yang, 2020« Les données d’un certain nombre de pays montrent que les enfants sont rarement, et dans de nombreux pays, jamais morts de cette infection. Les enfants semblent être infectés à un taux beaucoup plus faible que ceux qui sont plus âgés… il n’y a aucune preuve que les enfants jouent un rôle important dans la transmission de la maladie… Ce que nous savons des politiques de distanciation sociale est largement basé sur des modèles de grippe, où les enfants sont un groupe vulnérable . Cependant, les données préliminaires sur COVID-19 suggèrent que les enfants représentent une petite fraction des cas et peuvent être moins vulnérables que les adultes plus âgés. »
42) Infection par le SRAS-CoV-2 chez les enfants , Lu, 2020« Contrairement aux adultes infectés, la plupart des enfants infectés semblent avoir une évolution clinique plus douce. Les infections asymptomatiques n’étaient pas rares.
43) Caractéristiques et leçons importantes de l’épidémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) en Chine : Résumé d’un rapport de 72 314 cas du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies , Wu, 2020Moins de 1 % des cas concernaient des enfants de moins de 10 ans .
44) Risque d’infection au COVID-19 , CDC, 2021Un  rapport du CDC  sur les hospitalisations et les décès chez les enfants a révélé que, par rapport aux personnes âgées de 18 à 29 ans, les enfants de 0 à 4 ans avaient un taux d’hospitalisation 4 fois inférieur et un taux de décès 9 fois inférieur. Les enfants de 5 à 17 ans avaient un taux d’hospitalisation 9 fois inférieur et un taux de décès 16 fois inférieur.
45) Il est peu probable que les enfants aient été la principale source d’infections domestiques par le SRAS-CoV-2 , Zhu, 2020« Alors que le SRAS-CoV-2 peut provoquer une maladie bénigne chez les enfants, les données disponibles à ce jour suggèrent que les enfants n’ont pas joué un rôle important dans la transmission intra-ménagère du SRAS-CoV-2. »
46) Caractéristiques de la transmission domestique du COVID-19 , Li, 2020« Le taux d’attaque secondaire chez les enfants était de 4 % contre 17,1 % pour les adultes.»
47) Les risques de réouverture des écoles sont-ils exagérés ?, Kamenetz/NPR, 2020« Malgré les inquiétudes généralisées, deux nouvelles études internationales ne montrent aucune relation cohérente entre la scolarisation en personne de la maternelle à la 12e année et la propagation du coronavirus. Et une troisième étude menée aux États-Unis ne montre aucun risque élevé pour les éducatrices qui sont restées au travail… En tant que pédiatre, je constate vraiment les  impacts négatifs  de ces fermetures d’écoles sur les enfants », a déclaré le Dr Danielle Dooley, directrice médicale à l’Hôpital pour enfants. L’hôpital national de Washington, DC, a déclaré à NPR. Elle a coché les problèmes de santé mentale, la  faim , l’obésité due à l’inactivité, le manque de soins médicaux de routine et le risque de maltraitance des enfants, en plus de la perte de l’éducation. « Aller à l’école est vraiment vital pour les enfants. Ils reçoivent leurs repas à l’école, leur activité physique, leurs soins de santé, leur éducation, bien sûr.
48) La garde d’enfants n’est pas associée à la propagation du COVID-19, selon une étude de Yale , YaleNews, 2020«Les résultats montrent que les programmes de garde d’enfants qui sont restés ouverts tout au long de la pandémie n’ont pas contribué à la propagation du virus aux prestataires, donnant des informations précieuses aux parents, aux décideurs et aux prestataires.»
49) Réouverture des écoles américaines à l’ère du COVID-19 : conseils pratiques d’autres nations , Tanmoy Das, 2020« Il est prouvé que, par rapport aux adultes, les enfants sont 3 fois moins susceptibles d’être infectés, plus susceptibles d’être asymptomatiques et moins susceptibles d’être hospitalisés et de mourir. Alors que de rares rapports de syndrome multi-inflammatoire pédiatrique doivent être surveillés, son association avec COVID-19  est extrêmement faible et généralement traitable . »
50) Enfants à faible revenu et maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) aux États-Unis , Dooley, 2020« Les restrictions imposées en raison du coronavirus rendent ces défis plus redoutables. Alors que les districts scolaires s’engagent dans l’apprentissage à distance, les rapports indiquent une grande variabilité dans l’accès à un enseignement de qualité, à la technologie numérique et à l’accès à Internet. Les élèves des districts scolaires ruraux et urbains sont confrontés à des difficultés d’accès à Internet. Dans certaines zones urbaines, jusqu’à un tiers des étudiants ne participent pas aux cours en ligne. L’absentéisme chronique, ou manquer 10 % ou plus de l’année scolaire, affecte les résultats scolaires, y compris les niveaux de lecture, la rétention scolaire, les taux d’obtention du diplôme et les taux d’abandon au secondaire. L’absentéisme chronique affecte déjà de manière disproportionnée les enfants vivant dans la pauvreté. Les conséquences des mois d’école manquants seront encore plus marquées.
51) COVID-19 et retour scolaire : Le besoin et la nécessité , Betz, 2020« Les conséquences pour les enfants qui vivent dans la pauvreté sont particulièrement préoccupantes. Ces enfants vivent dans des foyers qui disposent de ressources inadéquates pour l’apprentissage virtuel, ce qui contribuera à des déficits d’apprentissage et, par conséquent, à prendre encore plus de retard par rapport aux performances académiques attendues pour le niveau scolaire. Les enfants des foyers à faibles ressources sont susceptibles d’avoir un espace limité pour faire leurs devoirs, des contrôles de température inadéquats pour le chauffage et la climatisation et un espace extérieur sûr pour faire de l’exercice ( Van Lancker et Parolin, 2020 ). De plus, ce groupe d’enfants est à haut risque d’insécurité alimentaire car ils peuvent ne pas avoir accès aux déjeuners/petits-déjeuners scolaires en cas de fermeture des écoles.
52) Les enfants ne sont pas des super épandeurs de COVID-19 : il est temps de retourner à l’école , Munro, 2020« Des preuves émergent donc que les enfants pourraient être beaucoup moins susceptibles d’être infectés que les adultes… À l’heure actuelle, les enfants ne semblent pas être des super-propagateurs. »
53) Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) dans les Alpes françaises, février 2020 , Danis, 2020« Le cas index est resté 4 jours au chalet avec 10 touristes anglais et une famille de 5 résidents français ; Le SARS-CoV-2 a été détecté chez 5 individus en France, 6 en Angleterre (y compris le cas index) et 1 en Espagne (taux d’attaque global dans le chalet : 75 %). Un cas pédiatrique, avec une co-infection au picornavirus et à la grippe A, a visité 3 écoles différentes alors qu’il était symptomatique. Un cas était asymptomatique, avec une charge virale similaire à celle d’un cas symptomatique… Le fait qu’un enfant infecté n’ait pas transmis la maladie malgré des interactions étroites au sein des écoles suggère une dynamique de transmission potentiellement différente chez les enfants.
54) COVID-19 – résumés des données de recherche , RCPCH, 2020« Chez les enfants, il est désormais clair que le COVID-19 est associé à un fardeau de morbidité et de mortalité considérablement inférieur à celui observé chez les personnes âgées. Il existe des preuves de maladies graves et de décès chez les enfants, mais elles sont rares. Il existe également des preuves que les enfants peuvent être moins susceptibles de contracter l’infection. Le rôle des enfants dans la transmission, une fois qu’ils ont contracté l’infection, n’est pas clair, bien qu’il n’y ait aucune preuve claire qu’ils soient plus contagieux que les adultes. Les symptômes sont non spécifiques et le plus souvent toux et fièvre.
56) Absence de transmission du SRAS-CoV-2 des enfants isolés aux tuteurs, Corée du Sud , Lee/EID, 2021« N’a pas observé la transmission du SRAS-CoV-2 des enfants aux tuteurs dans des contextes d’isolement dans lesquels la proximité étroite semblerait augmenter le risque de transmission. Des études récentes ont suggéré que les enfants ne sont pas les principaux moteurs de la pandémie de COVID-19, bien que les raisons restent floues. »
57) Centre national d’intervention d’urgence COVID-19, équipe d’épidémiologie et de gestion des cas. Recherche des contacts lors d’une épidémie de coronavirus, Corée du Sud, 2020 , Park/EID, 2020« Une grande étude sur les contacts des cas-patients COVID-19 en Corée du Sud a observé que la transmission à domicile était la plus faible lorsque le cas-patient index était âgé de 0 à 9 ans. »
58) COVID-19 chez les enfants et la dynamique de l’infection dans les familles , Posfay-Barbe, 2020« Dans 79% des ménages, ≥1 membre adulte de la famille a été suspecté ou confirmé pour COVID-19 avant l’apparition des symptômes chez l’enfant de l’étude, confirmant que les enfants sont infectés principalement à l’intérieur des grappes familiales.   Étonnamment, dans 33% des ménages, les HHC symptomatiques ont été testés négatifs malgré leur appartenance à un groupe familial avec des cas confirmés de SRAS-CoV-2, suggérant une sous-déclaration des cas. Dans seulement 8% des ménages, un enfant a développé des symptômes avant tout autre HHC, ce qui est conforme aux données précédentes dans lesquelles il est montré que les enfants sont des cas index dans <10% des grappes familiales du SRAS-CoV-2.
59) Transmission COVID-19 et enfants : l’enfant n’est pas à blâmer , Lee, 2020« Rapport sur la dynamique du COVID-19 au sein des familles d’enfants atteints d’une infection en chaîne par polymérase par transcription inverse confirmée par le SRAS-CoV-2 à Genève, en Suisse. Du 10 mars au 10 avril 2020, tous les enfants de moins de 16 ans diagnostiqués aux Hôpitaux Universitaires de Genève ( N = 40) a subi une recherche des contacts pour identifier les contacts familiaux infectés (HHC). Sur 39 ménages évaluables, dans seulement 3 (8%) un enfant était le cas index suspecté, avec l’apparition des symptômes précédant la maladie dans les HHC adultes. Dans tous les autres ménages, l’enfant a développé des symptômes après ou en même temps que les HHC adultes, ce qui suggère que l’enfant n’était pas la source d’infection et que les enfants acquièrent le plus souvent le COVID-19 des adultes, plutôt que de le leur transmettre. de France, un garçon de 9 ans présentant des symptômes respiratoires associés à une co-infection au picornavirus, à la grippe A et au SRAS-CoV-2 a exposé plus de 80 camarades de classe dans 3 écoles ; aucun contact secondaire n’a été infecté, malgré de nombreuses infections grippales dans les écoles, ce qui suggère un environnement propice à la transmission du virus respiratoire. Australie, 9 étudiants et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont été en contact étroit avec un total de 735 étudiants et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte ; 1 élève de l’école primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel, et 1 élève du secondaire a été potentiellement infecté par exposition à 2 camarades de classe infectés.
60) Rôle des enfants dans la transmission domestique du COVID-19 , Kim, 2020« Un total de 107 cas index pédiatriques de COVID-19 et 248 membres de leur ménage ont été identifiés. Une paire de cas pédiatriques index-ménages secondaires a été identifiée, donnant un DAS familial de 0,5 % (IC à 95 % 0,0 % à 2,6 %).
61) Taux d’attaque secondaire chez les contacts familiaux des cas index pédiatriques COVID-19 : une étude de l’Inde occidentale , Shah, 2021« Le DAS à domicile des patients pédiatriques est faible. »
62) Transmission domestique du SRAS-CoV-2 : examen systématique et méta-analyse , Madewell, 2021« Les taux d’attaque secondaire des ménages ont augmenté des cas index symptomatiques (18,0 % ; IC à 95 %, 14,2 %-22,1 %) que des cas index asymptomatiques (0,7 % ; IC à 95 %, 0 % à 4,9 %), aux contacts adultes (28,3 % ; IC à 95 %, 20,2 %-37,1 %) qu’aux enfants contacts (16,8 % ; IC à 95 %, 12,3 % à 21,7 %).
63) Enfants et adolescents infectés par le SRAS-CoV-2 , Maltezou, 2020« La transmission de l’enfant à l’adulte n’a été trouvée qu’une seule fois. »
64) Transmission du syndrome respiratoire aigu sévère-Coronavirus-2 dans une communauté urbaine : le rôle des enfants et des contacts familiaux, Pitman-Hunt, 2021« Un contact familial malade a été identifié chez moins de la moitié (42 %) des patients et aucune transmission de l’enfant à l’adulte n’a été identifiée. »
65) Une méta-analyse sur le rôle des enfants dans le syndrome respiratoire aigu sévère Coronavirus 2 dans les grappes de transmission domestique , Zhu, 2020« Le taux d’attaque secondaire chez les contacts familiaux pédiatriques était inférieur à celui des contacts familiaux adultes (RR : 0,62 ; IC à 95 % : 0,42-0,91). Ces données ont des implications importantes pour la gestion en cours de la pandémie de COVID-19, y compris les stratégies potentielles de priorisation des vaccins. »
66) Le rôle des enfants dans la transmission du SARS-CoV-2 : Un examen rapide , Li, 2020« Les résultats préliminaires d’études en population et en milieu scolaire suggèrent que les enfants peuvent être moins fréquemment infectés ou infecter les autres. »
67) Risque de transmission du nouveau coronavirus 2019 dans les milieux éducatifs , Yung, 2020« Les données suggèrent que les enfants ne sont pas les principaux moteurs de la transmission du SRAS-CoV-2 dans les écoles et pourraient aider à éclairer les stratégies de sortie pour la levée des blocages. »
68) Un rapport d’INTERPOL souligne l’impact du COVID-19 sur les abus sexuels sur enfants , Interpol, 2020« Les principaux changements environnementaux, sociaux et économiques dus à COVID-19 qui ont eu un impact sur l’exploitation et les abus sexuels sur enfants (CSEA) dans le monde comprennent : la fermeture des écoles et le passage ultérieur à des environnements d’apprentissage virtuels ; l’augmentation du temps que les enfants passent en ligne pour le divertissement, et à des fins éducatives ; restriction des voyages internationaux et du rapatriement des ressortissants étrangers ; accès limité aux services de soutien communautaire, aux services de garde d’enfants et au personnel éducatif qui jouent souvent un rôle clé dans la détection et le signalement des cas d’exploitation sexuelle d’enfants. »
69) Les fermetures d’écoles réduisent-elles la transmission communautaire du COVID-19 ? Une revue systématique des études observationnelles , Walsh, 2021« Avec des preuves aussi variées sur l’efficacité et les effets néfastes, les décideurs devraient adopter une approche mesurée avant de mettre en œuvre des fermetures d’écoles. »
70) Association entre la vie avec des enfants et les résultats de COVID-19 : une étude de cohorte OpenSAFELY de 12 millions d’adultes en Angleterre , Forbes, 2020« Pour les adultes vivant avec des enfants, il n’y a aucune preuve d’un risque accru de graves conséquences du COVID-19. Ces résultats ont des implications pour déterminer l’équilibre bénéfice-risque des enfants scolarisés pendant la pandémie de COVID-19. »
71) Fermeture des écoles et pratiques de gestion pendant les épidémies de coronavirus, y compris COVID-19 : une revue systématique rapide , Viner, 2020« Les données de l’épidémie de SRAS en Chine continentale, à Hong Kong et à Singapour suggèrent que les fermetures d’écoles n’ont pas contribué au contrôle de l’épidémie. »
72) Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique , OMS, 2020« L’effet de la fermeture réactive des écoles sur la réduction de la transmission de la grippe variait mais était généralement limité. »
73) De nouvelles recherches ne trouvent aucune preuve que les écoles jouent un rôle important dans la propagation du virus Covid-19 dans la communauté , Warwick, 2021« De nouvelles recherches menées par des épidémiologistes de l’Université de Warwick ont ​​révélé qu’il n’y a aucune preuve significative que les écoles jouent un rôle important dans la propagation de la maladie Covid-19 dans la communauté, en particulier dans les écoles primaires… notre analyse de l’école enregistrée les absences dues à une infection par COVID-19 suggèrent que le risque est beaucoup plus faible dans les écoles primaires que dans les écoles secondaires et nous ne trouvons aucune preuve suggérant que la fréquentation scolaire est un facteur important d’épidémies dans la communauté. »
74) Quand les écoles ferment : une nouvelle étude de l’UNESCO révèle l’échec de la prise en compte du genre dans les réponses éducatives au COVID-19 , UNESCO, 2021« Alors que les gouvernements ont mis en place des solutions d’apprentissage à distance pour répondre à la pandémie, la vitesse, plutôt que l’équité dans l’accès et les résultats, semble avoir été la priorité. Les premières réponses COVID-19 semblent avoir été développées avec peu d’attention à l’inclusion, augmentant le risque d’une marginalisation accrue… La plupart des pays, tous groupes de revenus confondus, déclarent offrir aux enseignants différentes formes de soutien. Cependant, peu de programmes ont aidé les enseignants à reconnaître les risques, les disparités et les inégalités entre les sexes qui ont émergé lors des fermetures de COVID-19. On s’attend également à ce que les enseignantes assument un double rôle pour assurer la continuité de l’apprentissage de leurs élèves, tout en faisant face à des gardes d’enfants supplémentaires et à des responsabilités domestiques non rémunérées à la maison pendant les fermetures d’écoles.
75) Les fermetures d’écoles ont fait échouer les enfants américains , Kristof, 2021« Des drapeaux flottent en berne à travers les États-Unis pour commémorer le demi-million de vies américaines perdues à cause du coronavirus. Mais il y a une autre tragédie à laquelle nous n’avons pas été confrontés de manière adéquate : des millions d’écoliers américains auront bientôt manqué une année d’enseignement en personne, et nous aurons peut-être infligé des dommages permanents à certains d’entre eux et à notre pays… Mais les pertes éducatives sont disproportionnées. la faute des gouverneurs et des maires démocrates qui laissent trop souvent les écoles fermées alors même que les bars ouvraient.

 

C. Inefficacité du masque (Mask Ineffectiveness) : 79 études

MASQUES-INEFFICACITÉ 
1) Efficacité de l’ajout d’une recommandation de masque à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois , Bundgaard , 2021« L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants portant des masques recommandés (1,8%) et 53 participants témoins (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95 %, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ;  P  = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ;  P  = 0,33). L’imputation multiple représentant la perte de suivi a donné des résultats similaires… la recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de plus de 50 % dans une communauté avec des taux d’infection modestes , un certain degré de distanciation sociale et une utilisation générale rare du masque. »
2) Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues marines pendant la quarantaine , Letizia, 2020«Notre étude a montré que dans un groupe de recrues militaires à prédominance masculine, environ 2% sont devenus positifs pour le SRAS-CoV-2, tel que déterminé par le test qPCR, au cours d’une quarantaine de 2 semaines strictement appliquée. De multiples grappes indépendantes de transmission de souches virales ont été identifiées… toutes les recrues portaient des masques en tissu à double couche à tout moment à l’intérieur et à l’extérieur.
3) Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires , Jefferson, 2020« Il existe des preuves de faible certitude provenant de neuf essais (3 507 participants) indiquant que le port d’un masque peut faire peu ou pas de différence sur le résultat du syndrome grippal (SG) par rapport au fait de ne pas porter de masque (rapport de risque (RR) 0,99, 95 % intervalle de confiance (IC) de 0,82 à 1,18. Il existe des preuves de certitude modérée que le port d’un masque fait probablement peu ou pas de différence dans le résultat de la grippe confirmée en laboratoire par rapport au fait de ne pas porter de masque (RR 0,91, IC à 95 % 0,66 à 1,26 ; 6 essais ; 3005 participants)… les résultats regroupés des essais randomisés n’ont pas montré de réduction claire des infections virales respiratoires avec l’utilisation de masques médicaux/chirurgicaux pendant la grippe saisonnière. »
4) L’impact du masquage communautaire sur COVID-19 : un essai randomisé en grappes au Bangladesh , Abaluck, 2021
Heneghan et al.
Un essai randomisé en grappes sur la promotion des masques au niveau communautaire dans le Bangladesh rural de novembre 2020 à avril 2021 (N = 600 villages, N = 342 126 adultes. Heneghan écrit : « Dans une  étude au Bangladesh , les masques chirurgicaux ont réduit les infections symptomatiques à COVID de 0 à 22%, tandis que l’efficacité des masques en tissu a conduit à une augmentation entre 11%   et une diminution de 21%.Par conséquent, sur la base de ces études randomisées, les masques pour adultes semblent avoir une efficacité nulle ou limitée.
5) Preuve du masquage facial en tissu communautaire pour limiter la propagation du SRAS-CoV-2 : un examen critique , Liu/CATO, 2021« Les preuves cliniques disponibles de l’efficacité des masques faciaux sont de faible qualité et les meilleures preuves cliniques disponibles n’ont pour la plupart pas démontré leur efficacité, avec quatorze des seize essais contrôlés randomisés identifiés comparant les masques faciaux à des contrôles sans masque n’ayant pas trouvé d’avantage statistiquement significatif dans l’intention. des populations à traiter. Sur seize méta-analyses quantitatives, huit étaient équivoques ou critiques quant à savoir si les preuves étayaient une recommandation publique de masques, et les huit autres soutenaient une intervention de masque public sur des preuves limitées principalement sur la base du principe de précaution. »
6) Mesures non pharmaceutiques pour la grippe pandémique dans les établissements autres que les soins de santé — Mesures de protection personnelle et environnementales , CDC/Xiao, 2020« Les preuves issues de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas confirmé d’effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire… aucune des études à domicile n’a signalé de réduction significative des infections secondaires au virus de la grippe confirmée en laboratoire dans le groupe du masque facial… la réduction globale dans les cas de SG ou de grippe confirmés en laboratoire dans le groupe du masque facial n’était significatif dans aucune des deux études. »
7) CIDRAP : Masques pour tous pour COVID-19 non basés sur des données sonores , Brosseau, 2020«Nous convenons que les données soutenant l’efficacité d’un masque en tissu ou d’un couvre-visage sont très limitées. Cependant, nous disposons de données provenant d’études de laboratoire qui indiquent que les masques en tissu ou les couvre-visages offrent une efficacité de collecte de filtre très faible pour les plus petites particules inhalables que nous pensons être en grande partie responsables de la transmission, en particulier chez les personnes pré- ou asymptomatiques qui ne toussent pas ou n’éternuent pas… bien que nous soutenions le port de masques par le grand public, nous continuons de conclure que les masques en tissu et les couvre-visages sont susceptibles d’avoir un impact limité sur la réduction de la transmission du COVID-19, car ils ont une capacité minimale à empêcher l’émission de petites particules, offrent une protection personnelle limitée en ce qui concerne l’inhalation de petites particules,
8) Masquage universel dans les hôpitaux à l’ère du Covid-19 , Klompas/NEJM, 2020« Nous savons que le port d’un masque à l’extérieur des établissements de santé offre peu ou pas de protection contre les infections. Les autorités de santé publique définissent une exposition significative à Covid-19 comme un contact face à face à moins de 6 pieds avec un patient présentant des symptômes de Covid-19 qui dure au moins quelques minutes (et certains disent plus de 10 minutes ou même 30 minutes ). La chance d’attraper le Covid-19 lors d’une interaction passagère dans un espace public est donc minime. Dans de nombreux cas, le désir d’un masquage généralisé est une réaction réflexive à l’anxiété suscitée par la pandémie… Le calcul peut toutefois être différent dans les établissements de soins de santé. Tout d’abord, un masque est un élément essentiel de l’équipement de protection individuelle (EPI) dont les cliniciens ont besoin lorsqu’ils soignent des patients symptomatiques atteints d’infections virales respiratoires, en conjonction avec une blouse, des gants, et la protection des yeux… le masquage universel à lui seul n’est pas une panacée. Un masque ne protégera pas les prestataires qui s’occupent d’un patient atteint de Covid-19 actif s’il n’est pas accompagné d’une hygiène méticuleuse des mains, d’une protection oculaire, de gants et d’une blouse. Un masque à lui seul n’empêchera pas les travailleurs de la santé atteints de Covid-19 précoce de se contaminer les mains et de propager le virus aux patients et à leurs collègues. Se concentrer uniquement sur le masquage universel peut, paradoxalement, conduire à une plus grande transmission de Covid-19 s’il détourne l’attention de la mise en œuvre de mesures de contrôle des infections plus fondamentales. » Un masque à lui seul n’empêchera pas les travailleurs de la santé atteints de Covid-19 précoce de se contaminer les mains et de propager le virus aux patients et à leurs collègues. Se concentrer uniquement sur le masquage universel peut, paradoxalement, conduire à une plus grande transmission de Covid-19 s’il détourne l’attention de la mise en œuvre de mesures de contrôle des infections plus fondamentales. » Un masque à lui seul n’empêchera pas les travailleurs de la santé atteints de Covid-19 précoce de se contaminer les mains et de propager le virus aux patients et à leurs collègues. Se concentrer uniquement sur le masquage universel peut, paradoxalement, conduire à une plus grande transmission de Covid-19 s’il détourne l’attention de la mise en œuvre de mesures de contrôle des infections plus fondamentales. »
9) Masques pour la prévention des infections respiratoires virales chez les travailleurs de la santé et le public : revue systématique PEER parapluie , Dugré , 2020«Cette revue systématique a trouvé des preuves limitées que l’utilisation de masques pourrait réduire le risque d’infections respiratoires virales. En milieu communautaire, un risque possiblement réduit de syndrome grippal a été trouvé chez les utilisateurs de masques. Chez les travailleurs de la santé, les résultats ne montrent aucune différence entre les masques N95 et les masques chirurgicaux sur le risque de grippe confirmée ou d’autres infections respiratoires virales confirmées, bien que des avantages possibles des masques N95 aient été trouvés pour prévenir les syndromes grippaux ou d’autres infections respiratoires cliniques. Les masques chirurgicaux peuvent être supérieurs aux masques en tissu, mais les données sont limitées à 1 essai. »
10) Efficacité des mesures de protection individuelle pour réduire la transmission de la grippe pandémique : une revue systématique et une méta-analyse Saunders-Hastings , 2017« L’utilisation d’un masque facial a fourni un effet protecteur non significatif (OR = 0,53 ; IC à 95 % 0,16 à 1,71 ; I 2  = 48 %) contre l’infection grippale pandémique de 2009. »
11) Étude expérimentale de la dispersion et de l’accumulation d’aérosols intérieurs dans le contexte de COVID-19 : Effets des masques et de la ventilation , Shah, 2021« Néanmoins, les masques à haute efficacité, tels que le KN95, offrent toujours des efficacités de filtration apparentes nettement plus élevées (60 % et 46 % pour les masques R95 et KN95, respectivement) que les masques en tissu (10 %) et chirurgicaux les plus couramment utilisés (12 %) ), et sont donc toujours le choix recommandé pour atténuer la transmission des maladies aéroportées à l’intérieur. »
12) Exercice avec masque facial ; Manipulons-nous une épée du diable ?- Une hypothèse physiologique , Chandrasekaran , 2020« Faire de l’exercice avec des masques faciaux peut réduire l’oxygène disponible et augmenter le piégeage de l’air, empêchant ainsi un échange substantiel de dioxyde de carbone. L’hypoxie hypercapnique peut potentiellement augmenter l’environnement acide, la surcharge cardiaque, le métabolisme anaérobie et la surcharge rénale, ce qui peut aggraver considérablement la pathologie sous-jacente des maladies chroniques établies. Contrairement à ce que l’on pensait auparavant, aucune preuve n’existe pour affirmer que les masques faciaux pendant l’exercice offrent une protection supplémentaire contre le transfert de gouttelettes du virus. »
13) Masques chirurgicaux dans les salles d’opération modernes – un rituel coûteux et inutile ?, Mitchell, 1991« Après la mise en service d’une nouvelle série de salles d’opération, des études sur le mouvement de l’air ont montré un flux d’air s’éloignant de la table d’opération vers la périphérie de la salle. La flore microbienne orale dispersée par des volontaires masculins et féminins non masqués se tenant à un mètre de la table n’a pas réussi à contaminer les plaques de décantation exposées placées sur la table. Le port de masques faciaux par le personnel non lavé travaillant dans une salle d’opération avec ventilation forcée semble être inutile. »
14) Masque facial contre les infections respiratoires virales chez les pèlerins du Hajj : Un essai randomisé en grappes difficile , Alfelali, 2020« Par analyse en intention de traiter, l’utilisation du masque facial ne semble pas être efficace contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (rapport de cotes [OR], 1,4 ; intervalle de confiance à 95 % [IC], 0,9 à 2,1, p = 0,18) ni contre les infections respiratoires cliniques (OR, 1,1 ; IC à 95 %, 0,9 à 1,4, p = 0,40). »
15) Protection respiratoire simple – évaluation des performances de filtration des masques en tissu et des matériaux textiles courants contre des particules de taille 20-1000 nm , Rengasamy , 2010« Les résultats obtenus dans l’étude montrent que les matériaux textiles courants peuvent offrir une protection marginale contre les nanoparticules, y compris celles de la taille des particules contenant des virus dans l’air expiré. »
16) Performances respiratoires offertes par les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux : évaluation d’un sujet humain avec un aérosol de NaCl représentant la gamme de tailles de particules bactériennes et virales , Lee, 2008« L’étude indique que les masques respiratoires filtrants N95 peuvent ne pas atteindre le niveau de protection attendu contre les bactéries et les virus. Une valve d’expiration sur le respirateur N95 n’affecte pas la protection respiratoire; cela semble être une alternative appropriée pour réduire la résistance respiratoire.
17) Pénétration des aérosols et caractéristiques de fuite des masques utilisés dans l’industrie des soins de santé , Weber, 1993« Nous concluons que la protection fournie par les masques chirurgicaux peut être insuffisante dans des environnements contenant des aérosols potentiellement dangereux de taille inférieure au micromètre. »
18) Masques chirurgicaux jetables pour prévenir l’infection des plaies chirurgicales en chirurgie propre , Vincent, 2016« Nous avons inclus trois essais, impliquant un total de 2106 participants. Il n’y avait aucune différence statistiquement significative dans les taux d’infection entre le groupe masqué et non masqué dans aucun des essais… d’après les résultats limités, il n’est pas clair si le port de masques chirurgicaux par les membres de l’équipe chirurgicale a un impact sur les taux d’infection des plaies chirurgicales pour patients subissant une chirurgie propre.
19) Masques chirurgicaux jetables : une revue systématique , Lipp, 2005« D’après les résultats limités, il n’est pas clair si le port de masques chirurgicaux entraîne un préjudice ou un avantage pour le patient subissant une intervention chirurgicale propre. »
20) Comparaison de l’efficacité du filtre des tissus non tissés médicaux avec trois aérosols microbiens différents , Shimasaki  , 2018« Nous concluons que le test d’efficacité du filtre utilisant l’aérosol de phage phi-X174 peut surestimer les performances de protection des tissus non tissés avec une structure filtrante par rapport à celle contre de vrais agents pathogènes tels que le virus de la grippe. »
21) L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques , Bin-Reza , 2012« Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques/respirateurs et la protection contre l’infection grippale. Certaines preuves suggèrent que l’utilisation du masque est mieux entreprise dans le cadre d’un ensemble de protection personnelle, en particulier l’hygiène des mains. »
22) Protection faciale pour les travailleurs de la santé pendant les pandémies : un examen de la portée , Godoy, 2020« Par rapport aux masques chirurgicaux, les respirateurs N95 fonctionnent mieux dans les tests de laboratoire, peuvent offrir une protection supérieure en milieu hospitalier et fonctionnent de manière équivalente en milieu ambulatoire. Les stratégies de conservation des masques chirurgicaux et des respirateurs N95 comprennent une utilisation prolongée, une réutilisation ou une décontamination, mais ces stratégies peuvent entraîner une protection inférieure. Des preuves limitées suggèrent que des masques réutilisés et improvisés devraient être utilisés lorsqu’une protection de qualité médicale n’est pas disponible. »
23) Évaluation de la compétence du port du masque N95 parmi le grand public à Singapour , Yeung, 2020«Ces résultats soutiennent les recommandations en cours contre l’utilisation de masques N95 par le grand public pendant la pandémie de COVID-19. 5 L’  utilisation du masque N95 par le grand public peut ne pas se traduire par une protection efficace mais plutôt par une fausse assurance. Au-delà des masques N95, la compétence du grand public à enfiler des masques chirurgicaux doit être évaluée. »
24) Évaluation de l’efficacité des masques en tissu pour réduire l’exposition aux particules , Shakya, 2017« La performance du masque standard N95 a été utilisée comme contrôle pour comparer les résultats avec les masques en tissu, et nos résultats suggèrent que les masques en tissu ne sont que marginalement bénéfiques pour protéger les individus contre les particules < 2,5 m. »
25) Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les travailleurs de la santé au Japon : un essai contrôlé randomisé , Jacobs, 2009« Il n’a pas été démontré que l’utilisation du masque facial chez les travailleurs de la santé offrait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de rhume. »
26) Respirateurs N95 vs masques médicaux pour la prévention de la grippe chez le personnel de santé , Radonovich, 2019 « Parmi le personnel de santé ambulatoire, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire. »
27) Le port du masque universel diminue-t-il ou augmente-t-il la propagation du COVID-19 ? 2020« Une enquête sur des études évaluées par des pairs montre que le port de masque universel (par opposition au port de masques dans des contextes spécifiques) ne diminue pas la transmission des virus respiratoires des personnes portant des masques aux personnes qui ne portent pas de masques. »
28) Masquage : un examen minutieux des preuves , Alexander, 2021« En fait, il n’est pas déraisonnable pour le moment de conclure que les masques chirurgicaux et en tissu, utilisés tels qu’ils sont actuellement, n’ont absolument aucun impact sur le contrôle de la transmission du virus Covid-19, et les preuves actuelles impliquent que les masques faciaux peuvent être réellement nocifs. . « 
29) Expositions communautaires et de contacts étroits associées au COVID-19 chez les adultes symptomatiques ≥18 ans dans 11 établissements de soins ambulatoires – États-Unis, juillet 2020 , Fisher, 2020Les caractéristiques signalées des adultes symptomatiques âgés de 18 ans et plus qui étaient ambulatoires dans 11 établissements de santé universitaires américains et qui ont reçu des résultats de test SARS-CoV-2 positifs et négatifs (N = 314)* – États-Unis, du 1er au 29 juillet 2020, ont révélé que 80% des personnes infectées portaient des masques faciaux presque tout ou la plupart du temps .
30) Impact des interventions non pharmaceutiques contre COVID-19 en Europe : une étude quasi-expérimentale , Hunter, 2020Les masques faciaux en public n’étaient pas associés à une incidence réduite.
31) Masquer le manque de preuves avec la politique , CEBM, Heneghan, 2020« Il semblerait que malgré deux décennies de préparation à une pandémie, il existe une incertitude considérable quant à la valeur du port de masques. Par exemple, les taux élevés d’infection avec les masques en tissu pourraient être dus aux dommages causés par les masques en tissu ou aux avantages des masques médicaux. Les nombreuses revues systématiques qui ont été récemment publiées incluent toutes la même base de données probantes et, sans surprise, parviennent largement aux mêmes conclusions. »
32) Transmission de COVID-19 dans 282 clusters en Catalogne, Espagne : une étude de cohorte , Marks, 2021« Nous n’avons observé aucune association de risque de transmission avec l’utilisation de masques signalée par les contacts, avec l’âge ou le sexe du cas index, ou avec la présence de symptômes respiratoires dans le cas index lors de la visite d’étude initiale. »
33) Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique , OMS, 2020« Dix ECR ont été inclus dans la méta-analyse, et il n’y avait aucune preuve que les masques faciaux sont efficaces pour réduire la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. »
34) Le masquage étrangement non scientifique de l’Amérique , Younes, 2020« Un rapport est parvenu à sa conclusion sur la base d’observations d’une  » tête factice attachée à un simulateur de respiration « .  Un autre a  analysé l’utilisation de masques chirurgicaux sur des personnes présentant au moins deux symptômes de maladie respiratoire aiguë. Incidemment,  aucune de ces études n’a  porté sur des masques en tissu ou n’a pris en compte l’utilisation (ou la mauvaise utilisation) de masques dans le monde réel chez les profanes, et aucune n’a établi l’efficacité du port généralisé du masque par des personnes ne présentant pas de symptômes. Il n’y avait tout simplement aucune preuve que les personnes en bonne santé devraient porter des masques lorsqu’elles vaquent à leurs occupations, en particulier à l’extérieur. »
35) Masques faciaux et obstacles similaires pour prévenir les maladies respiratoires telles que COVID-19 : une revue systématique rapide , Brainard, 2020« 31 études éligibles (dont 12 ECR). Une synthèse narrative et une méta-analyse à effets aléatoires des taux d’attaque pour la prévention primaire et secondaire dans 28 études ont été réalisées. Sur la base des ECR, nous conclurions que le port de masques faciaux peut être très légèrement protecteur contre l’infection primaire due à un contact communautaire occasionnel, et modestement protecteur contre les infections domestiques lorsque les membres infectés et non infectés portent des masques faciaux. Cependant, les ECR souffraient souvent d’une mauvaise conformité et de contrôles utilisant des masques faciaux. »
36) L’année des déguisements , Koops, 2020«Les personnes en bonne santé de notre société ne devraient pas être punies pour être en bonne santé, ce que font exactement les blocages, la distanciation, les mandats de masque, etc.… Les enfants ne devraient pas porter de couvre-visage. Nous avons tous besoin d’une interaction constante avec notre environnement et cela est particulièrement vrai pour les enfants. C’est ainsi que leur système immunitaire se développe. Ils sont les plus bas des groupes à faible risque. Laissez-les être des enfants et laissez-les développer leur système immunitaire… L’idée du « mandat de masque » est une réaction instinctive vraiment ridicule et doit être retirée et jetée à la poubelle d’une politique désastreuse, ainsi que des fermetures d’écoles. Vous pouvez voter pour une personne sans soutenir aveuglément toutes ses propositions !
37) Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède , Ludvigsson, 2020« 1 951 905 enfants en Suède (au 31 décembre 2019) âgés de 1 à 16 ans ont été examinés… la distanciation sociale a été encouragée en Suède, mais le port de masques faciaux ne l’était pas… Aucun enfant atteint de Covid-19 n’est décédé.
38) Les avantages du double masquage sont limités, découvertes par un superordinateur japonais , Reidy, 2021« Le port de deux masques offre des avantages limités pour empêcher la propagation des gouttelettes qui pourraient transporter le coronavirus par rapport à un masque jetable bien ajusté, selon une étude japonaise qui a modélisé la dispersion des gouttelettes sur un superordinateur. »
39) Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires. Partie 1 – Masques faciaux, protection des yeux et distanciation des personnes : revue systématique et méta-analyse , Jefferson, 2020« Il n’y avait pas suffisamment de preuves pour fournir une recommandation sur l’utilisation de barrières faciales sans autres mesures. Nous avons trouvé des preuves insuffisantes pour une différence entre les masques chirurgicaux et les respirateurs N95 et des preuves limitées pour soutenir l’efficacité de la quarantaine. »
40) Les personnes de la communauté sans symptômes respiratoires devraient-elles porter des masques faciaux pour réduire la propagation du COVID-19 ?, NIPH, 2020« Les masques non médicaux comprennent une variété de produits. Il n’existe aucune preuve fiable de l’efficacité des masques non médicaux en milieu communautaire. Il est probable qu’il y ait une variation substantielle de l’efficacité entre les produits. Cependant, il n’y a que des preuves limitées provenant d’études en laboratoire de différences potentielles d’efficacité lorsque différents produits sont utilisés dans la communauté.
41) Un masque est-il nécessaire au bloc opératoire ?, Orr, 1981« Il semblerait qu’une contamination minimale puisse être obtenue au mieux en ne portant pas de masque du tout mais en opérant en silence. Quelle que soit sa relation avec la contamination, le dénombrement bactérien ou la dissémination des squames, il n’y a aucune preuve directe que le port de masques réduise l’infection des plaies.
42) Le masque chirurgical est mal adapté à la réduction des risques , Neilson, 2016« Pas plus tard qu’en 2010, l’Académie nationale des sciences des États-Unis a déclaré que, dans le cadre communautaire, « les masques faciaux ne sont pas conçus ou certifiés pour protéger le porteur de l’exposition aux risques respiratoires ». Un certain nombre d’études ont montré l’inefficacité du masque chirurgical dans les foyers pour prévenir la transmission du virus de la grippe. »
43) Masque facial par rapport à l’absence de masque facial dans la prévention des infections respiratoires virales pendant le Hajj : un essai ouvert randomisé en grappes , Alfelali, 2019« L’utilisation d’un masque facial n’empêche pas les infections respiratoires virales cliniques ou confirmées en laboratoire chez les pèlerins du Hajj. »
44) Les masques faciaux à l’ère du COVID-19 : Une hypothèse de santé , Vainshelboim , 2021« Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l’efficacité du port d’un masque facial comme intervention préventive pour COVID-19. Les données suggèrent que les masques médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2 et le COVID-19, ce qui s’oppose à l’utilisation de masques faciaux. Il a été démontré que le port de masques faciaux a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’acidité et la toxicité accrues, l’activation de la peur et de la réponse au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et dépression. »
45) L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques , Bin-Reza , 2011« Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques/respirateurs et la protection contre l’infection grippale. Certaines preuves suggèrent que l’utilisation du masque est mieux entreprise dans le cadre d’un ensemble de protection personnelle, en particulier l’hygiène des mains. »
46) Les masques faciaux sont-ils efficaces ? The Evidence ., Swiss Policy Research, 2021« La plupart des études ont trouvé peu ou pas de preuves de l’efficacité des masques faciaux dans la population générale, ni comme équipement de protection individuelle ni comme contrôle de source. »
47) Infections postopératoires des plaies et masques chirurgicaux : une étude contrôlée , Tunevall , 1991« Ces résultats indiquent que l’utilisation de masques faciaux pourrait être reconsidérée. Les masques peuvent être utilisés pour protéger l’équipe opératoire des gouttes de sang infecté et des infections aéroportées, mais il n’a pas été prouvé qu’ils protègent le patient opéré par une équipe opératoire en bonne santé.
48) Mandat de masque et efficacité d’utilisation dans le confinement COVID-19 au niveau de l’État , Guerra, 2021« Les mandats et l’utilisation des masques ne sont pas associés à une propagation plus lente du COVID-19 au niveau de l’État pendant les poussées de croissance du COVID-19. »
49) Vingt raisons pour lesquelles les masques obligatoires sont dangereux, inefficaces et immoraux , Manley, 2021« Une  revue financée par le CDC sur  le masquage en mai 2020 est arrivée à la conclusion : « Bien que des études mécanistes soutiennent l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les preuves de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas soutenu un effet substantiel sur la transmission de laboratoire -Grippe confirmée… Aucune des études sur les ménages n’a signalé de réduction significative des infections secondaires au virus de la grippe confirmées en laboratoire dans le groupe des masques faciaux. » Si les masques ne peuvent pas arrêter la grippe ordinaire, comment peuvent-ils arrêter le SAR-CoV-2 ? »
50) Un essai randomisé en grappes de masques en tissu comparés à des masques médicaux chez des travailleurs de la santé , MacIntyre , 2015« Premier ECR de masques en tissu, et les résultats mettent en garde contre l’utilisation de masques en tissu. Il s’agit d’une constatation importante pour informer la santé et la sécurité au travail. La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtration peuvent entraîner un risque accru d’infection… les taux de tous les résultats d’infection étaient les plus élevés dans le bras masque en tissu, avec le taux de SG statistiquement significativement plus élevé dans le bras masque en tissu ) = 13,00, IC à 95 % 1,69 à 100,07) par rapport au bras masque médical. Les masques en tissu présentaient également des taux significativement plus élevés de SG par rapport au bras témoin. Une analyse par utilisation du masque a montré que le SG (RR = 6,64, IC à 95 % 1,45 à 28,65) et le virus confirmé en laboratoire (RR = 1,72, IC à 95 % 1,01 à 2,94) étaient significativement plus élevés dans le groupe des masques en tissu que dans le groupe des masques médicaux. .
51) Horowitz : Les données de l’Inde continuent de faire exploser le récit de la peur du « Delta » , Blazemedia, 2021« Plutôt que de prouver la nécessité de semer plus de panique, de peur et de contrôle sur les gens, l’histoire de l’Inde – la source de la variante « Delta » – continue de réfuter toutes les prémisses actuelles du fascisme COVID… Les masques n’ont pas réussi à arrêter la propagation là-bas. « 
52) Une épidémie causée par la variante SARS-CoV-2 Delta (B.1.617.2) dans un hôpital de soins secondaires en Finlande, mai 2021 , Hetemäki , 2021En  rapportant une  épidémie nosocomiale hospitalière en Finlande, Hetemäli et al. ont observé que « des infections à la fois symptomatiques et asymptomatiques ont été trouvées parmi les agents de santé vaccinés, et une transmission secondaire s’est produite chez ceux présentant des infections symptomatiques malgré l’utilisation d’équipements de protection individuelle ».
53) Épidémie nosocomiale causée par le variant SARS-CoV-2 Delta dans une population hautement vaccinée, Israël, juillet 2021 , Shitrit, 2021Dans une  enquête sur une épidémie dans un  hôpital en Israël, Shitrit et al. ont observé « une transmissibilité élevée de la variante SARS-CoV-2 Delta chez des individus deux fois vaccinés et masqués ». Ils ont ajouté que « cela suggère une certaine diminution de l’immunité, tout en offrant toujours une protection aux personnes sans comorbidités ». Encore une fois, malgré l’utilisation d’équipements de protection individuelle.
54) 47 études confirment l’inefficacité des masques pour COVID et 32 ​​autres confirment leurs effets négatifs sur la santé, Lifesite news staff, 2021« Aucune étude n’a été nécessaire pour justifier cette pratique car la plupart des virus compris étaient beaucoup trop petits pour être arrêtés par le port de la plupart des masques, autres que des masques sophistiqués conçus pour cette tâche et qui étaient trop coûteux et compliqués pour le grand public à porter correctement et continuez à changer ou à nettoyer. Il était également entendu que le port d’un masque long était malsain pour les porteurs pour des raisons de bon sens et de science fondamentale. »
55) Les masques faciaux EUA sont-ils efficaces pour ralentir la propagation d’une infection virale ?, Dopp, 2021De nombreuses preuves montrent que les masques sont inefficaces.
56) Une étude du CDC révèle qu’une écrasante majorité des personnes infectées par le coronavirus portaient des masques , Boyd/Federalist, 2021« A Centers for Disease Control  déclarent  publié en septembre montre que les masques et les revêtements de visage ne sont pas efficaces pour prévenir la propagation de Covid-19, même pour les gens qui les portent toujours. »
57) La plupart des études sur les masques sont des ordures , Eugyppius, 2021« L’autre type d’étude, le bon, serait un essai contrôlé randomisé. Vous comparez les taux d’infection dans une cohorte masquée aux taux d’infection dans une cohorte non masquée. Ici, les choses sont allées bien, bien pire pour la brigade des masques. Ils ont passé des mois à essayer d’empêcher la publication de  l’essai contrôlé randomisé danois , qui a révélé que les masques ne font rien. Lorsque ce papier a finalement été imprimé, ils ont passé plusieurs mois à essayer désespérément de le percer. Vous pouviez ressentir leur soulagement sans limite lorsque  l’étude sur le Bangladesh est finalement apparu pour les sauver début septembre. Chaque dernier chèque bleu sur Twitter pourrait désormais proclamer que la science montre que les masques fonctionnent. Telle était leur soif de toute trace de preuve pour étayer leurs convictions antérieures, qu’aucun d’entre eux ne remarqua la triste nature de la Science en question. L’étude a révélé une simple réduction de 10 % de la séroprévalence parmi la cohorte masquée, un effet si faible qu’il se situait dans l’intervalle de confiance. Même les auteurs de l’étude n’ont pas pu exclure la possibilité que les masques ne fassent en fait rien. »
58) Utilisation de masques faciaux dans la communauté : première mise à jour , ECDC, 2021« Aucune preuve de haute qualité en faveur des masques faciaux et a recommandé leur utilisation uniquement sur la base du » principe de précaution « .
59) Les mesures physiques telles que le lavage des mains ou le port de masques arrêtent-elles ou ralentissent-elles la propagation des virus respiratoires ? , Cochrane, 2020« Sept études ont eu lieu dans la communauté et deux études chez des travailleurs de la santé. Par rapport à l’absence de masque, le port d’un masque peut faire peu ou pas de différence dans le nombre de personnes qui ont contracté une maladie pseudo-grippale (9 études ; 3507 personnes) ; et ne fait probablement aucune différence dans le nombre de personnes qui ont la grippe confirmée par un test de laboratoire (6 études ; 3 005 personnes). Les effets indésirables étaient rarement signalés, mais incluaient l’inconfort.
60) Protection bouche-nez en public : aucune preuve d’efficacité , Thieme/ Kappstein, 2020« L’utilisation de masques dans les espaces publics est discutable simplement en raison du manque de données scientifiques. Si l’on considère aussi les précautions nécessaires, les masques doivent même être considérés comme un risque d’infection dans l’espace public selon les règles connues des hôpitaux… Si des masques sont portés par la population, le risque d’infection est potentiellement augmenté, qu’ils soient médicaux ou non. masques ou s’il s’agit de masques dits communautaires conçus de quelque manière que ce soit. Si l’on considère les mesures de précaution que le RKI ainsi que les autorités sanitaires internationales ont prononcées, toutes les autorités devraient même informer la population que les masques ne doivent pas du tout être portés dans les espaces publics. Car peu importe qu’il s’agisse d’un devoir pour tous les citoyens ou volontairement assumé par les citoyens qui le souhaitent pour une raison quelconque,
61) Les directives américaines sur les masques pour enfants sont les plus strictes au monde ,  Skelding , 2021« Les enfants ont besoin de voir des visages », a déclaré à The Post Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’Université de Stanford. Les jeunes regardent la bouche des gens pour apprendre à parler, lire et comprendre les émotions, a-t-il déclaré. « Nous avons cette idée que cette maladie est si grave que nous devons adopter tous les moyens nécessaires pour l’empêcher de se propager », a-t-il déclaré. «Ce n’est pas que les masques dans les écoles n’ont aucun coût. En fait, ils ont des coûts substantiels.
62) Masquer les jeunes enfants à l’école nuit à l’acquisition du langage , Walsh, 2021« Ceci est important parce que les enfants et/ou les étudiants n’ont pas la capacité de parole ou de langage que les adultes ont – ils ne sont pas également capables et la capacité de voir le visage et en particulier la bouche est essentielle à l’acquisition du langage que les enfants et/ou les étudiants sont engagé à tout moment. De plus, la capacité de voir la bouche est non seulement essentielle à la communication, mais également essentielle au développement du cerveau.
63) L’affaire contre les masques pour enfants , Makary, 2021« Il est abusif de forcer les enfants qui luttent avec eux à se sacrifier pour le bien d’adultes non vaccinés… Les masques réduisent-ils la transmission de Covid chez les enfants ? Croyez-le ou non, nous n’avons pu trouver qu’une seule étude rétrospective sur la question, et ses résultats n’ont pas été concluants. Pourtant, il y a deux semaines, les Centers for Disease Control and Prevention ont sévèrement décrété que 56 millions d’enfants et d’adolescents américains, vaccinés ou non, devraient se couvrir le visage quelle que soit la prévalence de l’infection dans leur communauté. Les autorités de nombreux endroits ont pris l’initiative d’imposer des mandats dans les écoles et ailleurs, sur la base de la théorie selon laquelle les masques ne peuvent faire aucun mal. Ce n’est pas vrai. Certains enfants portent bien un masque, mais d’autres ont du mal. Ceux qui souffrent de myopie peuvent avoir des difficultés à voir car le masque embue leurs lunettes. (Cela a longtemps été un problème pour les étudiants en médecine dans la salle d’opération.) Les masques peuvent causer de l’acné grave et d’autres problèmes de peau. L’inconfort d’un masque distrait certains enfants de l’apprentissage. En augmentant la résistance des voies respiratoires pendant l’expiration, les masques peuvent entraîner une augmentation des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang. Et les masques peuvent être vecteurs d’agents pathogènes  s’ils deviennent humides ou s’ils sont utilisés trop longtemps.
64) Mandats couvrant le visage , Peavey, 2021« Les mandats de couverture du visage et pourquoi ils ne sont pas efficaces ».
65) Les masques fonctionnent-ils ? Un examen des preuves , Anderson, 2021«En vérité, les directives antérieures du CDC, du Royaume-Uni et de l’OMS étaient beaucoup plus cohérentes avec les meilleures recherches médicales sur l’efficacité des masques pour prévenir la propagation des virus. Cette recherche suggère que les nombreux mois de port du masque des Américains ont probablement apporté peu ou pas d’avantages pour la santé et pourraient même avoir été contre-productifs pour empêcher la propagation du nouveau coronavirus. »
66) La plupart des masques faciaux n’arrêteront pas le COVID-19 à l’intérieur, prévient une étude , Anderer, 2021« De nouvelles recherches révèlent que les masques en tissu ne filtrent que 10 % des aérosols expirés, de nombreuses personnes ne portant pas de couvertures qui s’adaptent correctement à leur visage. »
67) Comment les masques faciaux et les verrouillages ont échoué / la folie des masques faciaux rétrospectivement, Swiss Policy Research, 2021« Les mandats de masques et les blocages n’ont eu aucun impact perceptible. »
68) Le CDC publie une étude sur la transmission du COVID à l’école mais enterre l’une des parties les plus accablantes , Davis, 2021« L’incidence inférieure de 21 % dans les écoles qui exigeaient l’utilisation du masque parmi les élèves n’était pas statistiquement significative par rapport aux écoles où l’utilisation du masque était facultative… Avec des dizaines de millions d’enfants américains retournant à l’école à l’automne, leurs parents et leurs dirigeants politiques le doivent à leur permettre d’avoir une discussion lucide et scientifiquement rigoureuse sur les mesures anti-COVID qui fonctionnent réellement et qui pourraient imposer un fardeau supplémentaire aux jeunes vulnérables sans ralentir de manière significative ou démontrable la propagation du virus… qu’une exigence de masquage des étudiants n’a pas réussi à montrer l’avantage indépendant est une constatation importante et d’un grand intérêt.
69) Réunion interne de l’Organisation mondiale de la santé, COVID-19 – conférence de presse virtuelle – 30 mars 2020 , 2020« C’est une question sur l’Autriche. Le gouvernement autrichien a la volonté de faire porter un masque à tous ceux qui entrent dans les magasins. J’ai compris de nos précédents briefings avec vous que le grand public ne devrait pas porter de masques car ils sont rares. Que dites-vous des nouvelles mesures autrichiennes ?… Je ne suis pas spécifiquement au courant de cette mesure en Autriche. Je suppose qu’il s’adresse aux personnes potentiellement atteintes de la maladie sans la transmettre à d’autres. En général, l’OMS recommande que le port d’un masque par un membre du public évite que cet individu ne transmette la maladie à quelqu’un d’autre. Nous ne recommandons généralement pas le port de masques en public par des personnes par ailleurs en bonne santé, car il n’a jusqu’à présent été associé à aucun avantage particulier. »
70) Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une revue systématique , Cowling, 2010« L’examen met en évidence la base de preuves limitée soutenant l’efficacité ou l’efficacité des masques faciaux pour réduire la transmission du virus de la grippe. » « Aucune des études examinées n’a montré un avantage à porter un masque, que ce soit chez les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages (H). »
71) Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : une revue systématique et une méta-analyse, Smith, 2016« Bien que les respirateurs N95 semblaient avoir un avantage protecteur par rapport aux masques chirurgicaux en laboratoire, notre méta-analyse a montré qu’il n’y avait pas suffisamment de données pour déterminer avec certitude si les respirateurs N95 sont supérieurs aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës transmissibles en milieu clinique. réglages. »
72) Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : examen systématique et méta-analyse , Offeddu, 2017«Nous avons trouvé des preuves pour soutenir l’utilisation universelle de masques médicaux en milieu hospitalier dans le cadre des mesures de contrôle des infections pour réduire le risque d’IRC et de SG chez les travailleurs de la santé. Dans l’ensemble, les respirateurs N95 peuvent offrir une plus grande protection, mais l’utilisation universelle tout au long d’un quart de travail est susceptible d’être moins acceptable en raison d’un plus grand inconfort… Notre analyse confirme l’efficacité des masques médicaux et des respirateurs contre le SRAS. Les masques jetables, en coton ou en papier ne sont pas recommandés. L’efficacité confirmée des masques médicaux est d’une importance cruciale pour les milieux à faibles ressources et les situations d’urgence n’ayant pas accès aux respirateurs N95. Dans de tels cas, les masques médicaux à usage unique sont préférables aux masques en tissu,
73) Respirateurs N95 vs masques médicaux pour la prévention de la grippe chez le personnel de santé , Radonovich, 2019« L’utilisation de respirateurs N95, par rapport aux masques médicaux, en ambulatoire n’a entraîné aucune différence significative dans les taux de grippe confirmée en laboratoire. »
74) Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science concernant la politique sociale COVID-19 , Rancourt, 2020« L’utilisation de respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque moindre de grippe confirmée en laboratoire. Il suggère que les respirateurs N95 ne devraient pas être recommandés pour le grand public et le personnel médical non à haut risque qui ne sont pas en contact étroit avec des patients atteints de grippe ou des patients suspectés. «Aucune étude RCT avec des résultats vérifiés ne montre un avantage pour les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages à porter un masque ou un respirateur. Une telle étude n’existe pas. Il n’y a pas d’exceptions. De même, aucune étude n’existe qui montre un avantage d’une large politique de port de masques en public (plus de détails ci-dessous). De plus, s’il y avait un quelconque avantage à porter un masque, en raison du pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, alors il devrait y avoir plus d’avantages à porter un respirateur (N95) par rapport à un masque chirurgical, pourtant plusieurs grandes méta-analyses,
75) Plus d’une douzaine d’études médicales crédibles prouvent que les masques faciaux ne fonctionnent pas même dans les hôpitaux !, Firstenberg, 2020« L’obligation de masques n’a réduit les taux de mortalité nulle part. Les 20 États américains qui n’ont jamais ordonné aux gens de porter des masques faciaux à l’intérieur et à l’extérieur ont des taux de mortalité liés au COVID-19 considérablement plus bas que les 30 États qui ont imposé des masques. La plupart des États sans masque ont des taux de mortalité COVID-19 inférieurs à 20 pour 100 000 habitants, et aucun n’a un taux de mortalité supérieur à 55. Les 13 États qui ont des taux de mortalité supérieurs à 55 sont des États qui ont exigé le port de masques dans tous les publics. des endroits. Il ne les a pas protégés.
76) La médecine factuelle soutient-elle l’efficacité des masques chirurgicaux dans la prévention des infections postopératoires des plaies en chirurgie élective ?, Bahli, 2009« D’après les essais randomisés limités, il n’est toujours pas clair que le port de masques chirurgicaux nuit ou profite aux patients subissant une chirurgie élective. »
77) Prévention des péritonites en DPCA : masquer ou pas ?, Figueiredo , 2000« L’étude actuelle suggère que l’utilisation systématique de masques faciaux lors des échanges de sacs CAPD peut être inutile et pourrait être interrompue. »
78) L’environnement de la salle d’opération tel qu’il est affecté par les personnes et le masque chirurgical , Ritter, 1975«Le port d’un masque chirurgical n’a eu aucun effet sur la contamination globale de l’environnement de la salle d’opération et ne fonctionne probablement que pour rediriger l’effet de projectile de la parole et de la respiration. Les personnes sont la principale source de contamination environnementale dans la salle d’opération.
79) L’efficacité des masques chirurgicaux standards: une enquête en utilisant « particules de traceur , Haeri , 1980« La contamination particulaire de la plaie a été démontrée dans toutes les expériences. Étant donné que les microsphères n’ont pas été identifiées à l’extérieur de ces masques faciaux, elles ont dû s’échapper autour des bords du masque et se sont infiltrées dans la plaie. »
80) Port de bonnets et masques non nécessaires lors du cathétérisme cardiaque , Laslett, 1989« Évalué de manière prospective l’expérience de 504 patients subissant un cathétérisme cardiaque gauche percutané, à la recherche de preuves d’une relation entre le port de casquettes et/ou de masques par les opérateurs et l’incidence de l’infection. Aucune infection n’a été trouvée chez aucun patient, qu’un bonnet ou un masque ait été utilisé. Ainsi, nous n’avons trouvé aucune preuve que des casquettes ou des masques doivent être portés pendant le cathétérisme cardiaque percutané.
81) Les anesthésistes doivent-ils porter des masques chirurgicaux au bloc opératoire ? Une revue de la littérature avec des recommandations fondées sur des preuves , Skinner, 2001« Une enquête par questionnaire, entreprise par Leyland » en 1993 pour évaluer les attitudes vis-à-vis de l’utilisation des masques, a montré que 20 % des chirurgiens jetaient les masques chirurgicaux pour les travaux endoscopiques. Moins de 50% n’ont pas porté le masque tel que recommandé par le Medical Research Council. Un nombre égal de chirurgiens portaient le masque dans la conviction qu’ils se protégeaient eux-mêmes et le patient, 20% d’entre eux admettant que la tradition était la seule raison de les porter. »
82) Les mandats de masque pour les enfants ne sont pas étayés par des données, Faria, 2021« Même si vous souhaitez utiliser la saison grippale 2018-19 pour éviter le chevauchement avec le début de la pandémie de COVID-19, le CDC dresse un tableau similaire : il a  estimé  480 décès dus à la grippe chez les enfants au cours de cette période, avec 46 000 hospitalisations. Heureusement, COVID-19 n’est tout simplement pas aussi mortel pour les enfants. Selon l’American Academy of Pediatrics, les données préliminaires de 45 États  montrent  qu’entre 0,00% et 0,03% des cas de COVID-19 chez les enfants ont entraîné la mort. Lorsque vous combinez ces chiffres avec l’ étude  CDC qui ont trouvé des mandats de masque pour les étudiants – ainsi que des modèles hybrides, une distanciation sociale et des barrières en classe – n’ont pas eu d’avantage statistiquement significatif pour empêcher la propagation de COVID-19 dans les écoles, l’insistance pour que nous forcions les étudiants à sauter à travers ces cerceaux pour leur sa propre protection n’a aucun sens.
83) Les inconvénients du masquage des jeunes étudiants sont réels, Prasad, 2021« Les avantages des exigences en matière de masques dans les écoles peuvent sembler évidents – ils doivent aider à contenir le coronavirus, non ? – mais ce n’est peut-être pas le cas. En Espagne, les masques sont utilisés chez les enfants de 6 ans et plus. Les auteurs d’une étude ont examiné le risque de propagation virale à tous les âges. Si les masques offraient un grand avantage, alors le taux de transmission chez les enfants de 5 ans serait bien plus élevé que le taux chez les enfants de 6 ans. Les  résultats ne montrent pas que. Au lieu de cela, ils montrent que les taux de transmission, qui étaient faibles chez les plus jeunes enfants, augmentaient régulièrement avec l’âge, au lieu de chuter fortement pour les enfants plus âgés soumis à l’obligation de se couvrir le visage. Cela suggère que le fait de masquer les enfants à l’école n’apporte pas un avantage majeur et pourrait n’en apporter aucun. Et pourtant, de nombreux responsables préfèrent redoubler d’efforts pour masquer les mandats, comme si la politique fondamentale était saine et que seul le peuple avait échoué. »
84) Masques dans les écoles: Scientific American Fumbles Report on Childhood COVID Transmission , English/ACSH, 2021« Le masquage est une intervention à faible risque et peu coûteuse. Si nous voulons le recommander par mesure de précaution, surtout dans les situations où la vaccination n’est pas une option, tant mieux. Mais ce n’est pas ce qu’on a dit au public. « Le gouverneur de Floride Ron DeSantis et les politiciens du Texas disent que la recherche ne prend pas en charge les mandats de masque », a beuglé le sous-titre de SciAm. « De nombreuses études montrent qu’elles ont tort. » Si c’est le cas, démontrez que l’intervention fonctionne avant de rendre obligatoire son utilisation dans les écoles. Si vous ne pouvez pas, reconnaissez ce que Vinay Prasad, hématologue-oncologue et professeur agrégé d’épidémiologie de l’UC San Francisco, a écrit  à l’Atlantic :« Aucun consensus scientifique n’existe sur la sagesse des règles de masquage obligatoire pour les écoliers… À la mi-mars 2020, peu de gens pourraient s’opposer à une erreur de prudence. Mais près de 18 mois plus tard, nous devons aux enfants et à leurs parents de répondre correctement à la question : les avantages de masquer les enfants à l’école l’emportent-ils sur les inconvénients ? La réponse honnête en 2021 reste que nous ne savons pas avec certitude. »
85) Les masques «ne fonctionnent pas», nuisent à la santé et sont utilisés pour contrôler la population: Panel de médecins , Haynes, 2021« Les seules études de contrôle randomisées qui ont jamais été faites sur les masques montrent qu’ils ne fonctionnent pas », a commencé le Dr Nepute. Il a fait référence au «noble mensonge» du Dr Anthony Fauci, dans lequel Fauci «a changé de ton», à partir de ses commentaires de mars 2020 , où il a minimisé la nécessité et l’efficacité du port du masque, avant d’exhorter les Américains à utiliser des masques plus tard dans l’année. « Eh bien, il nous a menti. Alors s’il a menti à ce sujet, sur quoi d’autre vous a-t-il menti ? s’interroge Nepute. Les masques sont devenus monnaie courante dans presque tous les environnements, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, mais le Dr Popper a mentionné qu’il n’y avait eu « aucune étude » qui examine réellement « l’effet du port d’un masque pendant toutes vos heures d’éveil ». la science pour soutenir tout cela et en particulier aucune science pour soutenir le fait que le port d’un masque vingt-quatre heures sur vingt-quatre ou toutes les minutes d’éveil est bénéfique pour la santé », a ajouté Popper.
86) Pénétration des aérosols à travers les masques chirurgicaux , Chen, 1992« Le masque qui a l’efficacité de collecte la plus élevée n’est pas nécessairement le meilleur masque du point de vue du facteur de qualité du filtre, qui prend en compte non seulement l’efficacité de capture mais aussi la résistance de l’air. Bien que les supports de masques chirurgicaux puissent être adéquats pour éliminer les bactéries exhalées ou expulsées par les travailleurs de la santé, ils peuvent ne pas être suffisants pour éliminer les aérosols de taille inférieure au micromètre contenant des agents pathogènes auxquels ces travailleurs de la santé sont potentiellement exposés.
87) CDC : les écoles avec des mandats de masque n’ont pas vu des taux différents de transmission de COVID statistiquement significatifs à partir des écoles avec des politiques facultatives , Miltimore, 2021« Le CDC n’a pas inclus sa conclusion selon laquelle » l’utilisation du masque obligatoire parmi les élèves n’était pas statistiquement significative par rapport aux écoles où l’utilisation du masque était facultative « dans le résumé de son rapport. »
88) Horowitz : Les données de l’Inde continuent de faire exploser le récit de la peur du « Delta » , Howorwitz, 2021« Plutôt que de prouver la nécessité de semer plus de panique, de peur et de contrôle sur les gens, l’histoire de l’Inde – la source de la variante « Delta » – continue de réfuter toutes les prémisses actuelles du fascisme COVID… À moins que nous ne le fassions, nous devons revenir aux confinements et aux masques très efficaces. En réalité, l’expérience de l’Inde prouve le contraire ; à savoir : 1) Delta est en grande partie une version atténuée, avec un taux de mortalité beaucoup plus faible, qui pour la plupart des gens s’apparente à un rhume. 2) Les masques n’ont pas réussi à arrêter la propagation là-bas. 3) Le pays s’est approché du seuil d’immunité collective avec seulement 3% vaccinés.
89) Transmission de la variante delta du SRAS-CoV-2 parmi les travailleurs de la santé vaccinés, Vietnam , Chau, 2021Bien que cela ne soit pas définitif dans la publication du LANCET, on peut en déduire que les infirmières étaient toutes masquées et portaient des EPI, etc.
90) Pénétration des aérosols à travers les masques chirurgicaux , Willeke, 1992« Le masque qui a l’efficacité de collecte la plus élevée n’est pas nécessairement le meilleur masque du point de vue du facteur de qualité du filtre, qui prend en compte non seulement l’efficacité de capture mais aussi la résistance de l’air. Bien que les supports de masques chirurgicaux puissent être adéquats pour éliminer les bactéries exhalées ou expulsées par les travailleurs de la santé, ils peuvent ne pas être suffisants pour éliminer les aérosols de taille inférieure au micromètre contenant des agents pathogènes auxquels ces travailleurs de la santé sont potentiellement exposés.
91) L’efficacité des masques chirurgicaux standard : une enquête utilisant des « particules traceuses » , Wiley, 1980« La contamination particulaire de la plaie a été démontrée dans toutes les expériences. Étant donné que les microsphères n’ont pas été identifiées à l’extérieur de ces masques faciaux, elles ont dû s’échapper autour des bords du masque et se sont infiltrées dans la plaie. Le port du masque sous le couvre-chef limite cette voie de contamination. »
92) Une analyse scientifique fondée sur des preuves expliquant pourquoi les masques sont inefficaces, inutiles et nocifs , Meehan, 2020«Des décennies de preuves scientifiques de plus haut niveau (méta-analyses de plusieurs essais contrôlés randomisés) concluent à une écrasante majorité que les masques médicaux sont inefficaces pour prévenir la transmission des virus respiratoires, y compris le SAR-CoV-2… niveau de preuve (essais rétrospectifs observationnels et théories mécanistes), dont aucun n’est conçu pour contrer les preuves, les arguments et les risques des mandats de masque.
93) Lettre ouverte des médecins et professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges , AIER, 2020« Les masques buccaux chez les individus en bonne santé sont inefficaces contre la propagation des infections virales. »
94) Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse , Long, 2020« L’utilisation de respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque plus faible de grippe confirmée en laboratoire. Il suggère que les respirateurs N95 ne devraient pas être recommandés pour le grand public et le personnel médical non à haut risque, ceux qui ne sont pas en contact étroit avec des patients atteints de grippe ou des patients suspects. »
95) Conseils sur l’utilisation des masques dans le cadre du COVID-19 , OMS, 2020« Cependant, l’utilisation d’un masque à elle seule est insuffisante pour fournir un niveau adéquat de protection ou de contrôle des sources, et d’autres mesures au niveau personnel et communautaire devraient également être adoptées pour supprimer la transmission des virus respiratoires. »
96) Masque de farce : c’est sans danger pendant seulement 20 minutes , The Sydney Morning Herald, 2003« Les autorités sanitaires ont averti que les masques chirurgicaux pourraient ne pas être une protection efficace contre le virus. Ces masques ne sont efficaces que tant qu’ils sont secs », a déclaré le professeur Yvonne Cossart du département des maladies infectieuses de l’Université de Sydney. dès qu’ils sont saturés d’humidité dans votre haleine, ils arrêtent de faire leur travail et transmettent les gouttelettes. » Le professeur Cossart a déclaré que cela pouvait prendre aussi peu que 15 ou 20 minutes, après quoi le masque devrait être changé. Mais ces avertissements n’ont pas empêché les gens de se procurer les masques, les détaillants signalant qu’ils ont du mal à répondre à la demande. »
97) Étude : porter un masque usagé est potentiellement plus risqué que pas de masque du tout , Boyd, 2020

 

Effets du port du masque sur l’inhalabilité et le dépôt d’aérosols SARS-CoV-2 en suspension dans l’air dans les voies respiratoires supérieures humaines

« Selon des chercheurs de l’Université du Massachusetts Lowell et de l’Université baptiste de Californie, un masque chirurgical à trois couches est efficace à 65% pour filtrer les particules dans l’air. Cette efficacité, cependant, tombe à 25 pour cent une fois qu’il est utilisé. « Il est naturel de penser que porter un masque, qu’il soit neuf ou ancien, devrait toujours être mieux que rien », a  déclaré l’  auteur Jinxiang Xi. « Nos résultats montrent que cela la croyance n’est vraie que pour les particules de plus de 5 micromètres, mais pas pour les particules fines de moins de 2,5 micromètres », a-t-il poursuivi.

 

D. Obligation du port du masque (Mask Mandates) : 9 études

MASQUE MANDATS
1) Mandat de masque et efficacité d’utilisation pour le confinement du COVID-19 aux États-Unis , Guerra, 2021« Calculé la croissance totale des cas de COVID-19 et l’utilisation du masque pour la zone continentale des États-Unis avec des données des Centers for Disease Control and Prevention et de l’Institute for Health Metrics and Evaluation. Nous avons estimé la croissance des cas de mandat post-masque dans les États non mandatés en utilisant les dates d’émission médianes des États voisins avec des mandats… n’avons pas observé d’association entre les mandats ou l’utilisation de masques et la propagation réduite du COVID-19 dans les États américains.
2) Ces 12 graphiques montrent que les mandats de masque ne font rien pour arrêter COVID , Weiss, 2020« Les masques peuvent bien fonctionner lorsqu’ils sont entièrement scellés, correctement ajustés, changés souvent et dotés d’un filtre conçu pour les particules de la taille d’un virus. Cela ne représente aucun des masques courants disponibles sur le marché de la consommation, ce qui fait du masquage universel beaucoup plus une astuce de confiance qu’une solution médicale… Notre utilisation universelle de couvre-visages non scientifiques est donc plus proche de la superstition médiévale que de la science, mais de nombreuses institutions puissantes ont trop de capital politique investi dans le récit de masque à ce stade, donc le dogme est perpétué. Le récit dit que si les cas diminuent, c’est parce que les masques ont réussi. Il dit que si les cas augmentent, c’est parce que les masques ont réussi à prévenir plus de cas. Le récit suppose simplement plutôt que prouve que les masques fonctionnent, malgré des preuves scientifiques accablantes du contraire. »
3) Les mandats de masques semblent faire grimper les taux d’infection par le virus CCP, selon une étude , Vadum, 2020« Les mandats de masque de protection visant à lutter contre la propagation du virus du  PCC  qui cause la maladie  COVID-19  semblent favoriser sa propagation, selon un rapport de RationalGround.com, un centre d’échange d’informations sur les tendances des données COVID-19 géré par un groupe de base. d’analystes de données, d’informaticiens et d’actuaires.
4) Horowitz : Une analyse complète de 50 États montre une plus grande propagation avec les mandats de masque , Howorwitz, 2020
Justin Hart
« Combien de temps nos politiciens peuvent-ils ignorer les résultats ?… Les résultats : lorsque l’on compare les États avec des mandats à ceux sans, ou des périodes de temps au sein d’un État avec un mandat par rapport à sans, il n’y a absolument aucune preuve que le mandat de masque ait fonctionné pour ralentir la propagation d’un iota. Au total, dans les États ayant un mandat en vigueur, il y a eu 9 605 256 cas confirmés de COVID sur 5 907 jours au total, soit une moyenne de  27  cas pour 100 000 par jour. Lorsque les États n’avaient pas  d’ordre à l’échelle de l’État (ce qui inclut les États qui n’en ont jamais eu et la période de masquage des États n’avait pas le mandat en place), il y avait 5 781 716 cas sur 5 772 jours au total, soit une moyenne de 17 cas pour 100 000 personnes par jour. « 
5) L’étude sur le mandat des masques du CDC : démystifiée , Alexander, 2021« Ainsi, il n’est pas surprenant que la propre conclusion récente du CDC sur l’utilisation de  mesures non pharmaceutiques telles que les masques faciaux en cas de grippe pandémique , a averti que « les preuves scientifiques de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas soutenu un effet substantiel sur la transmission… » De plus, dans le document d’orientation 2019 de l’  OMS  sur les mesures de santé publique non pharmaceutiques en cas de pandémie, ils ont signalé, en ce qui concerne les masques faciaux, qu’«il n’y a aucune preuve que cela soit efficace pour réduire la transmission…». , simulation à double masquage, a  déclaré le CDC que « les résultats de ces simulations [supporting mask use] ne doivent ni être généralisés à l’efficacité… ni interprétés comme étant représentatifs de l’efficacité de ces masques lorsqu’ils sont portés dans des conditions réelles ».
6) Phil Kerpin , tweet, 2021
Le Spectateur
« La première étude écologique des mandats et de l’utilisation des masques d’État pour inclure des données hivernales : »
7) Comment les masques faciaux et les verrouillages ont échoué , SPR, 2021« Les infections ont été principalement dues à des facteurs saisonniers et endémiques, alors que les mandats et les fermetures de masques n’ont eu aucun impact perceptible »
8) Analyse des effets des mandats de masque COVID-19 sur la consommation de ressources hospitalières et la mortalité au niveau du comté , Schauer, 2021« Il n’y a eu aucune réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’un mandat de port de masque. »
9) Avons-nous besoin de mandats de masque , Harris, 2021«Mais les masques se sont avérés beaucoup moins utiles lors de la grippe espagnole de 1918, une maladie virale propagée par des agents pathogènes plus petits que les bactéries. Le ministère de la Santé de Californie, par exemple, a  signalé  que les villes de Stockton, qui exigeaient des masques, et de Boston, qui n’en avaient pas, avaient des taux de mortalité à peine différents, et déconseillaient donc les mandats de masque, à l’exception de quelques professions à haut risque telles que les barbiers… .Les essais contrôlés randomisés (ECR) sur l’utilisation des masques, généralement plus fiables que les études d’observation, bien que non infaillibles, montrent généralement que les masques en tissu et chirurgicaux offrent peu de protection. Quelques ECR suggèrent qu’une parfaite adhérence à un protocole de masque rigoureux peut protéger contre la grippe, mais les méta-analyses trouvent peu dans l’ensemble pour suggérer que les masques offrent une protection significative. Directives de l’OMS à partir de 2019 sur la grippe disent que malgré « la plausibilité mécanique de l’efficacité potentielle » des masques, des études ont montré un avantage trop faible pour être établi avec certitude. Une autre  revue de la littérature réalisée  par des chercheurs de l’Université de Hong Kong est d’accord. Sa meilleure estimation de l’effet protecteur des masques chirurgicaux contre la grippe, basée sur dix ECR publiés jusqu’en 2018, n’était que de 22%, et elle ne pouvait pas exclure un effet nul.

 

E. Nocivité du masque (Mask Harm) : 61 études

MASQUE NUISIBLE
1) Études sur les enfants Corona : Co-Ki : premiers résultats d’un registre à l’échelle de l’Allemagne sur le recouvrement de la bouche et du nez (masque) chez les enfants , Schwarz, 2021« La durée moyenne de port du masque était de 270 minutes par jour. Des déficiences causées par le port du masque ont été signalées par 68 % des parents. Ceux-ci comprenaient de l’irritabilité (60 %), des maux de tête (53 %), des difficultés de concentration (50 %), moins de bonheur (49 %), une réticence à aller à l’école/à la maternelle (44 %), un malaise (42 %), des troubles d’apprentissage (38 % ) et somnolence ou fatigue (37 %).
2) Agents pathogènes dangereux trouvés sur les masques pour enfants , Cabrera, 2021« Les masques étaient contaminés par des bactéries, des parasites et des champignons, dont trois par des bactéries pathogènes dangereuses et provoquant une pneumonie. »
3) Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques , Borovoy, 2020/2021« Les tests en laboratoire des masques usagés de 20 navetteurs ferroviaires ont révélé que 11 des 20 masques testés contenaient plus de 100 000 colonies bactériennes. Des moisissures et des levures ont également été trouvées. Trois des masques contenaient plus d’un million de colonies bactériennes… Les surfaces extérieures des masques chirurgicaux présentaient des niveaux élevés des microbes suivants, même dans les hôpitaux, plus concentrés à l’extérieur des masques que dans l’environnement. Les espèces Staphylococcus (57 %) et Pseudomonas spp (38 %) étaient prédominantes parmi les bactéries, et Penicillium spp (39 %) et Aspergillus spp. (31%) étaient les champignons prédominants.
4) Rapport préliminaire sur la désoxygénation induite par le masque chirurgical lors d’interventions chirurgicales majeures , Beder, 2008«                                                                                      d’ ce ce Ce changement précoce de SpO2 peut être dû soit au masque facial, soit au stress opérationnel. Étant donné qu’une très faible diminution de la saturation à ce niveau reflète une diminution importante de la PaO2, nos résultats peuvent avoir une valeur clinique pour les agents de santé et les chirurgiens.
5) Les mandats de masque peuvent affecter le développement émotionnel et intellectuel d’un enfant , Gillis, 2020« Le fait est que nous ne savons vraiment pas avec certitude quel peut être ou non l’effet. Mais ce que nous savons, c’est que les enfants, en particulier dans la petite enfance, utilisent la bouche comme une partie de l’ensemble du visage pour avoir une idée de ce qui se passe autour d’eux en termes d’adultes et d’autres personnes de leur environnement en ce qui concerne leurs émotions. Il a également un rôle dans le développement du langage… Si vous pensez à un nourrisson, lorsque vous interagissez avec lui, vous utilisez une partie de votre bouche. Ils sont intéressés par vos expressions faciales. Et si vous pensez que cette partie du visage est masquée, il est possible que cela ait un effet. Mais nous ne le savons pas car c’est vraiment une période sans précédent. Ce que nous nous demandons, c’est si cela pourrait jouer un rôle et comment pouvons-nous l’arrêter si cela affecterait le développement de l’enfant.
6) Maux de tête et masque facial N95 chez les prestataires de soins , Lim, 2006« Les prestataires de soins de santé peuvent développer des maux de tête après l’utilisation du masque facial N95. »
7) Optimisation de l’ajustement des masques en tissu et de procédure médicale pour améliorer les performances et réduire la transmission et l’exposition au SRAS-CoV-2, 2021 , Brooks, 2021« Bien que l’utilisation du double masquage ou du nouage et du repliage soient deux des nombreuses options qui peuvent optimiser l’ajustement et améliorer les performances du masque pour le contrôle de la source et pour la protection du porteur, le double masquage peut entraver la respiration ou obstruer la vision périphérique pour certains porteurs, et le nouage et le repliement peuvent changer la forme du masque de telle sorte qu’il ne couvre plus entièrement à la fois le nez et la bouche des personnes au visage plus large.
8) Les masques faciaux à l’ère du COVID-19 : Une hypothèse de santé , Vainshelboim , 2021« Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’acidité et la toxicité accrues, l’activation de la peur et de la réponse au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et dépression. »
9) Le port d’un masque peut exposer les enfants à des niveaux dangereux de dioxyde de carbone en seulement TROIS MINUTES, selon une étude , Shaheen/Daily Mail, 2021« Une étude européenne a révélé que les enfants portant des masques pendant quelques minutes seulement pouvaient être exposés à des niveaux dangereux de dioxyde de carbone… Quarante-cinq enfants ont été exposés à des niveaux de dioxyde de carbone entre trois et douze fois des niveaux sains.
10) Combien d’enfants doivent mourir ? Shilhavy, 2020«Combien de temps les parents vont-ils continuer à masquer leurs enfants en leur faisant beaucoup de mal, au point même de risquer leur vie ? Le Dr Eric Nepute  à St. Louis a pris le temps d’enregistrer une diatribe vidéo qu’il souhaite que tout le monde partage, après que l’enfant de 4 ans d’un de ses patients ait failli mourir d’une infection pulmonaire bactérienne causée par l’utilisation prolongée d’un masque.
11) Un médecin prévient que « les pneumonies bactériennes sont à la hausse » à cause du port du masque , Meehan, 2021«Je vois des patients qui ont des éruptions cutanées au visage, des infections fongiques, des infections bactériennes. Des rapports provenant de mes collègues, partout dans le monde, suggèrent que les pneumonies bactériennes sont en augmentation… Pourquoi cela pourrait-il être ? Parce que des membres du public non formés portent des masques médicaux, à plusieurs reprises… de manière non stérile… Ils deviennent contaminés. Ils les sortent de leur siège auto, du rétroviseur, de leur poche, de leur plan de travail, et ils remettent un masque qui devrait être porté frais et stérile à chaque fois.
12) Lettre ouverte des médecins et professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges , AIER, 2020« Le port du masque n’est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) se produit assez rapidement, un effet similaire au mal de l’altitude. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d’hyperventilation dus au port de masques. De plus, le CO2 accumulé entraîne une acidification toxique de l’organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d’utilisation inappropriée du masque. 
13) Les couvre-visages pour covid-19 : de l’intervention médicale à la pratique sociale , Peters, 2020« À l’heure actuelle, il n’y a pas de preuves directes (issues d’études sur Covid19 et chez des personnes en bonne santé de la communauté) de l’efficacité du masquage universel des personnes en bonne santé de la communauté pour prévenir l’infection par des virus respiratoires, dont Covid19. Une contamination des voies respiratoires supérieures par des virus et des bactéries à l’extérieur des masques médicaux a été détectée dans plusieurs hôpitaux. Une autre recherche montre qu’un masque humide est un terrain fertile pour les bactéries et les champignons (résistants aux antibiotiques), qui peuvent saper l’immunité virale des muqueuses. Cette recherche préconise l’utilisation de masques médicaux/chirurgicaux (au lieu de masques en coton faits maison) qui sont utilisés une fois et remplacés après quelques heures.
14) Masques faciaux pour le public pendant la crise du covid-19 , Lazzarino, 2020« Les deux effets secondaires potentiels qui ont déjà été reconnus sont : (1) Le port d’un masque facial peut donner un faux sentiment de sécurité et amener les gens à adopter une réduction du respect des autres mesures de contrôle des infections, y compris la distanciation sociale et le lavage des mains. (2) Utilisation inappropriée du masque facial : les personnes ne doivent pas toucher leurs masques, doivent changer fréquemment leurs masques à usage unique ou les laver régulièrement, les jeter correctement et adopter d’autres mesures de gestion, sinon leurs risques et ceux des autres peuvent augmenter. D’autres effets secondaires potentiels que nous devons considérer sont : (3) La qualité et le volume de la parole entre deux personnes portant des masques sont considérablement compromis et elles peuvent se rapprocher inconsciemment. Alors que l’on peut être formé pour contrer l’effet secondaire n.1, cet effet secondaire peut être plus difficile à combattre. (4) Le port d’un masque facial fait entrer l’air expiré dans les yeux. Cela génère une sensation inconfortable et une impulsion à toucher vos yeux. Si vos mains sont contaminées, vous vous infectez.
15) Contamination par des virus respiratoires sur la surface extérieure des masques médicaux utilisés par les personnels de santé hospitaliers , Chughtai, 2019« Les agents pathogènes respiratoires sur la surface extérieure des masques médicaux utilisés peuvent entraîner une auto-contamination. Le risque est plus élevé avec une durée d’utilisation du masque plus longue (> 6 h) et avec des taux plus élevés de contact clinique. Les protocoles sur la durée d’utilisation du masque devraient spécifier une durée maximale d’utilisation continue et devraient envisager des conseils dans les environnements à contact élevé. »
16) Réutilisabilité des masques faciaux pendant une pandémie de grippe , Bailar, 2006« Après avoir examiné tous les témoignages et autres informations que nous avons reçus, le comité a conclu qu’il n’existe actuellement aucun moyen simple et fiable de décontaminer ces appareils et de permettre aux gens de les utiliser en toute sécurité plus d’une fois. Il existe relativement peu de données disponibles sur l’efficacité de ces dispositifs contre la grippe, même la première fois qu’ils sont utilisés. Dans la mesure où ils peuvent aider, ils doivent être utilisés correctement, et le meilleur respirateur ou masque ne fera pas grand-chose pour protéger une personne qui l’utilise de manière incorrecte. Des recherches substantielles doivent être menées pour accroître notre compréhension de la propagation de la grippe, développer de meilleurs masques et respirateurs et faciliter leur décontamination. Enfin, l’utilisation de couvre-visages n’est qu’une des nombreuses stratégies qui seront nécessaires pour ralentir ou arrêter une pandémie,
17) Exhalation de virus respiratoires en respirant, en toussant et en parlant , Stelzer-Braid , 2009« Les aérosols exhalés générés par la toux, la parole et la respiration ont été échantillonnés chez 50 sujets à l’aide d’un nouveau masque et analysés par PCR pour neuf virus respiratoires. Les échantillons exhalés d’un sous-ensemble de 10 sujets qui étaient positifs par PCR pour le rhinovirus ont également été examinés par culture cellulaire pour ce virus. Sur les 50 sujets, parmi les 33 présentant des symptômes d’infections des voies respiratoires supérieures, 21 avaient au moins un virus détecté par PCR, tandis que parmi les 17 sujets asymptomatiques, 4 avaient un virus détecté par PCR. Dans l’ensemble, le rhinovirus a été détecté chez 19 sujets, la grippe chez 4 sujets, le parainfluenza chez 2 sujets et le métapneumovirus humain chez 1 sujet. Deux sujets étaient co-infectés. Sur les 25 sujets qui avaient du mucus nasal positif pour le virus, le même type de virus a été détecté dans 12 échantillons respiratoires, 8 échantillons parlants et dans 2 échantillons de toux.
18) [ Effet d’un masque chirurgical sur une distance de marche de six minutes ], Personne, 2018« Le port d’un masque chirurgical modifie significativement et cliniquement la dyspnée sans influencer la distance parcourue. »
19) Les masques de protection réduisent la résilience , Science ORF, 2020« Les chercheurs allemands ont utilisé deux types de masques faciaux pour leur étude : les masques chirurgicaux et les masques dits FFP2, qui sont principalement utilisés par le personnel médical. Les mesures ont été effectuées à l’aide de la spiroergométrie, dans laquelle les patients ou dans ce cas les personnes testées s’exercent physiquement sur un vélo stationnaire – un soi-disant ergomètre – ou un tapis roulant. Les sujets ont été examinés sans masque, avec des masques chirurgicaux et avec des masques FFP2. Les masques altèrent donc la respiration, notamment le volume et la vitesse la plus élevée possible de l’air lors de l’expiration. La force maximale possible sur l’ergomètre a été considérablement réduite.
20) Le port de masques encore plus malsain que prévu , transition Coronoa, 2020« Ils contiennent des microplastiques – et ils aggravent le problème des déchets… » Beaucoup d’entre eux sont en polyester et vous avez donc un problème de microplastique. » Beaucoup de masques faciaux contiendraient du polyester avec des composés chlorés : « Si j’ai le masque devant mon visage, alors bien sûr, je respire directement le microplastique et ces substances sont beaucoup plus toxiques que si vous les avalez, car elles sont directement absorbées. dans le système nerveux », poursuit Braungart.
21) Masquer les enfants : tragique, non scientifique et dommageable , Alexander, 2021«Les enfants n’acquièrent pas facilement le SRAS-CoV-2 (risque très faible), ne le transmettent pas à d’autres enfants ou enseignants, ou mettent en danger les parents ou d’autres personnes à la maison. C’est la science établie. Dans les rares cas où un enfant contracte le virus Covid, il est très rare que l’enfant tombe gravement malade ou meure. Le masquage peut faire du tort aux enfants, comme à certains adultes. Mais l’analyse coûts-avantages est entièrement différente pour les adultes et les enfants, en particulier les plus jeunes. Quels que soient les arguments en faveur des adultes consentants, les enfants ne devraient pas être obligés de porter des masques pour empêcher la propagation de Covid-19. Bien sûr, le risque zéro n’est pas atteignable – avec ou sans masques, vaccins, thérapies, distanciation ou toute autre chose que la médecine peut développer ou que les agences gouvernementales peuvent imposer. »
22) Les dangers des masques , Alexandre, 2021« Avec cet appel de clairon, nous pivotons et nous référons ici à une autre préoccupation imminente et c’est le danger potentiel des composants en chlore, polyester et microplastique des masques faciaux (chirurgicaux principalement mais n’importe lequel des masques produits en série) qui font désormais partie de notre quotidien en raison de la pandémie de Covid-19. Nous espérons que ceux qui ont un pouvoir de persuasion au sein du gouvernement écouteront ce plaidoyer. Nous espérons que les décisions nécessaires seront prises pour réduire le risque pour nos populations. »
23) Un porteur de masque de 13 ans décède pour des raisons inexplicables , Corona Transition, 2020« L’affaire ne suscite pas seulement des spéculations en Allemagne sur un possible empoisonnement au dioxyde de carbone. Parce que l’étudiante « portait un masque de protection corona lorsqu’elle s’est soudainement effondrée et est décédée un peu plus tard à l’hôpital », écrit  Wochenblick.Avis de la rédaction : Le fait qu’aucune cause de décès n’ait été communiquée près de trois semaines après le décès de la jeune fille est en effet inhabituel. La teneur en dioxyde de carbone de l’air est généralement d’environ 0,04 pour cent. A partir d’une proportion de quatre pour cent, les premiers symptômes d’hypercapnie, c’est-à-dire d’intoxication au dioxyde de carbone, apparaissent. Si la proportion de gaz s’élève à plus de 20 pour cent, il y a un risque d’empoisonnement mortel au dioxyde de carbone. Cependant, cela ne va pas sans signaux d’alarme du corps. Selon le portail médical netdoktor, il s’agit notamment de « transpiration, respiration accélérée, rythme cardiaque accéléré, maux de tête, confusion, perte de conscience ». L’inconscience de la jeune fille pourrait donc être un indice d’un tel empoisonnement.
24) Les décès d’étudiants amènent les écoles chinoises à changer les règles des masques , c’est-à-dire 2020« Au cours du mois d’avril, trois cas d’étudiants souffrant de mort subite d’origine cardiaque (MCS) alors qu’ils couraient pendant les cours de gym ont été signalés dans les provinces du Zhejiang, du Henan et du Hunan. Beijing Evening News a  noté que les trois élèves portaient des masques au moment de leur décès, déclenchant une discussion critique sur les règles de l’école sur le moment où les élèves devraient porter des masques. »
25) Blaylock : les masques faciaux présentent de graves risques pour la santé , 2020« En ce qui concerne le soutien scientifique à l’utilisation du masque facial, un examen attentif récent de la littérature, dans lequel 17 des meilleures études ont été analysées, a conclu que : « aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation du masque/respirateur et la protection. contre l’infection grippale. 1    Gardez à l’esprit qu’aucune étude n’a été menée pour démontrer qu’un masque en tissu ou le masque N95 a un effet sur la transmission du virus COVID-19. Toute recommandation doit donc être fondée sur des études de transmission du virus de la grippe. Et, comme vous l’avez vu, il n’y a aucune preuve concluante de leur efficacité dans le contrôle de la transmission du virus de la grippe. »
26) L’exigence du masque est responsable de graves dommages psychologiques et de l’affaiblissement du système immunitaire , Coronoa Transition, 2020« En fait, le masque a le potentiel de « déclencher de fortes réactions de stress psychovégétatif via une agression émergente, qui sont en corrélation significative avec le degré de séquelles stressantes ».
Prousa n’est pas seule à son avis. Plusieurs psychologues ont traité le problème du masque – et la plupart sont arrivés à des résultats dévastateurs. Les ignorer serait fatal, selon Prousa.
27) L’impact physiologique du port d’un masque N95 pendant l’hémodialyse comme précaution contre le SRAS chez les patients atteints d’insuffisance rénale terminale , Kao, 2004« Le port d’un masque N95 pendant 4 heures pendant la HD a considérablement réduit la PaO2 et augmenté les effets indésirables respiratoires chez les patients atteints d’IRT. »
28) Un masque qui couvre la bouche et le nez est-il exempt d’effets secondaires indésirables dans l’utilisation quotidienne et exempt de dangers potentiels ?, Kisielinski , 2021« Nous avons objectivé l’évaluation a mis en évidence des changements dans la physiologie respiratoire des porteurs de masques avec une corrélation significative entre la  baisse d’O 2 et la fatigue ( p  < 0,05), une cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de  baisse d’ O 2 (67 %), de masque N95 et d’  augmentation de CO 2 (82%), masque N95 et O 2 chute (72%), masque N95 et maux de tête (60%), troubles respiratoires et échauffement (88%), mais aussi échauffement et humidité (100%) sous les masques. Le port prolongé du masque par la population générale pourrait entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux. »« Voici les changements physiopathologiques et les plaintes subjectives : 1) Augmentation du dioxyde de carbone dans le sang 2) Augmentation de la résistance respiratoire 3) Diminution de l’oxygène dans le sang saturation 4) Augmentation de la fréquence cardiaque 5) Diminution de la capacité cardio-pulmonaire 6) Sentiment d’épuisement 7) Augmentation de la fréquence respiratoire 8) Difficulté à respirer et essoufflement 9) Maux de tête 10) Vertiges 11) Sensation d’humidité et de chaleur 12) Somnolence (qualitative déficits neurologiques) 13) Diminution de la perception de l’empathie 14) Fonction de la barrière cutanée altérée avec acné, démangeaisons et lésions cutanées »
29) Le masque facial N95 est-il lié aux vertiges et aux maux de tête ?, Ipek, 2021« Une alcalose respiratoire et une hypocapnie ont été détectées après l’utilisation de N95. L’alcalose respiratoire aiguë peut provoquer des maux de tête, de l’anxiété, des tremblements, des crampes musculaires. Dans cette étude, il a été démontré quantitativement que les symptômes des participants étaient dus à une alcalose respiratoire et à une hypocapnie.
30) COVID-19 incite une équipe d’ingénieurs à repenser l’humble masque facial , Myers, 2020«Mais en filtrant ces particules, le masque rend également la respiration plus difficile. On estime que les masques N95 réduisent l’apport en oxygène de 5 à 20 %. C’est important, même pour une personne en bonne santé. Cela peut provoquer des étourdissements et des étourdissements. Si vous portez un masque assez longtemps, cela peut endommager les poumons. Pour un patient en détresse respiratoire, cela peut même mettre sa vie en danger. »
31) 70 médecins dans une lettre ouverte à Ben Weyts : « Abolir le masque buccal obligatoire à l’école » – Belgique , World Today News, 2020« Dans une lettre ouverte au ministre flamand de l’Éducation Ben Weyts (N-VA), 70 médecins demandent la suppression du masque buccal obligatoire à l’école, tant pour les enseignants que pour les élèves. Weyts n’a pas l’intention de changer de cap. Les médecins demandent au ministre Ben Weyts d’inverser immédiatement sa méthode de travail : pas d’obligation de masque buccal à l’école, ne protéger que le groupe à risque et seul le conseil que les personnes ayant un possible profil de risque devraient consulter leur médecin.
32) Les masques faciaux présentent des dangers pour les bébés et les tout-petits pendant la pandémie de COVID-19, UC Davis Health, 2020« Les masques peuvent présenter un risque d’étouffement pour les jeunes enfants. De plus, selon le masque et l’ajustement, l’enfant peut avoir des difficultés à respirer. Si cela se produit, ils doivent pouvoir l’enlever », a déclaré Lena van der List, pédiatre de l’UC Davis  . « Les enfants de moins de 2 ans ne pourront pas retirer de manière fiable un masque facial et pourraient s’étouffer. Par conséquent, les masques ne doivent pas être systématiquement utilisés pour les jeunes enfants… « Plus l’enfant est jeune, plus il est probable qu’il ne portera pas le masque correctement, ne passera pas sous le masque et ne touchera pas les masques potentiellement contaminés », a déclaré  Dean Blumberg , chef de l’infectiologie pédiatrique. maladies à  l’hôpital pour enfants UC Davis. « Bien sûr, cela dépend du niveau de développement de chaque enfant. Mais je pense que les masques ne fourniront probablement pas beaucoup d’avantages potentiels par rapport au risque avant l’adolescence. »
33) Covid-19 : Effets secondaires potentiels importants du port de masques faciaux que nous devons garder à l’esprit , Lazzarino, 2020« D’autres effets secondaires potentiels que nous devons toutefois prendre en compte sont : 1) La qualité et le volume de la parole entre les personnes portant des masques sont considérablement compromis et elles peuvent se rapprocher inconsciemment 2) Le port d’un masque fait entrer l’air expiré dans les yeux. Cela génère une impulsion à toucher les yeux. 3) Si vos mains sont contaminées, vous vous infectez, 4) Les masques faciaux rendent la respiration plus difficile. De plus, une fraction du dioxyde de carbone préalablement expiré est inhalée à chaque cycle respiratoire. Ces phénomènes augmentent la fréquence et la profondeur de la respiration, et ils peuvent aggraver le fardeau du covid-19 si les personnes infectées portant des masques répandent plus d’air contaminé. Cela peut également aggraver l’état clinique des personnes infectées si la respiration améliorée pousse la charge virale dans leurs poumons, 5) L’efficacité de l’immunité innée est fortement dépendante de la charge virale. Si les masques déterminent un habitat humide où le SARS-CoV-2 peut rester actif à cause de la vapeur d’eau fournie en continu par la respiration et captée par le tissu du masque, ils déterminent une augmentation de la charge virale (en réinhalant les virus exhalés) et donc ils peuvent provoquer une défaite de l’immunité innée et une augmentation des infections.
34) Risques d’utilisation du masque facial N95 chez les sujets atteints de MPOC , Kyung, 2020« Sur les 97 sujets, 7 atteints de MPOC n’ont pas porté le N95 pendant toute la durée du test. Ce groupe d’échec du masque a montré des scores plus élevés sur l’échelle de dyspnée du Medical Research Council britannique modifié et un VEMS inférieur à 1  pour cent des valeurs prédites que le groupe d’utilisation de masque avec succès. Un score modifié sur l’échelle de dyspnée du Medical Research Council ≥ 3 (rapport de cotes 167, IC à 95 % 8,4 à > 999,9 ;  P  = 0,008) ou un VEMS 1  < 30 % prédit (rapport de cotes 163, IC à 95 % 7,4 à > 999,9 ;  P  = .001) était associée à un risque de non-port du N95. La fréquence respiratoire, la saturation en oxygène du sang et les niveaux de dioxyde de carbone expiré ont également montré des différences significatives avant et après l’utilisation de N95.
35) Masques trop dangereux pour les enfants de moins de 2 ans, prévient un groupe médical, The Japan Times, 2020«Les enfants de moins de 2 ans ne devraient pas porter de masques car ils peuvent rendre la respiration difficile et augmenter le risque d’étouffement, a déclaré un groupe médical, lançant un appel urgent aux parents alors que le pays rouvre après la crise des coronavirus… Les masques peuvent faire respirer difficile parce que les nourrissons ont des passages d’air étroits », ce qui augmente la charge sur leur cœur, a déclaré l’association, ajoutant que les masques augmentent également le risque de coup de chaleur pour eux.
36) Les masques faciaux peuvent être problématiques, dangereux pour la santé de certains Canadiens : défenseurs , Spenser, 2020« Les masques faciaux  sont dangereux pour la santé de certains Canadiens et problématiques pour d’autres… La présidente et chef de la direction d’Asthme Canada, Vanessa Foran, a déclaré que le simple fait de porter un masque pourrait créer un risque de crise d’asthme.
37) Les masques COVID-19 sont un crime contre l’humanité et la maltraitance des enfants , Griesz-Brisson , 2020« La réinspiration de notre air expiré créera sans aucun doute un manque d’oxygène et un afflux de dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la dépravation de l’oxygène. Il y a des cellules nerveuses par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre. Les symptômes d’avertissement aigus sont des maux de tête, de la somnolence, des étourdissements, des problèmes de concentration, un ralentissement du temps de réaction – des réactions du système cognitif. Cependant, lorsque vous souffrez d’une dépravation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre efficacité restera altérée et le manque d’oxygène dans votre cerveau continue de progresser. Nous savons que  les maladies neurodégénératives mettent des années voire des décennies à se développer. Si aujourd’hui vous oubliez votre numéro de téléphone, la panne de votre cerveau aurait déjà commencé il y a 20 ou 30 ans… L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d’oxygène pour fonctionner. Nous n’avons pas besoin d’une étude clinique pour cela. C’est une physiologie simple et incontestable. Une carence en oxygène consciente et intentionnellement induite est un danger pour la santé absolument délibéré et une contre-indication médicale absolue.
38) Une étude montre comment les masques nuisent aux enfants , Mercola, 2021« Les données du premier registre à enregistrer les expériences des enfants avec des masques montrent des problèmes physiques, psychologiques et comportementaux, notamment l’irritabilité, des difficultés de concentration et des troubles d’apprentissage. TDAH) pour leurs enfants. Les preuves du Royaume-Uni montrent que les écoles ne sont pas les super épandeurs que les responsables de la santé ont dit qu’elles étaient; les taux d’infection mesurés dans les écoles étaient les mêmes que dans la communauté, pas plus élevés. Un grand essai contrôlé randomisé a montré que le port de masques ne réduit pas la propagation du SRAS-CoV-2.
39) Une nouvelle étude révèle que les masques blessent les écoliers physiquement, psychologiquement et comportementalement , Hall, 2021
https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v2
« Une nouvelle  étude , impliquant plus de 25 000 enfants d’âge scolaire, montre que les masques nuisent aux écoliers physiquement, psychologiquement et comportementalement, révélant 24 problèmes de santé distincts associés au port de masques… Bien que ces résultats soient préoccupants, l’étude a également révélé que 29,7 % des les enfants ont éprouvé un essoufflement, 26,4 % des étourdissements et des centaines de participants ont souffert d’une respiration accélérée, d’une oppression thoracique, d’une faiblesse et d’une altération de la conscience à court terme.
40) Masques protecteurs : effet sur l’état d’oxygénation et de fréquence cardiaque des chirurgiens bucco-dentaires pendant la chirurgie , Scarano, 2021« Chez les  20  chirurgiens portant du FFP2 couverts par des masques chirurgicaux, une réduction de la  saturation artérielle en O 2 d’environ 97,5% avant la chirurgie à 94% après la chirurgie a été enregistrée avec une augmentation de la fréquence cardiaque. Un essoufflement et des étourdissements/maux de tête ont également été notés.
41) Effets des masques chirurgicaux et FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire , Fikenzer , 2020« La ventilation, la capacité d’exercice cardio-pulmonaire et le confort sont réduits par les masques chirurgicaux et fortement altérés par les masques faciaux FFP2/N95 chez les personnes en bonne santé. Ces données sont importantes pour les recommandations sur le port de masques faciaux au travail ou pendant l’exercice physique. »
42) Maux de tête associés à l’équipement de protection individuelle – Une étude transversale parmi les travailleurs de la santé de première ligne pendant COVID-19 , Ong, 2020« La plupart des travailleurs de la santé développent des maux de tête de novo associés à l’EPI ou une exacerbation de leurs troubles de la céphalée préexistants. »
43) Lettre ouverte des médecins et professionnels de santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges , The American Institute of Stress, 2020« Le port d’un masque n’est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) se produit assez rapidement, un effet similaire au mal de l’altitude. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d’hyperventilation dus au port de masques. De plus, le CO2 accumulé entraîne une acidification toxique de l’organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d’utilisation inappropriée du masque.
44) La réutilisation des masques peut augmenter votre risque d’infection à coronavirus, selon un expert , Laguipo, 2020« Pour le public, ils ne devraient pas porter de masques sauf s’ils sont malades, et si un professionnel de la santé le leur a conseillé. « Pour le membre moyen du public marchant dans une rue, ce n’est pas une bonne idée », a déclaré le Dr Harries. Ce qui a tendance à se produire, c’est que les gens auront un masque. Ils ne le porteront pas tout le temps, ils l’enlèveront quand ils rentreront chez eux, ils le poseront sur une surface qu’ils n’ont pas nettoyée », a-t-elle ajouté. plus de risque de contracter l’infection. Par exemple, les gens sortent et ne se lavent pas les mains, ils touchent des parties du masque ou leur visage et ils sont infectés. »
45) Que se passe-t-il sous les masques ?, Wright, 2021« Les Américains d’aujourd’hui ont en moyenne de très bons chompers, du moins par rapport à la plupart des autres personnes, passées et présentes. Néanmoins, nous ne pensons pas assez à la santé bucco-dentaire comme en témoigne l’absence presque totale de discussion concernant l’effet des confinements et du masquage obligatoire sur notre bouche. »
46) Évaluation expérimentale de la teneur en dioxyde de carbone dans l’air inhalé avec ou sans masques faciaux chez des enfants en bonne santéUn essai clinique randomisé , Walach, 2021« Une enquête à grande échelle en Allemagne sur les effets indésirables chez les parents et les enfants utilisant des données de 25 930 enfants a montré que 68% des enfants participants avaient des problèmes lorsqu’ils portaient des couvre-nez et bouche. »
47) NM Kids forcés de porter des masques lorsqu’ils courent dans une chaleur de 100 degrés; Les parents contre-attaquent , Smith, 2021« À l’échelle nationale, les enfants ont un taux de survie de 99,997% au COVID-19. Au Nouveau-Mexique, seulement 0,7% des cas d’enfants COVID-19 ont entraîné une  hospitalisation . Il est clair que les enfants ont un risque extrêmement  faible de maladie grave ou de décès  dus au COVID-19, et les mandats de masques imposent un fardeau aux enfants, ce qui nuit à leur propre santé et bien-être. »
48) Santé Canada émet un avis pour les masques jetables au graphène , CBC, 2021«Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux jetables qui contiennent du graphène. Santé Canada a  publié l’avis  vendredi et a déclaré que les porteurs pouvaient inhaler du graphène, une seule couche d’atomes de carbone. Des masques contenant les particules toxiques peuvent avoir été distribués dans certains établissements de santé. »
49) COVID-19 : Étude de performance du risque d’inhalation de microplastiques posé par le port de masques , Li, 2021

 

Le graphène est-il sans danger ?

« Le port de masques réduit considérablement le risque d’inhalation de particules (par exemple, des microplastiques granulaires et des particules inconnues) même lorsqu’ils sont portés en continu pendant 720 h. Le port de masques chirurgicaux, en coton, à la mode et au charbon actif présente un risque d’inhalation de microplastiques de type fibre plus élevé, tandis que tous les masques réduisaient généralement l’exposition lorsqu’ils étaient utilisés dans le délai supposé (<4 h). Le N95 présente moins de risques d’inhalation de microplastiques de type fibre. La réutilisation des masques après avoir subi différents processus de prétraitement de désinfection peut augmenter le risque d’inhalation de particules (p. ex., microplastiques granulaires) et de microplastiques de type fibre. La désinfection aux ultraviolets exerce un effet relativement faible sur l’inhalation de microplastiques de type fibre et, par conséquent, elle peut être recommandée comme processus de traitement pour la réutilisation des masques si elle s’avère efficace d’un point de vue microbiologique.
50) Les fabricants utilisent du graphène dérivé de la nanotechnologie dans les masques faciaux – il y a maintenant des problèmes de sécurité , Maynard, 2021« Les premières inquiétudes concernant le graphène ont été suscitées par des recherches antérieures sur une autre forme de carbone,  les nanotubes de carbone . Il s’avère que certaines formes de ces matériaux ressemblant à des fibres peuvent causer de graves dommages en cas d’inhalation. Et à la suite de la recherche ici, une prochaine question naturelle à se poser est de savoir si le graphène proche cousin des nanotubes de carbone a des préoccupations similaires. Parce que le graphène manque de nombreux aspects physiques et chimiques des nanotubes de carbone qui les  rendent nocifs. (comme être long, mince et difficile à éliminer pour le corps), les indications sont que le matériau est plus sûr que ses cousins ​​nanotubes. Mais plus sûr ne veut pas dire sûr. Et les recherches actuelles indiquent qu’il ne s’agit pas d’un matériau qui devrait être utilisé là où il pourrait être inhalé, sans une bonne quantité de tests de sécurité au préalable… En règle générale, les nanomatériaux manufacturés  ne devraient  pas  être utilisés dans des produits où ils pourraient être par inadvertance. inhalé et atteindre les régions inférieures sensibles des poumons .
51) Masquer les jeunes enfants à l’école nuit à l’acquisition du langage , Walsh, 2021« Ceci est important parce que les enfants et/ou les étudiants n’ont pas la capacité de parole ou de langage que les adultes ont – ils ne sont pas également capables et la capacité de voir le visage et en particulier la bouche est essentielle à l’acquisition du langage que les enfants et/ou les étudiants sont engagé à tout moment. De plus, la capacité de voir la bouche est non seulement essentielle à la communication, mais également essentielle au développement du cerveau. « Des études montrent qu’à l’âge de quatre ans, les enfants des ménages à faible revenu entendront 30 millions de mots de moins que leurs homologues plus aisés, qui obtiennent plus de temps de face de qualité avec les gardiens. ( https://news.stanford.edu/news/2014/november/language-toddlers-fernald-110514.html ).”
52) Agents pathogènes dangereux trouvés sur les masques pour enfants , Rational Ground, 2021« Un groupe de parents de Gainesville, en Floride, a envoyé 6 masques faciaux à un laboratoire de l’Université de Floride, demandant une analyse des contaminants trouvés sur les masques après leur port. Le rapport qui en a résulté a révélé que cinq masques étaient contaminés par des bactéries, des parasites et des champignons, dont trois par des bactéries pathogènes dangereuses et provoquant une pneumonie. Bien que le test soit capable de détecter des virus, dont le SARS-CoV-2, un seul virus a été trouvé sur un masque ( alcelaphine herpesvirus 1)…La moitié des masques étaient contaminés par une ou plusieurs souches de bactéries causant la pneumonie. Un tiers étaient contaminés par une ou plusieurs souches de bactéries responsables de la méningite. Un tiers étaient contaminés par des agents pathogènes bactériens dangereux et résistants aux antibiotiques. En outre, des agents pathogènes moins dangereux ont été identifiés, notamment des agents pathogènes pouvant provoquer de la fièvre, des ulcères, de l’acné, des infections à levures, une angine streptococcique, une maladie parodontale, la fièvre pourprée des montagnes Rocheuses, et plus encore.
53) Dermatite au masque facial » due aux masques faciaux obligatoires pendant la pandémie de SRAS-CoV-2: données de 550 agents de santé et non-soignants en Allemagne , Niesert, 2021« La durée de port du masque a montré un impact significatif sur la prévalence des symptômes (p < 0,001). L’hypersensibilité de type IV était significativement plus probable chez les participants présentant des symptômes par rapport à ceux sans symptômes (p = 0,001), alors qu’aucune augmentation des symptômes n’a été observée chez les participants atteints de diathèse atopique. Les travailleurs de la santé utilisaient des produits de soins de la peau du visage significativement plus souvent que les non-travailleurs de la santé (p = 0,001). »
54) Effet du port de masques faciaux sur la concentration de dioxyde de carbone dans la zone de respiration , AAQR/Geiss, 2020« Les concentrations de dioxyde de carbone détectées allaient de 2150 ± 192 à 2875 ± 323 ppm. Les concentrations de dioxyde de carbone sans masque facial variaient de 500 à 900 ppm. Faire du travail de bureau et rester immobile sur le tapis roulant ont chacun entraîné des concentrations de dioxyde de carbone d’environ 2200 ppm. Une légère augmentation peut être observée lors de la marche à une vitesse de 3 km h-1 (allure de marche tranquille)… des concentrations dans la plage détectée peuvent provoquer des symptômes indésirables, tels que fatigue, maux de tête et perte de concentration.
55) Les masques chirurgicaux comme source de contamination bactérienne pendant les procédures opératoires , Zhiqing, 2018« La source de contamination bactérienne dans les SM était la surface corporelle des chirurgiens plutôt que l’environnement du bloc opératoire. De plus, nous recommandons aux chirurgiens de changer le masque après chaque opération, surtout celles au-delà de 2 heures.
56) Les dommages causés par le masquage des enfants pourraient être irréparables , Hussey, 2021« Lorsque nous entourons des enfants avec des porteurs de masques pendant un an à la fois, est-ce que nous altérons la reconnaissance du code-barres de leur visage pendant une période de développement neural chaud, mettant ainsi en danger le développement complet de la FFA ? La demande de séparation des autres, réduisant les interactions sociales, ajoute-t-elle aux conséquences potentielles comme cela pourrait être le cas dans l’autisme ? Quand pouvons-nous être sûrs que nous n’interférerons pas avec l’entrée visuelle de la neurologie visuelle de reconnaissance faciale afin de ne pas interférer avec le développement du cerveau ? Combien de temps avec des interférences de stimulus pouvons-nous autoriser sans conséquences ? Ce sont toutes des questions actuellement sans réponses ; nous ne savons pas. Malheureusement, la science implique que si nous gâchons le développement du cerveau pour les visages, nous n’avons peut-être pas actuellement de thérapies pour annuler tout ce que nous avons fait.
57) Les masques peuvent être un meurtre , Grossman, 2021« Le port de masques peut créer un sentiment d’anonymat pour un agresseur, tout en déshumanisant la victime. Cela empêche l’empathie, l’autonomisation de la violence et le meurtre. » Le masquage aide à éliminer l’empathie et la compassion, permettant aux autres de commettre des actes inqualifiables sur la personne masquée. »
58) Un professeur de lycée de Londres appelle les masques faciaux une « forme flagrante et impardonnable de maltraitance des enfants » , Butler, 2020« Dans son e-mail, Farquharson a appelé la campagne pour légiférer sur le masque portant une » farce honteuse, une mascarade, un acte de théâtre politique  » qui vise davantage à faire respecter « l’obéissance et la conformité » qu’à la santé publique. Il a également comparé les enfants portant des masques à une « auto-torture involontaire », la qualifiant de « forme flagrante et impardonnable de maltraitance et d’agression physique ».
59) Un conseiller du gouvernement britannique admet que les masques ne sont que des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien , ZeroHedge, 2021« Alors que le gouvernement britannique annonce le « jour de la liberté » aujourd’hui, ce qui est  tout sauf , un éminent conseiller scientifique du gouvernement a admis que les masques faciaux font très peu pour protéger contre le coronavirus et ne sont fondamentalement que des « couvertures de confort… le professeur a noté que « ces aérosols s’échappent masques et rendra le masque inefficace », ajoutant « Le public exigeait que quelque chose soit fait, ils ont des masques, ce n’est qu’une couverture de confort. Mais maintenant, il est enraciné, et nous enracinons les mauvais comportements… partout dans le monde, vous pouvez regarder les mandats de masques et les superposer aux taux d’infection, vous ne pouvez pas voir que les mandats de masques ont eu un effet quelconque », a ajouté Axon, ajoutant que « le meilleur ce que vous pouvez dire à propos de n’importe quel masque, c’est que tout effet positif qu’ils ont est trop petit pour être mesuré.
60) Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 1 : Masque friable particulaire et vulnérabilité pulmonaire , Borovoy, 2020«Le personnel chirurgical est formé pour ne jamais toucher aucune partie d’un masque, à l’exception des boucles et du pont nasal. Dans le cas contraire, le masque est considéré comme inutile et doit être remplacé. Le personnel chirurgical est strictement formé pour ne pas toucher leurs masques autrement. Cependant, le grand public peut être vu toucher diverses parties de leurs masques. Même les masques qui viennent d’être retirés de l’emballage du fabricant ont montré sur les photos ci-dessus qu’ils contiennent des particules et des fibres qui ne seraient pas optimales à inhaler… D’autres préoccupations concernant la réponse des macrophages et d’autres réponses immunitaires et inflammatoires et des fibroblastes à ces particules inhalées spécifiquement des masques faciaux devraient être l’objet de plus de recherches. Si le masquage généralisé se poursuit, le potentiel d’inhalation de fibres de masque et de débris environnementaux et biologiques se poursuit quotidiennement pour des centaines de millions de personnes.
61) Masques médicaux, Desai, 2020«Les masques faciaux ne doivent être utilisés que par des personnes présentant des symptômes d’infection respiratoire tels que la toux, les éternuements ou, dans certains cas, la fièvre. Les masques faciaux doivent également être portés par les travailleurs de la santé, par les personnes qui prennent soin ou sont en contact étroit avec des personnes atteintes d’infections respiratoires, ou autrement selon les directives d’un médecin. Les masques faciaux ne doivent pas être portés par des personnes en bonne santé pour se protéger contre l’infection respiratoire, car il n’y a aucune preuve suggérant que les masques faciaux portés par des personnes en bonne santé sont efficaces pour empêcher les gens de tomber malades. »

 

SOURCE: https://anthropo-logiques.org/