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Revue de presse Covid-19

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Photo de Artem Podrez: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/bleu-photo-technologie-clinique-5878516/

Tout sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19 – Possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits

 

  • Une étude israélienne à grande échelle portant sur 196 992 adultes non vaccinés après une infection par Covid a montré que « l’infection par Covid n’était associée ni à une myocardite ni à une péricardite. » Article complet publié dans le Journal of Clinical Medicine :
    https://www.ncbi.nlm.nih.go
  • À titre indicatif, confirmation de la toxicité des masques faciaux… Un cancérogène du groupe 2B a été détecté dans les masques! Dans une étude portant sur 12 masques faciaux, chaque masque contenait des particules de dioxyde de titane (TiO2) dans au moins une couche, à des niveaux qui dépassaient le niveau d’exposition acceptable. Le Centre international de recherche sur le cancer classe le dioxyde de titane comme cancérogène du groupe 2B, ce qui signifie qu’il est « peut-être cancérogène pour l’homme » PAR INHALATION… Non seulement les adultes ont été involontairement ou pas exposés à cette substance probablement cancérigène en raison des mandats de masque généralisés mis en place pendant la pandémie, mais il en va de même pour les enfants, dont le corps est particulièrement vulnérable aux influences toxiques…
    https://childrenshealthdefen
    et https://www.nature.com/
  • Très importante découverte sur la coopération entre le SARS Cov 2 et les bactéries commensales : le virus pénètre dans les bactéries (surtout intestinales) et les utilise pour se propager, une sorte de « collaboration » qui permet au virus de se répliquer dans le corps humain. Cette coopération entre bactéries et virus est appelée « mécanisme bactériophage-like ». Les récents travaux de l’équipe de recherche du laboratoire CRANIOMED, dirigée par le Dr Carlo Brogna confirment la piste des bactéries « coopérantes » qui provoque la libération de toxines bactériennes lors de la lyse bactérienne. Ces toxines agissent de façon concomitante à l’action du virus SARS-CoV-2 et de sa protéine Spike sur le SRA (système rénine – angiotensine). Dans le monde entier, les médecins qui ont utilisé en ambulatoire précoce (dans les cinq premiers jours suivant l’apparition des premiers symptômes) une molécule d’antibiotique des familles des macrolides et cyclines ont constaté une chute drastique de la létalité : 0,1 % comparée aux 2,3 % des patients laissés sous Doliprane.
    https://www.francesoir.fr/e

INJECTIONS EXPÉRIMENTALES

  • Après une infection au Covid ou un vaccin, la protéine spike perturbe l’immunité de millions de personnes : voici quelques traitements.
    Les protéines spike induisent une inflammation chronique en provoquant un dérèglement immunitaire. Elles pénètrent dans les cellules immunitaires, désactivent les réponses immunitaires normales et les substituent par des réponses proinflammatoires.
    La première étape du traitement consiste à éliminer la protéine spike, la seconde à réduire sa toxicité. Le mode de vie peut stimuler l’autophagie des cellules, par exemple par le jeûne intermittent et la photobiomodulation, une thérapie par laser de faible énergie. L’ivermectine a été documentée pour sa grande variété de fonctions : antiviral, antiparasitaire, antiinflammatoire. Il stimule également l’autophagie.
    La naltrexone à faible dose a un effet antiinflammatoire. Des études montrent qu’elle est capable de bloquer les récepteurs inflammatoires de type Toll, de réduire la production de cytokines proinflammatoires et de bloquer les cascades inflammatoires.
    Le resvératrol est un antiinflammatoire et un antioxydant. Des études ont montré qu’il est sélectif dans la destruction des cellules cancéreuses. Il active les voies de réparation de l’ADN et peut donc réduire le stress cellulaire.
    L’aspirine à faible dose est un antiinflammatoire et un anticoagulant. Elle réduit donc le risque de formation de microcaillots dans les vaisseaux sanguins. Des études ont montré qu’elle peut également réduire les voies proinflammatoires et le stress oxydatif, et est neuroprotectrice.
    La mélatonine est un antioxydant, peut donc prévenir les dommages oxydatifs. Des études montrent qu’elle prévient également la fuite d’électrons des mitochondries et maximise donc la production d’énergie.
    https://covid19criticalcare.c
    et https://www.epochtimes.f
    et https://www.ncbi.nlm.nih
  • Selon une nouvelle étude révélée par The Epoch Times, les enfants et adolescents présentent un risque élevé d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer. Des chercheurs de la Food and Drug Administration (FDA) notamment ont constaté que la myocardite, une forme d’inflammation cardiaque, et la péricardite, une affection inflammatoire connexe du péricarde (sac protecteur entourant le cœur), atteignaient le seuil de sécurité pour les enfants âgés de 12 à 17 ans après les deuxième et troisième doses.
    https://contre-pouvoir.info/
    et https://www.theepochtim
    et https://www.medrxiv.org/
  • La pertinence du syndrome de Takotsubo, rôle de la protéine Spike dans le cadre de la mort cardiaque subite due à 1) Invasion cardiaque 2) Neuroinvasion. La cardiomyopathie de Takutsubo (myocardiopathie de stress) a été observée après la vaccination contre la COVID-19. Un article qui émet l’hypothèse du rôle de la spike dans le déclenchement d’arrêts cardiaques en agissant dans le tronc cérébral.
    « On sait que la protéine Spike induit une myocardite et est responsable d’un nombre croissant de morts cardiaques subites, en particulier chez les jeunes et les individus auparavant en bonne santé. Cependant, j’ai été préoccupé par le nombre de morts subites qui se produisent chez ceux qui n’ont pas été récemment exposés à la protéine Spike. Poursuivant mes recherches récentes sur la capacité de la protéine Spike à envahir le tronc cérébral, j’ai trouvé un mécanisme par lequel les dommages cérébraux peuvent causer le même syndrome de Takotsubo associé à la vaccination à ARNm COVID. »
    https://wmcresearch.substa
  • Lettre de 76 médecins au gouvernement du Royaume-Uni par Robert W Malone, expliquant au gouvernement britannique les raisons complètes pour lesquelles la décision de la FDA américaine autorisant les injections COVID chez les nourrissons et les jeunes enfants ne doit pas se produire au Royaume-Uni. Cette lettre ouverte s’adresse aux scientifiques et professionnels de la santé, à l’Agence de réglementation des produits médicaux et de santé (MHRA) et à d’autres responsables gouvernementaux. La norme de la FDA pour l’approbation des vaccins chez les personnes par ailleurs en bonne santé, en particulier les enfants, est censée être plus élevée que pour les médicaments qui traitent les malades. Mais la FDA a visiblement abaissé ses normes pour approuver les vaccins COVID pour les tout-petits…?
    https://rwmalonemd.substa
  • Les chiffres officiels publiés par le gouvernement britannique confirment que 1 personne sur 310 ayant reçu une troisième dose de l’injection de Covid-19 en Angleterre au 31 décembre 2021, malheureusement décédée dans les 48 jours.
    https://expose-news.com/2
  • SHEDDING – Nous incluons ici un dossier sur le phénomène du shedding, tiré d’un tout récent article qui fait l’état des connaissances actuelles sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19 et la possibilité de contamination de l’entourage des personnes injectées avec ces produits (Article accepté dans Infectious Disease Research, Novembre 2022).
    https://www.researchgate.n
    Et voici les principaux points de ce travail exhaustif et détaillé :

    1. Y a-t-il des données faisant soupçonner un lien quelconque entre la vaccination des adultes et des effets secondaires chez les enfants non vaccinés?
    L’analyse des données européennes, israéliennes et américaines montre que pour le groupe d’âge 0-14 ans non vacciné, la plupart des associations entre la mortalité et la vaccination chez l’adulte sont positives : la surmortalité dans les groupes d’âge non vaccinés au début des campagnes de vaccination pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits. Ce schéma de corrélations positives augmente de la semaine de la vaccination à la semaine 18 après la vaccination, puis disparaît. Il indique des effets négatifs indirects de la vaccination des adultes sur la mortalité des enfants âgés de 0 à 14 ans au cours des 18 premières semaines suivant la vaccination (COVID vaccination and age-stratified all-cause mortality risk, Spiro P. Pantazatos, HervéSeligmann); citons à la page 7 de cet article : « For the unvaccinated age group 0-14, most associations between mortality and vaccination in adults are positive. This tendency for positive correlations increases from the week of vaccination until week 18 after vaccination, then disappears. It indicates indirect adverse effects of adult vaccination on mortality of children of ages 0-14 during the first 18 weeks after vaccination. »
    Par ailleurs, il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées. Il est important de ne pas négliger ces témoignages, car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques; notamment l’excrétion des nanoparticules lipidiques contenant de l’ARNm, l’excrétion de l’ARNm modifié codant pour la spike, et l’excrétion de la spike produite par les vaccinés n’ont pas été étudiées dans la phase d’essai des vaccins, contrairement aux recommandations des régulateurs concernant les thérapies géniques. Les vaccins à ARNm correspondent à la définition des produits de thérapie génique et auraient dû faire l’objet d’études d’excrétion
    https://www.researchgate.ne
  1. Quelle serait la plausibilité biologique de la transmission du « vaccin » ou de ses produits du vacciné au non-vacciné?
    Le protocole de l’essai de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins à ARNm COVID-19 (qui a débuté en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit étudié par inhalation ou contact cutané et de passage par le sperme d’un homme exposé par inhalation ou contact cutané et de passage par le lait maternel; la possibilité d’une réaction indésirable au vaccin suite à ces expositions est également mentionnée.
    Les données de Pfizer indiquent clairement qu’une femme enceinte peut être exposée à « l’intervention étudiée en raison d’une exposition environnementale. » L’exposition environnementale peut se produire par « inhalation ou contact avec la peau ». « Cela signifie clairement que tout contact, y compris le contact sexuel avec une personne ayant reçu les vaccins, expose ceux qui n’ont pas reçu les vaccins à “l’intervention”, c’est-à-dire à l’ARNm.
    L’exposition pendant l’allaitement devait également être immédiatement notifiée pendant l’essai : on suppose que l’investigateur craint qu’une mère qui allaite puisse transmettre l’ARNm expérimental à son bébé si elle a reçu le “vaccin”. (Pfizer, A Phase 1/2/3, placebo controlled, randomized, observer-blind, dose-finding study to evaluate the safety, tolerability, immunogenicity, and efficacy of SARS-CoV-2 RNA vaccine candidates against Covid-19 in healthy individuals, Page 69)
    https://cdn.pfizer.com/pfize
    La vaccination avec l’ARNm et la traduction de l’ARNm induit la production de vésicules extracellulaires (VEs) portant la spike et circulant dans le sang jusqu’à 4 mois après la vaccination. L’injection de ces VEs à des souris induit la synthèse d’anticorps anti-spike.
    Cutting Edge: Circulating Exosomes with COVID Spike Protein Are Induced by BNT162b2 (Pfizer–BioNTech) Vaccination prior to Development of Antibodies: A Novel Mechanism for Immune Activation by mRNA Vaccine, Sandhya Bansal, Sudhir Perincheri, Timothy Fleming, Christin Poulson, Brian Tiffany, Ross M. Bremner, Thalachallour Mohanakumar The Journal of Immunology November 15, 2021, 207 (10) 2405-2410; DOI : 10.4049/jimmunol.2100637
    https://www.jimmunol.org/c
    De l’ARNm du vaccin est retrouvé dans le lait de 1/10 des femmes étudiées (4/40) la première semaine après la vaccination avec le vaccin à ARNm (que ce soit après la dose 1 ou après la dose 2). Les quantités peuvent atteindre 2ng/ml de lait.
    Low, J.M., Gu, Y., Ng, M.S.F. et al. Codominant IgG and IgA expression with minimal vaccine mRNA in milk of BNT162b2 vaccinees. npj Vaccines 6, 105 (2021).
    https://doi.org/10.1038/s4
    Une étude récente confirme que les vésicules extracellulaires du lait survivent aux conditions extrêmes du tractus gastro-intestinal, sont internalisées par endocytose, sont biodisponibles et peuvent transfecter des cellules intestinales.
    Melnik BC, Schmitz G. Milk Exosomal microRNAs: Postnatal Promoters of β Cell Proliferation but Potential Inducers of β Cell De-Differentiation in Adult Life. International Journal of Molecular Sciences. 2022; 23(19) : 11 503.
    https://doi.org/10.3390/ijm
    Les vésicules extracellulaires sont utilisées pour délivrer des thérapies autres que les vaccins : des études cliniques sont en cours par voie locale (péridontite, ulcères, épidermolyse bulleuse) et par inhalation (essai en cours contre la maladie d’Alzheimer).
    Les LNPs avec une bicouche lipidique sont capables de passer la barrière cutanée et de transporter du matériel génétique.
    Klyachko NL, Arzt CJ, Li SM, Gololobova OA, Batrakova EV. Extracellular Vesicle-Based Therapeutics: Preclinical and Clinical Investigations. Pharmaceutics. 2020; 12(12) : 1171.
    https://doi.org/10.3390/ph
    La nébulisation de vésicules extracellulaires pour une thérapie par inhalation a été testée pour la COVID19. En 2022, cette technique a montré son efficacité pour la thérapie par nébulisation chez les patients atteints de COVID-19.
    Chu, M., Wang, H., Bian, L. et al. Nebulization Therapy with Umbilical Cord Mesenchymal Stem Cell-Derived Exosomes for COVID-19 Pneumonia. Stem Cell Rev and Rep 18, 2152–2163 (2022).
    https://doi.org/10.1007/s1
  2. Observations réalisées après la campagne massive de vaccination pouvant soutenir l’excrétion du “vaccin”
    Les scientifiques ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés avec des enfants également non vaccinés mais vivant avec des parents vaccinés. Les enfants de parents vaccinés ont des IgG anti-Covid dans le nez et la différence avec les enfants de parents non vaccinés est significative. Les auteurs pensent que cela est dû à l’excrétion d’anticorps par les gouttelettes : ce qui est transféré serait l’anticorps IgG lui-même dans les gouttelettes de salive. Mais il est possible que les enfants développent des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés par leurs parents vaccinés. Cela pourrait être dû aux nanoparticules lipidiques d’ARNm qui pourraient être excrétées et transférées par la salive, par expectoration ou par la peau. Les enfants développeraient une réaction immunitaire aux nanoparticules (ou sous-produits du vaccin) au lieu que les IgG soient transférées directement par les parents aux enfants.
    Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity, medRxiv 2022.04.28.22274443; doi :
    https://doi.org/10.1101/202

En résumé, comme on l’a vu, les nanoparticules lipidiques peuvent être administrées par voie cutanée, intranasale, intraconjonctivale et par inhalation; des expériences ont montré que l’ARNm inclus dans ces nanoparticules est capable de transfecter des cellules.
Toutes ces études montrent que les VEs porteuses d’ARNm et de spike, ainsi que L’ARNm nu, peuvent donc être excrétées par différents fluides corporels et peuvent pénétrer par voie transcutanée ou par inhalation chez des individus non vaccinés (ainsi que par le lait maternel chez les nourrissons et par passage transplacentaire chez les fœtus). 

https://www.researchgate.net/publication/365233482

État actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19 ; possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits par Hélène Banoun

POLITIQUE

  • La ville de Toronto abandonne son obligation de vaccination COVID-19 et a l’intention d’offrir aux employés syndiqués non vaccinés ou à ceux qui n’ont pas divulgué leur statut vaccinal une réintégration. Une note de service rédigée par la directrice municipale intérimaire Tracey Cook et envoyée aux gestionnaires indique qu’à partir du 1er décembre, “la politique de vaccination de la ville contre le virus COVID-19 sera mise à jour pour refléter le fait que la vaccination obligatoire n’est plus requise pour le personnel, les bénévoles et les entrepreneurs de la ville”. “La Ville a déclaré qu’elle réviserait continuellement cette politique, guidée par la science et les preuves”, a écrit Mme Cook.
    https://globalnews.ca/news
  • Vidéo de 2’ : en Nouvelle-Zélande, les services de renseignement publient des brochures incitant la population à identifier et à dénoncer leurs proches (amis ou famille) au moindre signe qu’ils seraient des “terroristes”. Il est préoccupant de constater que l’un des indicateurs que la population est appelée à surveiller est le fait qu’un proche s’oppose aux politiques du gouvernement, y compris aux mesures Covid.
    https://odysee.com/@quan

SOCIOLOGIE

  • Vidéo très intéressante d’environ 30’ où Idriss J. Aberkane développe la théorie de “dissonance citoyenne” qui découle de la “dissonance cognitive”. Ce concept explique pourquoi une partie de la population n’a pas réagi face aux mensonges et mesures imposées durant la crise du Covid. Idriss J. Aberkane estime qu’il s’agit d’environ 30 % de la population française.
    https://www.youtube.com/w

 

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https://www.researchgate.net/publication/365233482

État actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19 ; possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits par Hélène Banoun