Lors de son allocution du 28 octobre, le Président de la République a expliqué que face à cette épidémie
il y avait trois voies possibles :
– Ne confiner personne pour compter sur l’immunité collective, ce qui nous obligerait à accepter
une mortalité plus importante.
– Confiner uniquement les plus fragiles puisque la Covid-19 tue surtout les personnes âgées (l’âge
moyen de décès est de 84 ans).
– Confiner tout le monde, solution retenue par le gouvernement. Ce fut aussi la solution choisie
lors de la grande peste au 18e siècle. Notre médecine n’a-t-elle fait aucun progrès depuis 3
siècles ?
Nous, médecins, avons été choqués de constater qu’à aucun moment, notre Président n’ait parlé de
soins précoces par le médecin traitant. Et s’il existait un autre chemin ? Une autre solution aurait dû
être mise sur la table ! Car en tant que soignants nous l’affirmons, il existe une QUATRIÈME VOIE !
Comme pour toutes les maladies infectieuses, il existe des solutions thérapeutiques qui pourraient tout
changer sur le plan sanitaire, économique et social.
Face à cette Covid-19, nous devons tous devenir proactifs plutôt que de rester cloitrés chez nous avec la
peur au ventre en espérant que le virus nous épargne !
Quelle est cette QUATRIÈME VOIE ?
Face à tout virus, il est essentiel d’augmenter ses défenses immunitaires.
Pour cela, beaucoup de choses ont prouvé leur efficacité :
– Une meilleure hygiène de vie.
– Une activité physique régulière, si difficile en cas de confinement et pourtant essentielle.
– L’espoir, la pensée positive, la méditation plutôt que la peur qui fait chuter notre système
immunitaire.
– Une supplémentation nutritionnelle. La vitamine D, la vitamine C, le zinc, les probiotiques et bien
d’autres ont montré qu’ils amélioraient les défenses immunitaires et réduisaient le risque des
maladies infectieuses, y compris liées au coronavirus.
D’autres approches complémentaires peuvent être envisagées par votre médecin en fonction de sa
pratique, mais une chose est sûre : nous devons renforcer nos défenses plutôt que fuir devant l’ennemi.
C’est la première chose à faire si on veut gagner la « guerre ».
Nous demandons que les tests de dépistage soient prescrits par des
médecins et qu’ils ne soient plus réalisés à tout le monde et à n’importe
qui. La situation actuelle entraine en effet plusieurs écueils :
– Beaucoup de résultats sont des faux positifs à cause de la méthode retenue, en particulier en
France. C’est-à-dire que les personnes testées sont faussement positives alors qu’elles ne sont ni
malades ni contagieuses.
– Ces tests réalisés sans l’accompagnement d’un médecin sont inefficaces sur le plan
épidémiologique et hyper stressants sur le plan psychologique, contribuant à la baisse de
l’immunité.
– Ce choix de tests gratuits sans ordonnance coute une fortune d’environ 500 millions d’euros par
mois aux frais du contribuable. Une partie de cet argent pourrait surement être mieux utilisée
comme, par exemple, pour ouvrir de nouveaux lits de réanimation et embaucher du personnel
soignant. Nous exigeons que cet argent qui provient de nos impôts soit mieux employé.
Un diagnostic médical repose autant sur la clinique que sur la biologie. C’est pourquoi les tests doivent
être prescrits et interprétés par un médecin qui connait « son » patient.
Face à n’importe quelle maladie, n’est-il pas de notre devoir de soigner les
patients ? Et s’il n’existe pas de traitement qui fasse l’unanimité dans le
monde médical, est-ce une raison pour ne rien faire ?
Depuis 1 an que ce virus est apparu, nous avons beaucoup appris sur lui et sur les complications. Nous
savons qu’il évolue en deux phases, d’abord une phase infectieuse virale comme dans une grippe puis
une phase inflammatoire où le virus n’est plus en cause directement.
C’est cette phase inflammatoire qui impose l’hospitalisation en réanimation. Une majorité de personnes
fait preuve, heureusement, d’une immunité suffisante pour ne jamais en arriver là. Mais des personnes
fragiles n’ont pas cette chance.
Malgré tous les combats d’égos télévisuels, nous sommes des milliers de médecins à avoir traité les
patients qui en avaient besoin dans la première phase de la maladie pour leur éviter ces complications.
Et nous le constatons tous les jours au quotidien :
CELA FONCTIONNE.
LA PRÉVENTION,
avant tout.
LA DÉTECTION
CIBLÉE
UN TRAITEMENT
PRÉCOCE
Les scientifiques qui réfutent cela ne le font que sur la base d’études qui sont à ce jour insuffisantes.
Insuffisantes pour prouver définitivement que les traitements marchent, mais également insuffisantes
pour prouver que cela ne marche pas. Et souvent ils n’ont aucune expérience personnelle de ces
traitements qu’ils rejettent d’un revers de main. Sinon ils ne seraient pas aussi péremptoires. Il existe
pourtant plus d’une centaine d’études dans le monde qui montre l’efficacité du traitement précoce en
diminuant les hospitalisations, les séquelles respiratoires, la mortalité.
Dans ces conditions, beaucoup de médecins dans le monde entier et en particulier en France ont décidé
de soigner leurs patients malgré l’absence de consensus et la pression négative des institutions. Car c’est
notre métier et nous n’accepterons jamais qu’on nous empêche de l’exercer. Nous sommes des gens
responsables et il serait temps de nous faire confiance. Ce faisant, nous constatons dans nos cabinets
que les malades sont soulagés bien plus vite, qu’ils s’aggravent moins et que nous hospitalisons beaucoup
moins. Il serait temps qu’on prenne en compte cette expérience du terrain plutôt que se baser
uniquement sur des études hospitalières puisque, justement, c’est en ville, AVANT l’arrivée à
l’hôpital qu’il faut soigner.
De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser que le TRAITEMENT PRÉCOCE
pourrait reposer sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques :
– Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).
– La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente
nos défenses et aide à être moins fatigué.
– La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui
font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).
– L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action
antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de
nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.
– L’hydroxychloroquine (vendue en France sous le nom de Plaquenil®) dont l’efficacité sur le virus
est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la
première phase de la maladie.
Il existe même d’autres pistes complémentaires pour soulager et soigner les malades : d’autres
antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un
antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en
Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en
Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter
contre les infections ou soulager les symptômes. Tous ces traitements doivent être prescrits par un
médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions
d’emploi.
En conclusion nous demandons que le médecin traitant soit remis au
centre du processus de prise en charge des patients et soit la pierre
angulaire des démarches sanitaires.
Nous demandons que de vrais protocoles de soins précoces soient mis en place, que ce soit pour la
prévention de la population ou le traitement des malades comme n’importe quelle médecine moderne
devrait le faire.
C’est certainement la meilleure solution pour pouvoir sortir du confinement plus rapidement. Si nous
mettions cela en place sans attendre nous pourrions surement passer des fêtes de fin d’année dans la
joie d’être ensemble, avec l’amour de nos proches et la sérénité sur le plan sanitaire. Et cela peut nous
donner l’espoir qu’en 2021 cette épidémie se termine enfin.
Depuis 2 mois nous accumulons les décisions liberticides et pourtant le nombre de malades ne cesse
d’augmenter. Nous avons, parait-il, dépassé les 40 000 décès, ce qui est 4 fois plus que nos voisins
allemands. Il est temps de se rendre compte que la stratégie actuelle décidée par notre ministre de la
santé nous amène dans le mur.
Si vous êtes d’accord avec ces propositions, si vous désirez nous suivre sur cet autre chemin, si vous
pensez que cette QUATRIÈME VOIE est la plus sensée, rejoignez-nous ! Que vous soyez soignant ou
usager de la santé, signez notre manifeste, adhérez à nos collectifs, exigez que des soins réels soient
proposés à la population. C’est à cette condition que nous arriverons à soulager nos services de
réanimation et que tous les malades seront pris en charge efficacement et sans distinction d’âge ou de
région. Nous ne devons plus accepter que l’on conseille de sédater des personnes âgées avec du Rivotril
parce que nous n’avons pas assez de lits de réanimation. C’est pour cela qu’il est encore plus
indispensable et urgent de traiter tous les malades précocement, de CHOISIR CETTE QUATRIÈME VOIE !
La France dispose d’un tissu médical étendu et diversifié. Nous sommes riches de cette diversité
médicale. Les patients ont encore le libre choix de leur médecin et doivent donc obtenir les soins dont
ils ont besoin et qui leur paraissent les plus adaptés à leur cas personnel.
Demandez conseil à votre médecin, à votre pharmacien et reprenez votre santé en main !
Pour signer ce manifeste rendez-vous sur le site : https://manifestes-libertes.org/