Mais où sont donc les souverainistes québécois quand on a besoin d’eux ? Car vu la tangente menaçante du gouvernement fédéral, c’est le moment ou jamais de quitter le Canada… ou ce qu’il en reste !
Pour mater ce qu’il qualifiait de « petite minorité marginale », Trudeau a non seulement fait adopter la Loi sur les mesures d’urgence, mais il a même eu l’indécence de l’appliquer avant de la soumettre au vote des Parlementaires. Certes, il l’a révoquée, mais il a créé un dangereux précédent. Et le vrai Justin s’est dévoilé.
Des Canadiens ont vu leurs comptes bancaires gelés pour avoir manifesté ou simplement aidé financièrement la cause des camionneurs. Ottawa envisagerait même de légiférer pour pérenniser cette pratique.
Ainsi, dans le Canada de Justin, quiconque revendique sa liberté pré-Covid ou entretient une opinion dissidente risque d’être condamné à une mort économique.
Plus désolant encore que cette délirante démonstration d’autorité, c’est que peu de Canadiens semblent réaliser sa gravité.
C’est grave, car cet autoritarisme a brisé bien plus que le mouvement des camionneurs. Il a pulvérisé la confiance de la population envers un gouvernement qu’elle croyait démocratique. Il a torpillé toute envie d’investir en sol canadien. Il a anéanti le sentiment de sécurité face au système bancaire.
Qui voudrait aujourd’hui démarrer une entreprise dans un régime où l’État s’octroie le droit de tout saisir selon son humeur ? Qui donc n’a pas songé à transférer ses actifs dans une banque étrangère pour les mettre à l’abri des saisies arbitraires ?
Fossoyeur
Trudeau a financé ses exubérantes dépenses à coup d’impression monétaire et a provoqué l’inflation actuelle et l’appauvrissement des Canadiens. Maintenant, sa psychose autoritaire a montré que le Canada est un pays politiquement instable qu’il vaut mieux éviter. Il entrera dans les livres d’histoire comme fossoyeur du Canada et générateur de misère humaine et économique.
Vivement un autre référendum sur la souveraineté !