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FOIE, EMBRYON , MOELLE OSSEUSE : QUAND UNE ETUDE SUEDOISE DEMONTRE QUE L’ARN DU PFIZER MODIFIE L’ADN DES CELLULES HUMAINES – PGERTIE

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Le pire scénario…les lanceurs d’alerte avaient raison…

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Une étude vient d’établir la capacité du Pfizer de modifier le génome humain  avec de très graves conséquences , en moins de 6heures  il pénètre et modifie les cellules à l’origine de l’hépatite C et du cancer du foie…

La généticienne Alexandra Henrion-Caude a déclaré  : « L’ARN peut devenir ADN » chez des personnes « porteuses d’un rétrovirus qui donne la reverse transcriptase. On peut aussi avoir des virus qui ne sont pas des HIV, qui sont des virus silencieux, des spumavirus, et qui peuvent vous donner la reverse transcriptase. Mais qu’est-ce que j’en sais, moi, si vous avez le spumavirus ? Je ne sais pas parce qu’il est silencieux. Il ne donne pas de symptôme ». Et « l’ADN peut s’intégrer au génome humain ».

ELLE AVAIT RAISON!

Les avertissements de Raoult:

Les inquiétudes de Christian Vélot ou de JPG sont vérifiées :

Les ARNm transformés en ADN ou les ADN vaccinaux sont susceptibles de s’ intégrer dans notre matériel génétique avec risques de cancers, de maladies auto-immunes et de transmission à la descendance… Le nier est une énormité scientifique… On vous a menti… Tous les biologistes connaissent les réactions croisées avec d’autres virus ARN (rétrovirus et lentivirus) et même à ADN (causes d’hépatites), spumavirus et autres, les gènes REV et Line, les télomérases et polymérases et vous expliquerons comment les ARN et ADN des « vaccins » grâce à de nombreuses rétrotranscriptases et ligases présentes ou véhiculées dans nos cellules, peuvent rentrer dans nos chromosomes et y persister de génération cellulaires en générations cellulaires mais aussi à l’encontre de nos descendances.

  1. Comment l’ARN viral peut il modifier l’ADN du malade

On parle de Transcription inverse intracellulaire quand de l’ARN viral  infecte et transforme l’adn du contaminé. Concrètement, l’Arn de la spike injecté via le vaccin pour permettre la création d’anticorps aurait un effet très grave, il infecterait l’ADN du malade comme le fait le virus du sida.

Les rétrovirus sont un groupe de virus, et ils possèdent donc des caractéristiques spéciales que l’on ne retrouve pas chez les virus. Les virus contiennent du matériel génétique comme l’ADN ou l’ARN, mais les rétrovirus contiennent seulement l’ARN.

Le VIH  est un rétrovirus utilise la transcriptase inverse en plus, pour infecter l’ADN de l’être humain avec de l’ARN viral.   

La transcriptase inverse chez les virus est identifiée par Howard Temin à l’Université du Wisconsin à Madison lors de ses travaux sur les virions du sarcome de Rous, et indépendamment isolée par David Baltimore au MIT dans les virus de la leucémie murine et de Rous 

Luc MONTAGNIER détecta  de la transcriptase inverse dans des cultures de cellules infectées ce qui lui qui a permis la découverte du VIH 

2)L’ARN VACCINAL PEUT IL MODIFIER  L’ADN DU VACCINE ?

 Le Pfizer  et le Moderna consiste à injecter de l’ARN  de la  protéine spike qui doit permettre au muscle, lieu d’injection de fabriquer de la protéine Spike qui déclenche des anticorps

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/ne-faisons-pas-un-remede-pire-que-le-mal-entretien-essentiel-avec

« Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Christian Vélot, l’entretien essentiel : maître de conférence en génétique moléculaire à l’université Paris-Sud, directeur scientifique du comité scientifique du Comité de recherche de l’information indépendante du génie génétique (CRIIGEN), il nous offre un exposé, au micro de Xavier Azalbert et revient sur la nature de ce virus qu’il qualifie de dangereux car présentant un grand nombre de symptômes différents. Il se montre surpris de voir que pour lutter contre un virus qui nous réserve beaucoup d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul.

HELAS L’AVERTISSEMENT FUT CLASSE COMPLOTISTE;

En 2020, dans le contexte de la pandémie de Covid-19, Christian Vélot regrette que le règlement européen 2020/1043 exempte les vaccins contre la Covid-19 mis au point par génie génétique d’une partie de la réglementation sur les OGM (relatifs aux effets éventuels sur l’environnement)9, une décision qui irait selon lui « à l’encontre du principe de précaution », et attire l’attention du grand public sur d’hypothétiques dangers attribués à certains vaccins, en mêlant dans ses propos des thèses sur la toxicité des adjuvants ou sur le risque de modification du génome humain 

https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/vaccins-modifiant-notre-genome-itineraire-d-une-fake-news_2141984.html

Le narratif officiel repris par la presse était le suivant

l’ARN injecté via le vaccin contre la Covid n’a aucun risque de transformer notre génome ou d’être transmis à notre descendance, dans la mesure où il pénètre dans le cytoplasme des cellules, mais pas dans le noyau. Cette donnée est confirmée par 30 ans de recherche plus générale en laboratoire sur les vaccins à acides nucléiques, qui confirment que les molécules d’ARN du vaccin ne se retrouvent jamais dans le noyau. Or, c’est dans ce noyau cellulaire que se situe notre matériel génétique. Même après l’injection du vaccin, lors de la division cellulaire, les noyaux continuent à ne contenir que notre ADN humain naturel.

L’APPORT DE L’ETUDE SUEDOISE

https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73/htm#B27-cimb-44-00073

Le profil d’innocuité du BNT162b2 n’est actuellement disponible qu’à partir d’études cliniques à court terme. Des effets indésirables moins fréquents du BNT162b2 ont été rapportés, notamment péricardite, arythmie, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde, hémorragie intracrânienne et thrombocytopénie 

Pour mieux comprendre les mécanismes sous-jacents aux effets indésirables liés aux vaccins, des investigations cliniques ainsi que des analyses cellulaires et moléculaires sont nécessaires.

Une étude récente a montré que les ARN du SRAS-CoV-2 peuvent être rétrotranscrits et intégrés dans le génome des cellules humaines [ 25 ]. Cela soulève la question de savoir si cela peut également se produire avec BNT162b2, qui code pour l’ARN SARS-CoV-2 partiel.

Le modèle cellulaire que nous avons utilisé dans cette étude est une lignée cellulaire de carcinome

Dans cette étude, nous présentons des preuves que le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) est capable d’entrer dans la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7 (à l’origine des cancers du foie et de l’hépatite c) in vitro. L’ARNm de BNT162b2 est transcrit intracellulairement en ADN aussi vite que 6 h après l’exposition à BNT162b2.

 Dans le rapport d’évaluation du BNT162b2 fourni à l’EMA par Pfizer, les études de distribution pharmacocinétique chez le rat ont démontré qu’une proportion relativement importante (jusqu’à 18 %) de la dose totale se distribue au foie [

De plus, aucune donnée sur le transfert placentaire de BNT162b2 n’est disponible dans le rapport d’évaluation de Pfizer EMA. 

Dans le rapport de toxicité du BNT162b2, aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été fournie

Dans la présente étude, nous avons utilisé une lignée de cellules hépatiques humaines pour une enquête in vitro.  Il y a eu des rapports de cas sur des personnes qui ont développé une hépatite auto-immune après la vaccination BNT162b2.

Cependant, la prolifération cellulaire est également active dans plusieurs tissus humains tels que la moelle osseuse ou les couches basales des épithéliums ainsi que pendant l’embryogenèse, et il est donc nécessaire d’examiner l’effet de BNT162b2 sur l’intégrité génomique dans de telles conditions. 

Nous savons aujourd’hui que plusieurs problèmes se posent

L’Arn et la Spike de restent pas sur lelieu d’injection mais circulent dans l’organisme , y font des dégâts, ne se limitent pas à la circulation sanguine mais se retrouvent plusieurs semaines après l’injections dans de nombreux organes et le cerveau ; Certains parlent de covid vaccinal

La spike vaccinale est impliqué dans le réveil de maladies dormante.

On sait que les rétrovirus endogènes -des séquences du génome humain ayant des analogies avec certains rétrovirus- sont, eux,  généralement inactifs et sans conséquence pathogène pour l’organisme. Sauf que la fameuse protéine S du SARS-CoV-2 serait capable de réactiver les HERV, gènes de l’un de ces rétrovirus endogènes, en dormance dans le génome humain. Et de provoquer ainsi les formes graves de la Covid-19.

Problème, cette protéine spike, c’est également celle dont l’ARN est inocculé par la vaccination…

https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/38441-Un-retrovirus-endogene-reveille-SARS-CoV-2-l-origine-formes-graves-Covid

SOURCE: LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE