12 février 2022
Traduction: Google Traduction
Même si de nombreux pays – à l’exception de l’Allemagne, bien sûr – mettent fin aux mesures terroristes contre Corona : en toile de fond, les travaux se poursuivent à toute vitesse sur une restructuration mondiale selon les spécifications du « Great Reset ». Il s’agit notamment de la mise en place d’une dictature mondiale de la santé : l’OMS et l’ONU doivent être habilitées par un « traité international sur la pandémie » à installer un système de surveillance mondial.
Les oreilles bourdonnent ?
En décembre 2021, plus de vingt chefs d’État et de gouvernement d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine ont proposé d’élaborer un « nouveau traité international pour prévenir et combattre les futures pandémies ». Celle-ci est destinée à « tirer des leçons des erreurs commises face au Covid-19 ». Les signataires incluent l’ex-dictatrice allemande de Corona Angela Merkel, le président français Emmanuel Macron, le président du Conseil de l’UE Charles Michel, le président chilien Sebastian Pinera, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, le président sud-coréen Moon Jae In et le président indonésien Joko Widodo.
« Le Covid-19 a révélé nos faiblesses et nos divisions. Maintenant, nous devons saisir l’opportunité et travailler ensemble en tant que communauté mondiale dans une coopération pacifique au-delà de cette crise », est le guide vers l’objectif souhaité : un contrat contraignant qui garantit à l’OMS plus de pouvoirs pour mettre en place un système mondial d’alerte et de surveillance.
Le nouveau traité, qui développe un traité original de 2005, s’il est adopté par les États membres, signifie que la constitution de l’OMS (en vertu de l’article 9) prévaudra sur la constitution de chaque pays en cas de catastrophe naturelle ou de pandémie. En Europe, l’objectif principal est de gagner l’UE pour une mise en œuvre dans les États membres.
À l’avenir, l’OMS dictera, et non recommandera
Communiqué dans plusieurs pays européens via les médias grand public – servi pour l’Allemagnele FAZ – sous le titre « Surmonter les crises avec la coopération multilatérale » début février, un regard sur un nouveau régime sanitaire mondial visé par l’élite politique a été rendu possible. Dans l’appel – sans aucune qualification journalistique – la maladie Covid-19, stylisée comme une « pandémie mondiale très grave », a été reconnue comme une « opportunité » de parvenir à nouveau à un consensus sur un ordre international par « la coopération, la solidarité et la coordination ». En tant que garants de ce « nouvel ordre », sont à nouveau sollicités des acteurs mondiaux reconnus. En plus des Nations unies (ONU), il devrait également s’agir d’organisations et de « forums internationaux tels que le G7 et le G20 et de coalitions ad hoc ».
En d’autres termes, l’OMS dictera à l’avenir, pas seulement recommandera.
Un organe de négociation intergouvernemental a maintenant été constitué par l’OMS, qui tiendra sa première réunion le 1er mars 2022 (« pour convenir des méthodes de travail et des calendriers ») et sa seconde le 1er août 2022 (pour discuter des « progrès sur un brouillon »). Il présentera ensuite un rapport d’étape à la 76e Assemblée mondiale de la santé en 2023, avec pour objectif d’adopter «l’instrument» d’ici 2024.
L’outil doit :
- La préparation et la réaction aux menaces sanitaires mondiales ne doivent se faire qu’au plus haut niveau afin d’assurer « une action juste, responsable et intersectorielle ».
- Concentrer et renforcer l’indépendance, l’autorité et le financement de l’OMS
- Des investissements devraient déjà être faits dans la prophylaxie contre les menaces pour la santé. Cela sert l’objectif de « créer des capacités viables aux niveaux national, régional et mondial » à l’avenir. Inclut également ici les menaces pour la « santé environnementale ».
- La mise en place d’un « système renforcé de surveillance et d’alerte » au niveau international. Cela doit être basé sur une « transparence totale de toutes les parties » et sur des « outils numériques de pointe » qui relient les « centres d’information du monde entier ».
- La mise en place d’une plate-forme pré-négociée pour la production de vaccins, de diagnostics, de produits thérapeutiques et de fournitures médicales » et leur « distribution rapide et équitable en tant que biens communs mondiaux importants ».
- Mobiliser de nouveaux financements internationaux pour ces « biens communs mondiaux ».
- Les gouvernements nationaux devraient mettre en place un organe national de coordination au plus haut niveau pour la préparation et la réponse à la pandémie afin d’exécuter enfin les ordres de l’OMS
Le paragraphe suivant du document « Covid-19 : Make it the Last Pandemic » devrait – en plus des sept points énumérés – indiquer clairement que le projet de l’OMS est extrêmement sceptique. Là c’est dit :
« L’OMS doit mettre en place un nouveau système de surveillance mondial basé sur une transparence totale de toutes les parties prenantes, en utilisant des outils numériques de pointe pour connecter les centres d’information du monde entier. Cela comprendra la surveillance de la santé animale et environnementale, tout en protégeant de manière adéquate les droits de l’homme.
Chaque citoyen peut évaluer la valeur de l’assurance qu’une « protection appropriée des droits des personnes » repose sur les mesures dites corona, qui portent atteinte aux droits fondamentaux dans une mesure sans précédent depuis un an et demi. (SB)