Vaccins retirés du marché : le pire reste à venir ! - Alexandra Henrion Caude
Transcription intégrale – Page 1 et Page 2
Technologie des « vaccins » à base d’ARNm : GAME OVER
1. On vous dit : « C’est un vaccin ! », mais ce n’est pas vrai
Ce n’est pas un « vaccin », car il répond à tous les critères d’un produit issu du génie génétique. Il contient de l’ARNm modifié produit synthétiquement et emballé dans des nanoparticules lipidiques qui ont la capacité de transférer nos cellules.
Ce n’est pas un « vaccin », car il circule dans notre corps et dans nos cellules sans être perçu comme étranger, contrairement aux particules des vaccins conventionnels.
Ce n’est pas un « vaccin », car en 2021, l’objectif de la vaccination a été révisé et sa définition a changé. Selon la nouvelle « norme », les « vaccins » n’ont pas à conférer une immunité spécifique contre une maladie, mais seulement susciter une réponse immunitaire, même si cette réponse est non spécifique ou indésirable.
Ce n’est pas un « vaccin », car dès son entrée dans nos cellules, l’ARNm modifié pirate nos cellules pour les forcer à produire des protéines étrangères, dont la nature est en partie imprévisible.
Ce n’est pas un « vaccin », car après avoir reçu une injection d’ARNm, nous sommes toujours considérés comme « non vaccinés » pendant encore deux semaines avant que les autorités médicales ne vous considèrent comme « vaccinés ». Par conséquent, les rapports sur les effets indésirables (y compris hospitalisation et décès) qui peuvent survenir au cours des deux premières semaines suivant la vaccination ne seront tout simplement pas comptabilisés, s’ils sont signalés. De même, il est difficile de plaider en faveur d’une quelconque demande d’indemnisation.
Ce n’est pas un « vaccin », car il est prévu que vous receviez régulièrement des injections de rappel. Ces injections répétées entraînent la production ininterrompue de l’antigène, voire de plusieurs antigènes. Cela diffère d’une infection naturelle, dans laquelle l’antigène envahit notre corps de manière occasionnelle et transitoire. Cette présentation continue du même antigène affaiblit inévitablement notre système immunitaire.
2. On vous dit : « C’est de l’ARNm ! », mais ce n’est pas vrai
C’est de l’ARN modifié, car on ne sait pas s’il se dégrade et quand il se dégrade. La transformation de l’Uridine en Pseudouridine rend le modRNA moins inflammatoire et augmente sa longévité, qui passe de quelques heures à plusieurs mois. Les effets possibles de ces modifications sur les régulations épigénétiques et post-traductionnelles sont pour la plupart inconnus. Contrairement à l’ARNm naturel, qui se dégrade rapidement, l’ARNm des « vaccins » COVID-19 a été détecté dans le sang jusqu’à 28 jours et dans les tissus jusqu’à huit semaines après injection. Il a été démontré que la protéine de pointe produite par l’ARNm modifié reste détectable jusqu’à six mois.
C’est de l’ARN modifié, car la séquence a également été modifiée en augmentant le signalement d’un nucléotide, la cytosine (C) en uridine (U) ou en guanine (G). Cette substitution augmente la production de protéines dans le système immunitaire, ce qui est également problématique puisqu’il représente la première ligne de défense contre les infections.
Il contient de l’ADN en plus de l’ARNm modifié.
C’est également de l’ADN, ce qui n’était pas attendu. De grandes quantités d’ADN contaminant ont été retrouvées dans les vaccins, dont les effets sont inquiétants en l’état de nos connaissances scientifiques, présentant des régulations altérées des gènes, un risque d’intégration dans notre génome, et l’activation possible de cancers. L’ADN n’étant pas attendu dans ces produits, les procédures de sécurité habituelles n’ont pas été mises en place. L’ADN contaminant est amplifié par la technique d’amplification PCR propre. Des procès sont en cours. Le problème est connu par les agences, mais elles ne réagissent pas.
3. On vous dit : « Le vaccin restera dans votre muscle ! », mais ce n’est pas vrai
Le « vaccin » à ARNm a jamais été conçu pour rester dans le muscle, mais pour passer dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et d’autres organes.
Les nanoparticules lipidiques, qui transportent l’ARNm, ne restent pas dans la circulation sanguine comme prévu mais se distribuent dans le foie, la rate, les ovaires, les testicules, les surrénales, le cœur et le cerveau. Les protéines étrangères produites dans ces organes peuvent déclencher des réponses auto-immunes et inflammatoires.
Les autorités sanitaires le savaient dès le départ, comme le montrent les documents internes rendus publics, mais l’information a été dissimulée.
4. On vous dit : « La technologie de l’ARNm permet de produire le messager désiré ! », mais ce n’est pas vrai
Les « vaccins » sont issus d’un mensonge depuis le début, car il était impossible d’anticiper ce que notre corps transformerait en protéines étrangères. En réalité, l’ARNm produit de multiples protéines différentes, pas uniquement la protéine souhaitée.
Le codage de l’ARNm a introduit des substitutions non naturelles qui modifient le message initial.
Les protéines produites peuvent être tronquées, fusionnées ou mal conformées, induisant une toxicité.
Les autorités reconnaissent que la protéine Spike produite est toxique. Elle se lie aux récepteurs ACE-2 dans les cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et provoque des inflammations et des caillots.
Le corps produit également d’autres protéines non prévues, dont les effets ne sont pas connus.
5. On vous dit : « L’ARNm ne peut pas être intégré dans l’ADN », mais ce n’est pas vrai
Le « vaccin » à ARNm peut manifestement s’intégrer dans l’ADN, car la séquence correspondant à un fragment de l’ARNmod du « vaccin » injecté a été trouvée dans les cellules sanguines du patient.
L’ARN du « vaccin » peut manifestement être transcrit en sens inverse dans l’ADN, car il a été démontré que l’exposition de cellules humaines cultivées à l’ARN « vaccin » activait LINE-1, qui fournit une transcriptase inverse, transformant l’ARN « vaccin » en ADN.
En outre, l’ARN codant pour la protéine spike a été trouvé de manière inattendue dans le noyau.
Les contaminants d’ADN trouvés dans les injections d’ARNmod de BioNTech/Pfizer contiennent une séquence de virus de singe, à savoir la séquence du promoteur du virus simien 40 (SV40), qui est connue pour améliorer le transport de l’ADN dans le noyau. Cela augmente encore le risque d’intégration de cet ADN étranger dans le génome de nos cellules, avec des conséquences imprévisibles.
Si un tel événement se produit dans les cellules germinales mâles ou femelles impliquées dans la fécondation, le génome de la progéniture sera également modifié.
Toute intégration génomique d’une séquence dérivée d’un « vaccin » entraînera probablement l’expression d’un gène étranger et une régulation aberrante des gènes, cette dérive pouvant entraîner l’activation d’oncogènes ou l’inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs, deux phénomènes qui favorisent le cancer. Cela est aggravé par l’immunosuppression observée chez de nombreuses personnes vaccinées, qui implique une défense immunitaire affaiblie contre les cellules tumorales. Il peut en résulter un « turbo cancer ».
👉 Selon le résumé officiel des caractéristiques du produit approuvé par l’EMA et la Commission européenne :
« Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée. »
C’est la technologie des « vaccins » à ARNm elle-même qui pose problème
L’ARNm synthétiquement modifié (ARNmod) injecté détourne nos cellules en les forçant à produire des protéines étrangères.
Certaines ont été conçues pour être produites (c’est-à-dire la protéine Spike dans le cas des injections de COVID-19), tandis que d’autres ne l’ont pas été. Ces dernières résultent de la fragmentation de l’ARNm et du décalage de la traduction. La production n’a pas d’interrupteur et peut affecter n’importe quel organe. En conséquence, notre système immunitaire détruira des cellules auparavant saines.
Deux caractéristiques essentielles de l’ARNm naturel sont déformées :
Normalement, l’ARNm naturel présente une expression spécifique à la cellule, ce qui garantit un ajustement en temps réel. En revanche, les nanoparticules lipidiques délivrent l’ARNm de manière totalement aveugle.
L’ADN est souvent appelé le « livre de la vie ». Il se trouve exclusivement dans le noyau, sauf pendant la division cellulaire.
L’alphabet étant composé de 26 lettres, mais l’ADN ne comprend que 4 lettres : A (Adénine), T (Thymine), remplacée dans l’ARN par U (Uridine), G (Guanine) et C (Cytosine).
Les gènes sont les chapitres du livre, et les gènes situés sur l’ADN sont copiés dans l’ARNm par les enzymes correspondantes.
Ensuite, les ribosomes lisent ces « recettes » pour traduire la séquence en protéines, qui sont ensuite pliées pour fonctionner.Normalement, l’ARNm naturel a une demi-vie courte (quelques heures). Le modRNA du « vaccin » est artificiellement prolongé et reste actif plusieurs mois, produisant ainsi des protéines étrangères en continu.
Cela signifie que :
Le système immunitaire attaque les cellules qui produisent les protéines étrangères,
La production de protéines étrangères consomme énormément d’énergie supplémentaire,
Le corps vieillit plus vite et s’épuise.
